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L'analphabétisme recule au Maroc

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  • #46
    Taux d'analphabétisme selon l'UNESCO: 44% (en 2009)

    Merci d'avoir confirmé ! Marocain il auront (peut être) tendance à te croire.

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    • #47
      ce qui nous manque c,est chitouh ,lefhama.le reste tant mieux a tout le monde si le taux d,analphabètes diminue au maghreb.

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      • #48
        ma parole, quand on sait que les deux prix Nobel que les arabes ont eu sont














        DEUX, vous les connaissez, je me demande à quoi ca sert ces stats??


        oui pour le cas du Maroc, ca sert à avoir des analphabètes adorateurs de ceux qui gouvernent, et une majorité d’éternels satisfaits....bref des moutons et pire qui contrôlent les autres aussi..

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        • #49
          Et ceux qui ont moins de 15 ans ?
          Grand Dieu!

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          • #50
            Et ceux qui ont moins de 15 ans ?

            rak behdeltnaasahbi, chouf ki trictifi chwiya
            بارد وسخون
            M.Alhayani

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            • #51
              Ce n'est pas vraiment lié à l'analphabétisme mais c'est une problématique très connexe !

              250.000 élèves quittent l’école chaque année Même en recul, le niveau de l’abandon reste inquiétant
              La régionalisation pourrait être un détonateur des changements




              Source: MEN

              L’abandon scolaire reste important même si le département de l’Education nationale a engagé plusieurs mesures pour y faire face: 107.400 élèves au primaire en 2010 et 145.600 au collège

              L’abandon scolaire est une des pathologies lourdes du système éducatif contre laquelle aucune thérapie n’a prouvé d’efficacité jusqu’à présent. Si le phénomène est en recul, son ampleur reste néanmoins inquiétante: au moins 250.000 élèves quittent le primaire et le collège tous les ans, et personne ne sait ce que deviennent tous ces enfants. Le plan d’urgence a fait de la lutte contre ce phénomène une priorité en déployant des dispositifs d’amélioration du confort des élèves et de sensibilisation des parents (cantines scolaires, internats, fournitures, latrines, etc). Selon l’Education nationale, entre 2008 et 2010, le taux d’abandon est passé de 4,6% à 3,1% au niveau de l’école primaire après avoir oscillé autour de 5 à 6% depuis le début des années 1990. Pour le collège, ce taux est passé de 13,1 à 10,8%.

              Pour autant, il ne faut pas baisser la garde, prévient la secrétaire d’Etat à l’Enseignement scolaire, Latifa Elabida, car la déperdition reste élevée: en 2010, 107.400 élèves ont abandonné au primaire et 145.600 au collège. Sans dédouaner l’Education nationale, la secrétaire d’Etat à l’enseignement scolaire estime que cette problématique dépasse le seul cadre de l’institution. Dans beaucoup de couches de la population, l’école n’est plus perçue comme la voie de la réussite et de l’insertion dans la société. Et chez les ménages les plus pauvres ou dans le monde rural, l’arbitrage se fait souvent au détriment de l’école lorsqu’il s’agit de choisir entre travailler et aller à l’école.

              La responsabilité des parents est aussi engagée dans cet échec.

              Pour Elabida, plusieurs raisons expliquent cette incapacité de l’Education nationale à faire front au phénomène du décrochage scolaire. La première, structurelle, est liée à la culture même de la maison. Le ministère est trop dispersé et trop focalisé sur la gestion des murs et des infrastructures au point d’en oublier sa mission de base qui est celle de former les enfants. «Si nous voulons accélérer l’amélioration des performances de notre système éducatif, il devient urgent de permettre au ministère de se recentrer sur son métier de base», propose la secrétaire d’Etat. Dans d’autres pays, ce sont les collectivités locales qui prennent en charge tous les métiers qui ne relèvent pas de l’éducation. Mais ce schéma ne pourrait être actionné au Maroc qu’avec la mise en place effective de la régionalisation. Ce qui serait une véritable transformation structurelle d’une institution dont la centralisation fait partie de l’ADN.

              La deuxième raison qui explique cette incapacité à faire face à l’abandon scolaire est attribuée au niveau de mobilisation de la société autour de l’école. «Malgré le discours ambiant sur les droits de l’enfant et sur l’importance d’une éducation de qualité pour tous, on ne voit pas naître un mouvement de fond favorisant la mobilisation autour de l’école», regrette Elabida.

              K. M.

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              • #52
                même les hajjats peuvent désormais lire le coran
                le plus dur reste à faire : le comprendre .....

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                • #53
                  Lorsque j'avais parlé d'un système éducatif sinistré, notre ami Cell n'avait pas apprécié. Après l'analphabétisme (dans les différentes tranches), les déperditions scolaire, voici une dernière infromation (pour faire le tour de la question) liée aux infrastructures scolaires et parue aujourd'hui dans "Leconomiste"

                  Electricité, réseau d’assainissement…

                  LA mise à niveau des espaces scolaires figure aussi parmi les principaux chantiers du plan d’urgence. Jusque-là, des centaines d’unités scolaires et d’internats ont été touchés.

                  Selon le département de l’Education nationale,
                  • 4.760 établissements scolaires et 286 internats ont été réhabilités,
                  • 2.730 établissements ont été raccordés à l’eau potable,
                  • 2.481 établissements à l’électricité et
                  • 567 établissements au réseau d’assainissement.


                  Le ministère a également procédé au renouvellement des équipements scolaires de 2.595 établissements et 246 internats et à la mise en place d’un système de maintenance préventive dans 5.111 établissements. D’autres opérations sont programmées en 2011 et 2012.
                  Comment peut-on agréer une école où il n'y a pas d'eau, d'égouts et surtout où il n'y a pas d'électricité ??!!!!

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                  • #54
                    L'analphabétisme recule au Maroc
                    bonne nouvelle, car plus les marocains savent lire et écrire, plus il sera difficile au Roi de reigner comme un petit Dieu et de traiter les marocains de banales sujets qui sont lá pour vivre comme des moutons!!

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                    • #55
                      bonne nouvelle, car plus les algériens savent lire et écrire, plus il sera difficile aux généraux de reigner comme des petits Dieux et de traiter les algériens de banales sujets qui sont lá pour vivre comme des moutons!!

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                      • #56
                        Je vois que jawzia est dans tous ses états ...

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                        • #57
                          Comment peut-on agréer une école où il n'y a pas d'eau, d'égouts et surtout où il n'y a pas d'électricité ??!!!!
                          A mon avis, ce sont des écoles publiques d'enseignement primaire dans le milieu rural. Donc la question d'agrément est secondaire : l'Etat (marocain) ne se gêne pas pour enfreindre ses propres lois.

                          Il n'y a pas d'eau courante, du moins dans les régions qui n'en disposent pas, ce qui implique pas d'égouts non plus. L'électricité ? Pourquoi faire ? Les cours ont lieu uniquement les matinées ; et dans les régions où le climat est très sec, le chauffage se fait au bois (s'il est disponible évidemment).

                          D'ailleurs, en guise d'école, il s'agit souvent d'une construction mono-bloc.

                          Par ailleurs, je me demande si l'Algérie a déjà partagé avec le Maroc son expérience dans le domaine...
                          Ne nourrissez pas les trolls

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                          • #58
                            L'analphabétisme recule au Maroc
                            InchAllah l’analphabétisme sera éradiqué au Maroc, en Algérie et Partout dans le monde.
                            C'est un véritable fléau des temps modernes

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