Des leaders de différents groupes opposés au régime de Bachar Al Assad, réunis en Suède ce week-end, ont réclamé unanimement des observateurs internationaux en Syrie.
Mais ils se sont prononcés contre une intervention militaire étrangère, a déclaré hier l’organisateur... Les participants se sont «mis d’accord sur les questions concernant le régime qui doit être renversé, sur le rôle de la communauté internationale qui doit envoyer des observateurs et pour qu’une protection légale juridiquement contraignante soit offerte aux groupes minoritaires» une fois un nouveau pouvoir en place, a résumé Jens Orback, secrétaire général du centre international Olof Palme.
Les participants ont également plaidé pour que d’éventuelles sanctions économiques imposées à la Syrie soient ciblées de façon à ne pas affecter le peuple syrien, a indiqué Jens Orback. «Il y avait, lors de la conférence, presque un consensus contre une intervention militaire et en faveur d’une intervention politique et diplomatique», a déclaré une participante, Ghied Al Hashmy, qui vit à Berlin. «Les participants ont très favorablement accueilli l’idée d’avoir des observateurs internationaux qui pourraient se déplacer librement dans le pays et observer la situation», a-t-elle ajouté.
Créé fin août à Istanbul, le CNS regroupe la majorité des courants politiques opposés au régime du président Bachar Al Assad, notamment les Comités locaux de coordination (LCC) qui chapeautent les manifestations sur le terrain, les libéraux, la confrérie des Frères musulmans ainsi que des partis kurdes et assyriens.
La vision de Moscou
De son côté, le ministre Affaires étrangères russe, Serguei Lavrov, a déclaré hier que son pays est prêt à proposer au Conseil de sécurité de l’ONU, avec la Chine, un projet de résolution plus «équilibré» que celui auquel Moscou et Pékin ont opposé leur veto la semaine dernière.
Rédaction internationale
El Watan le 11.10.11
Mais ils se sont prononcés contre une intervention militaire étrangère, a déclaré hier l’organisateur... Les participants se sont «mis d’accord sur les questions concernant le régime qui doit être renversé, sur le rôle de la communauté internationale qui doit envoyer des observateurs et pour qu’une protection légale juridiquement contraignante soit offerte aux groupes minoritaires» une fois un nouveau pouvoir en place, a résumé Jens Orback, secrétaire général du centre international Olof Palme.
Les participants ont également plaidé pour que d’éventuelles sanctions économiques imposées à la Syrie soient ciblées de façon à ne pas affecter le peuple syrien, a indiqué Jens Orback. «Il y avait, lors de la conférence, presque un consensus contre une intervention militaire et en faveur d’une intervention politique et diplomatique», a déclaré une participante, Ghied Al Hashmy, qui vit à Berlin. «Les participants ont très favorablement accueilli l’idée d’avoir des observateurs internationaux qui pourraient se déplacer librement dans le pays et observer la situation», a-t-elle ajouté.
Créé fin août à Istanbul, le CNS regroupe la majorité des courants politiques opposés au régime du président Bachar Al Assad, notamment les Comités locaux de coordination (LCC) qui chapeautent les manifestations sur le terrain, les libéraux, la confrérie des Frères musulmans ainsi que des partis kurdes et assyriens.
La vision de Moscou
De son côté, le ministre Affaires étrangères russe, Serguei Lavrov, a déclaré hier que son pays est prêt à proposer au Conseil de sécurité de l’ONU, avec la Chine, un projet de résolution plus «équilibré» que celui auquel Moscou et Pékin ont opposé leur veto la semaine dernière.
Rédaction internationale
El Watan le 11.10.11
Commentaire