En novembre 2010, des câbles diplomatiques américains publiés par Wikileaks révélaient que les rois de l'Arabie Saoudite, de Jordanie et de Bahrain ont littéralement suppliés à plusieurs reprises l'armée et d'administration américaines de bombarder l'Iran pour détruire ses installations nucléaires.
Autant dire que le roi de l'Arabie Saoudite est absolument OK avec un Israel possédant des centaines de missiles nucléaires et qui massacre des Palestiniens à longueur d'année, mais est absolument terrifié à l'idée que l'Iran puisse produire de l'électricité d'origine nucléaire! Pire, les répugnants saoudiens ont donné le feu vert aux avions israéliens pour traverser l'espace aérien saoudien dans le cadre d'une éventuelle attaque israélienne contre l'Iran.
Cette vérité qui ne devrait pas surprendre, devrait aider à mieux comprendre le ridicule hoax révélé cette semaine par le gouvernement américain sur un prétendu complot iranien contre l'ambasadeur saoudien aux Etats-Unis. L'Amérique tente par tous les moyens de trouver une "bonne" justification pour attaquer l'Iran (et faire plaisir à Israel et l'Arabie Saoudite...etc) comme elle l'avait fait avec l'Irak avec les fictives armes de destruction massive.
Autant dire que le roi de l'Arabie Saoudite est absolument OK avec un Israel possédant des centaines de missiles nucléaires et qui massacre des Palestiniens à longueur d'année, mais est absolument terrifié à l'idée que l'Iran puisse produire de l'électricité d'origine nucléaire! Pire, les répugnants saoudiens ont donné le feu vert aux avions israéliens pour traverser l'espace aérien saoudien dans le cadre d'une éventuelle attaque israélienne contre l'Iran.
Cette vérité qui ne devrait pas surprendre, devrait aider à mieux comprendre le ridicule hoax révélé cette semaine par le gouvernement américain sur un prétendu complot iranien contre l'ambasadeur saoudien aux Etats-Unis. L'Amérique tente par tous les moyens de trouver une "bonne" justification pour attaquer l'Iran (et faire plaisir à Israel et l'Arabie Saoudite...etc) comme elle l'avait fait avec l'Irak avec les fictives armes de destruction massive.
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