Un membre du parlement du partie union constitutionnelle a échoué au certificat d’études primaires (chahada al ibtidaia )avec une note de 2.44/10 
il a eut des difficultés au maths et chakl
وأكدت مصادر ل"كود" أن نجيب رفوش وجد صعوبات في مادتي الرياضيات والشكل، حيث لم يتمكن من شكل الجملة التالية:"المعلمون مجدون في القسم".
source: goud.ma
pour vous mettre dans le contexte, un article qui demontre qu'on desire construire une démocratie en se basant sur des analphabètes, avec premiditation. un leurre quoi!!
Le Maroc discute du niveau d'éducation de ses parlementaires
2010-10-07
"Le parlementaire au Maroc n’est pas entouré d’un staff de conseillers. Et par conséquent, il doit avoir un niveau d’instruction élevé pour qu’il puisse examiner les lois et exercer le contrôle de l’exécutif. Le parlement marocain gagnerait beaucoup en ayant des parlementaires dotés d’un minimum d’instruction", a expliqué la parlementaire Fatna Lkhail à Magharebia. Elle a ajouté que le niveau moyen d'éducation des députés s'était amélioré depuis 2002, mais qu'il devait encore progresser.
Un avis partagé par son collègue Lahcen Daoudi. Il estime que la responsabilité en incombe aux partis politiques, qui choisissent leurs candidats pour les élections législatives. Il affirme que peu de députés participent activement au processus législatif, parce qu'ils sont peu nombreux à pouvoir participer aux discussions complexes que requiert le niveau législatif.
"Plusieurs députés qui font partie des délégations à l’étranger sont incapables de suivre les débats car ils ne maîtrisent aucune langue étrangère. C’est une honte pour l’image du parlement marocain", explique-t-il.
"Je pense que la loi devra contenir une clause concernant le niveau des candidats aux élections. Aux communales, on impose le certificat d’études primaires, car le président signe des documents. Au parlement, la responsabilité est grande vu que le député est appelé à légiférer", explique la députée Fatima Moustaghfir. Elle affirme que les députés doivent avoir le même niveau d'éducation que les ministres, et que le problème tient aux partis qui recrutent des gens illétrés.
Pour le secrétaire général du Front national des forces démocratiques Thami El Khyari, c'est l'ensemble du processus électoral qui est un échec, parce que ce sont les candidats qui disposent de moyens financiers qui réussissent souvent à remporter les élections.
"C’est un problème d’ensemble. Le dysfonctionnement réside aussi dans l’électeur qui vote pour des analphabètes à cause de la corruption. Notre parti a coopté des candidats instruits qui ont échoué face à des concurrents peu instruits mais ayant de l'argent", poursuit-il.
Mais de l'avis du député Mohamed Moubdiaa, les partis politiques ne peuvent être tenus pour responsables, parce qu'ils doivent être représentatifs de tous et que leurs membres incluent des personnes illétrées aux côtés de médecins, d'ingénieurs, de chefs d'entreprises, etc.
"Pourquoi va-t-on évincer les analphabètes qui constituent un grand poids dans la société ?", se demande-t-il. Il est opposé à l'idée d'introduire un niveau minimum d'instruction, qui contredirait, selon lui, la réalité du pays. De son avis, le parlement représente le peuple marocain, dont la moitié est illétrée.
"Les ministres font leurs présentations en arabe et les débats en commission et en séances plénières se déroulent en dialecte. Il n’y a pas de raison d’imposer du jour au lendemain un quelconque niveau d’instruction", conclut Moubdiaa.
Ce contenu a été réalisé sous requête de Magharebia.com

il a eut des difficultés au maths et chakl
وأكدت مصادر ل"كود" أن نجيب رفوش وجد صعوبات في مادتي الرياضيات والشكل، حيث لم يتمكن من شكل الجملة التالية:"المعلمون مجدون في القسم".
source: goud.ma
pour vous mettre dans le contexte, un article qui demontre qu'on desire construire une démocratie en se basant sur des analphabètes, avec premiditation. un leurre quoi!!
Le Maroc discute du niveau d'éducation de ses parlementaires
2010-10-07
Si certains sont partisans de fixer des critères d'instruction minimum pour les parlementaires marocains, d'autres craignent en revanche qu'une telle mesure ne rende le parlement moins représentatif de toutes les circonscriptions.
Au vu des préoccupations croissantes concernant le faible niveau d'instruction de certains membres du parlement marocain, certains députés ont proposé de fixer des critères minimum. Contrairement au Code électoral local, le Code régissant les élections législatives nationales ne stipule aucun niveau d'éducation minimum. "Le parlementaire au Maroc n’est pas entouré d’un staff de conseillers. Et par conséquent, il doit avoir un niveau d’instruction élevé pour qu’il puisse examiner les lois et exercer le contrôle de l’exécutif. Le parlement marocain gagnerait beaucoup en ayant des parlementaires dotés d’un minimum d’instruction", a expliqué la parlementaire Fatna Lkhail à Magharebia. Elle a ajouté que le niveau moyen d'éducation des députés s'était amélioré depuis 2002, mais qu'il devait encore progresser.
Un avis partagé par son collègue Lahcen Daoudi. Il estime que la responsabilité en incombe aux partis politiques, qui choisissent leurs candidats pour les élections législatives. Il affirme que peu de députés participent activement au processus législatif, parce qu'ils sont peu nombreux à pouvoir participer aux discussions complexes que requiert le niveau législatif.
"Plusieurs députés qui font partie des délégations à l’étranger sont incapables de suivre les débats car ils ne maîtrisent aucune langue étrangère. C’est une honte pour l’image du parlement marocain", explique-t-il.
"Je pense que la loi devra contenir une clause concernant le niveau des candidats aux élections. Aux communales, on impose le certificat d’études primaires, car le président signe des documents. Au parlement, la responsabilité est grande vu que le député est appelé à légiférer", explique la députée Fatima Moustaghfir. Elle affirme que les députés doivent avoir le même niveau d'éducation que les ministres, et que le problème tient aux partis qui recrutent des gens illétrés.
Pour le secrétaire général du Front national des forces démocratiques Thami El Khyari, c'est l'ensemble du processus électoral qui est un échec, parce que ce sont les candidats qui disposent de moyens financiers qui réussissent souvent à remporter les élections.
"C’est un problème d’ensemble. Le dysfonctionnement réside aussi dans l’électeur qui vote pour des analphabètes à cause de la corruption. Notre parti a coopté des candidats instruits qui ont échoué face à des concurrents peu instruits mais ayant de l'argent", poursuit-il.
Mais de l'avis du député Mohamed Moubdiaa, les partis politiques ne peuvent être tenus pour responsables, parce qu'ils doivent être représentatifs de tous et que leurs membres incluent des personnes illétrées aux côtés de médecins, d'ingénieurs, de chefs d'entreprises, etc.
"Pourquoi va-t-on évincer les analphabètes qui constituent un grand poids dans la société ?", se demande-t-il. Il est opposé à l'idée d'introduire un niveau minimum d'instruction, qui contredirait, selon lui, la réalité du pays. De son avis, le parlement représente le peuple marocain, dont la moitié est illétrée.
"Les ministres font leurs présentations en arabe et les débats en commission et en séances plénières se déroulent en dialecte. Il n’y a pas de raison d’imposer du jour au lendemain un quelconque niveau d’instruction", conclut Moubdiaa.
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