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L’explosion serait survenue alors que des villageois s’étaient rassemblés pour récolter du pétrole qui s’écoulait de l’oléoduc, à proximité de Lagos.
«Plus de cent personnes ont été brûlées (vives) au point qu'on ne peut les reconnaître», déclare le secrétaire général de la Croix rouge du Nigeria, Abiodun Orebiyi, après l’explosion d’un oléoduc près de Lagos, la ville la plus peuplée d’Afrique.
La police, qui avait dans un premier temps confirmé l'explosion en assurant qu'elle n'avait fait aucune victime, estimait vendredi après-midi que 150 à 200 personnes avaient péri.
Un journaliste de l’AFP a quant à lui décompté au moins 150 morts. Des corps carbonisés étaient visibles sur une longueur d'environ 100 mètres le long de la plage, dont certains statufiés par la chaleur alors qu'ils tentaient de fuir. Aucun blessé n’a été retrouvé pour le moment, selon la Croix-Rouge.
Vers 14h30, la télévision privée Channels annonçait que plus d'une centaine de personnes étaient mortes dans l'explosion, sans toutefois montrer la moindre image de la catastrophe.
Le pipeline, propriété de la compagnie pétrolière publique NNPC, aurait explosé à proximité du village d’ Ilado, à 45 kilomètres à l’est de Lagos. Dans la matinée, une grande colonne de fumée noire était visible depuis le centre de Lagos, dans la direction du port d'Apapa, où se trouvent de nombreuses installations pétrolières.
L’explosion serait survenue alors que des villageois s’étaient rassemblés pour récolter du pétrole qui s’écoulait de l’oléoduc. Le tuyau aurait alors explosé, mettant le feu à plus de 500 bidons de pétrole. Selon une responsable de la Croix-Rouge sur place, de nombreux corps ont été retrouvés dans l’eau, à proximité du village côtier.
Par Le Figaro
«Plus de cent personnes ont été brûlées (vives) au point qu'on ne peut les reconnaître», déclare le secrétaire général de la Croix rouge du Nigeria, Abiodun Orebiyi, après l’explosion d’un oléoduc près de Lagos, la ville la plus peuplée d’Afrique.
La police, qui avait dans un premier temps confirmé l'explosion en assurant qu'elle n'avait fait aucune victime, estimait vendredi après-midi que 150 à 200 personnes avaient péri.
Un journaliste de l’AFP a quant à lui décompté au moins 150 morts. Des corps carbonisés étaient visibles sur une longueur d'environ 100 mètres le long de la plage, dont certains statufiés par la chaleur alors qu'ils tentaient de fuir. Aucun blessé n’a été retrouvé pour le moment, selon la Croix-Rouge.
Vers 14h30, la télévision privée Channels annonçait que plus d'une centaine de personnes étaient mortes dans l'explosion, sans toutefois montrer la moindre image de la catastrophe.
Le pipeline, propriété de la compagnie pétrolière publique NNPC, aurait explosé à proximité du village d’ Ilado, à 45 kilomètres à l’est de Lagos. Dans la matinée, une grande colonne de fumée noire était visible depuis le centre de Lagos, dans la direction du port d'Apapa, où se trouvent de nombreuses installations pétrolières.
L’explosion serait survenue alors que des villageois s’étaient rassemblés pour récolter du pétrole qui s’écoulait de l’oléoduc. Le tuyau aurait alors explosé, mettant le feu à plus de 500 bidons de pétrole. Selon une responsable de la Croix-Rouge sur place, de nombreux corps ont été retrouvés dans l’eau, à proximité du village côtier.
Par Le Figaro
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