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Israël avoue enfin son mensonge : « L’Iran n’a jamais dit qu’Israël devait être rayé de la carte » !
Il y a des israeliens extremistes comme il y a des israeliens pacifistes qui veulent vivre en paix avec les palestiniens.
L'extremisme c'est de croire que seuls les autres le sont alors que ce sont les arabes avec Chouqairi le leader palestinien des années 50 et son " Nous jeterons les juifs à la mer" qui a donné aux faucons israeliens l'alibi pour ,soit disant, se defendre contre les pays arabes "agresseurs" sans parler des actes terroristes et du fanatisme religieux que ces memes faucons ont admirablement su utiliser pour influencer l'opinion internationale .Ce qui a ,en meme temps, fragilisé les mouvements pacifistes israeliens
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Des « mouvements pacifistes » aux « mouvements anti-occupation » israéliens
Karine Lamarche
Dès les années suivant la conquête des territoires palestiniens par Israël lors de la guerre des Six jours de 1967, des groupes militants ont commencé à se mobiliser, dans ce pays, pour mettre en garde contre les dangers de l’occupation sur le long terme et pour appeler à échanger les territoires nouvellement conquis contre des frontières sûres. Parmi eux, le plus connu est probablement Shalom Ah’shav (« La paix maintenant »), fondé en 1978 par des officiers réservistes pour influencer les négociations de paix entre l’Egypte et Israël. Souvent présenté comme le représentant le plus légitime du « camp de la paix » israélien, ce mouvement est pourtant loin de recueillir l’adhésion de tous ceux qui se mobilisent contre l’occupation, notamment depuis le déclenchement de la seconde Intifada. Cette période a en effet constitué, comme cet article le montrera, un moment de rupture dans l’histoire des mouvements pacifistes israéliens, amenant des formes de protestation plus subversives à se développer au sein de nouveaux groupes militants, tandis que le mouvement de masse qui avait existé jusqu’alors se disloquait. Elle a par ailleurs contribué à raviver l’opposition modérés/radicaux, souvent présentée comme principale ligne de fracture d’un camp de la paix qui serait divisé entre d’un côté des pacifistes patriotes, inquiets du risque de corruption morale lié à l’occupation et de l’autre des militants non- voire antisionistes préoccupés principalement par le sort des Palestiniens. Nous verrons ici que cette dichotomie modérés/radicaux présente des limites de taille et qu’elle ne peut s’envisager que dans une perspective structurelle et dynamique. Ainsi, nous montrerons que la radicalisation prêtée à de nombreux militants et initiatives de la seconde Intifada est avant tout le fait d’un travail de labellisation mené par les autorités étatiques et par les médias, ainsi que le produit d’un rapport de force sur le terrain de plus en plus difficile avec les représentants de l’ordre, contribuant à rendre les répertoires d’actions d’autant plus transgressifs.
Cet article présentera divers groupes et organisations qui ont contribué à écrire l’histoire du mouvement pacifiste israélien, de manière non-exhaustive et suivant un développement chronologique. La première partie sera consacrée aux années succédant la conquête des territoires palestiniens, caractérisées par des mobilisations pacifistes à caractère sécuritaire (« le Mouvement pour la paix et la sécurité », Oz Ve’Shalom, « la Paix Maintenant », etc.) mais aussi par la première initiative de protestation israélo-palestinienne conjointe (le « Comité de solidarité avec l’Université Bir Zeit »). Dans un second temps, nous examinerons la période des années 80 marquée par la guerre du Liban puis par la première Intifada, et qui vit l’émergence d’un mouvement pacifiste de masse. Celui-ci se caractérisa notamment par l’apparition de nombreuses organisations créées dans le but de défendre les droits de l’homme (HaMoked, les « Rabbins pour les droits de l’homme », ICAHD, B’Tselem, etc.), mais aussi de groupes dénonçant, de manière plus ou moins subversive, l’occupation et ses conséquences sur la société israélienne (Daï La’Kibush, The 21st Year, les « Femmes en Noir », etc.). Oslo constitue évidemment un moment charnière pour le camp de la paix israélien puisque le projet pour lequel celui-ci s’était mobilisé sembla sur le point d’aboutir pour finalement échouer radicalement. Suite à l’espoir suscité par les négociations entre le gouvernement israélien et l’OLP, la dégradation très rapide de la situation sur le terrain (assassinat d’Yitzhak Rabin, massacre commis par Baruch Goldstein à Hébron, intensification de la colonisation, bouclages répétés en Cisjordanie, reprise des attentats-suicides, etc.) provoqua une déception amère des deux côtés. Lorsque, en juillet 2000, Ehud Barak revint de Camp David en déclarant qu’Arafat avait rejeté la paix qui lui était proposée puis lorsqu’éclata la seconde Intifada quelques mois plus tard, le mouvement pacifiste acheva de s’effondrer. Il fallut attendre quelques mois pour qu’apparaissent de nouveaux groupes dénonçant la violence de la répression israélienne. Nous aborderons cette dernière partie à travers la présentation de certains d’entre eux (Ta’ayush, Machsom Watch, les « Anarchistes contre le mur », Shovrim Shtika, les « Combattants pour la paix », Bnei Avraham) qui, au-delà de leurs différences, ont comme caractéristique de s’être heurtés, ces dernières années, à l’hostilité croissante d’une majorité de la population israélienne. Nous montrerons également que la disparition du mouvement de masse a contribué au développement de répertoires d’actions mettant en avant la coopération de terrain avec des partenaires palestiniens, et amenant ainsi plus fréquemment les militants engagés à des confrontations avec les détenteurs du monopole de la violence légitime.
Bien sur que l'Iran ne l'a pas fait et ne peut pas le faire pour l'instant, mais les dirigeants iraniens ont declare le souhaiter et font tout pour y arriver.
Le combat est un combat contre le sionisme et sa colonisation, les sionistes mettent tout le temps drapeau du génocide juif en avant hors pour nous le problème n'est pas là, on a pas à se culpabliser d'un truc que les musulmans n'ont pas fait, fallait créer votre état raciste et colonisateur en Allemagne si vous vouliez vous venger, vous inquiètez pas la mise de grosse quenelles ne fait que commencer.
Ya Allah, al Aziz, al Hakim. a7fadh jazair wa al maghareb al kabir
Autrement ils auraient mené un raid sur le territoire perse. Que de la propagande pour la simple raison qu'une attaque contre ce pays conduirait à la ruine l'économie mondiale.
Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.
C'est IRIB, l'agence de presse officielle iranienne en langue etrangere (et dont les articles farfelus sur ce forum sont tres apprecies par certains) qui a traduit le discours avec le fameux "rayer Israel de la carte".
Autre voix discordante et autre source. Il s'agit cette fois du chef de l'Etat Major d'Israël et d'un article du The New Times publié aujourd'hui et dont voici un extrait:
"Israeli Army Chief Says He Believes Iran Won’t Build Bomb
JERUSALEM — The Israeli military chief described the Iranian government as “rational” in interviews published Wednesday and said he did not believe it would build a nuclear bomb, appearing to put some distance between himself and Prime Minister Benjamin Netanyahu and Defense Minister Ehud Barak.
“I believe he would be making an enormous mistake, and I don’t think he will want to go the extra mile,” the chief of staff of the Israeli Defense Force, Lt. Gen. Benny Gantz, told the left-leaning newspaper Haaretz, referring to Ayatollah Ali Khamenei.
“I think the Iranian leadership is composed of very rational people,” General Gantz added. “But I agree that such a capability, in the hands of Islamic fundamentalists who at particular moments could make different calculations, is dangerous.”
Gageons donc qu'à l'avenir tu accorderas plus de crédit à l'IRIB...
Dernière modification par Dandy, 26 avril 2012, 13h50.
Israël avoue enfin son mensonge : « L’Iran n’a jamais dit qu’Israël devait être rayé de la carte » !
Et alors ? même s'il le dit, où est le problème ? il ne fait que "dire" qu'il faut exterminer une entité qui "extermine" un état ! On devrait lui décerner le prix Nobel de la paix
L'etat palestinien arabo-musulman n'a jamais existe pour qu'il soit detruit. Tu peux remonter aussi loin que tu veux dans l'histoire. Par contre, il est vrai que le territoire entre jourdain et mediterranee a ete une province de tel ou tel empire musulman (Ottoman, Mamelouk, Umeyad). Ceux qui ont cree une entite autonome qui s'appelle Palestine et qui etait judeo-arabe, c'est les anglais.
Voilà ! Pourquoi compliquer quand on peut faire simple
Une Palestine donc, dans laquelle a été injecté un cancer qu'on appellera israel ! qui s'étend en tuant et massacrant des innocents ! C'est une maladie qu'il faut éliminer parce qu'elle fait du mal
Maintenant si tu veux me faire un cours sur l'histoire de la région en remontant jusqu'aux dinosaures, ça m'intéresse pas
La Palestine Britannique n'etait pas arabe mais judeo-arabe, l'etat Juif en est l'heritier en meme temps que l'etat arabe qui devait y avoir le jour. Les arabes ont refuse d'y etablir un etat independant faute de conscience nationale et ont prefere que le territoire fasse partie de la Jordanie et de l'Egypte.
Et je te fais savoir une chose, la Palestine Britannique a ete etablie par la communaute internationale dans un seul et unique but: La creation d'un foyer national juif. Et l'acte de naissance de la Palestine (la resolution de San Remo) le stipule. A la place des palestiniens, je me revendiquerait d'autre chose que de la Palestine Britannique. Le probleme est qu'a part ca, y a aucune entite dont ils peuvent reclamer l'heritage.
Dernière modification par absent, 26 avril 2012, 15h07.
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