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Euro-2012: la France boycottera les matchs en Ukraine

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  • Euro-2012: la France boycottera les matchs en Ukraine

    Les membres du gouvernement français ont refusé de se rendre en Ukraine pour les matchs de l'Euro de football-2012 en raison de la situation autour de l'ex-première ministre ukrainienne Ioulia Timochenko, a déclaré jeudi la ministre française de la Jeunesse et des Sports Valérie Fourneyron citée par les médias européens.
    "Aucun membre du gouvernement ne sera aux matches en Ukraine", a fait savoir la ministre française avant le début du match amical de préparation France-Serbie.
    Selon Mme Fourneyron, cette position a été prise "au regard de la préoccupation des valeurs européennes et notamment à la lumière de la situation de Mme Timochenko".
    Et d'ajouter que le Quai d'Orsay avait informé le gouvernement ukrainien et le gouvernement polonais de cette situation.
    Auparavant, Le président français François Hollande a laissé entendre qu'il n'irait pas en Ukraine pour l'Euro 2012 de football indiquant que ce qui se passait dans ce pays présentait "un problème".
    Les Bleus sont engagés dans le groupe D avec l'Ukraine, l'Angleterre et la Suède. Leur premier match est prévu le 11 juin à Donetsk contre l'Angleterre.

    RIA Novosti
    la curiosité est un vilain défaut.

  • #2
    où est le problème?
    la curiosité est un vilain défaut.

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    • #3
      N'est-il pas stipulé dans les règlements de la FIFA que les pays ne doivent pas mélanger le sport et la politique sous peine de sanctions?

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      • #4
        Comme il n'est pas stipulé que les membres des gouvernements doivent obligatoirement assister aux matchs de leurs équipes.

        C'est donc purement politique.

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        • #5
          Oh c'est vrai, il parlait des membres du gouvernement. Mais qu'est ce qu'on s'en fou qu'ils boycottent ou pas, ils vont se prendre une petite raclée à l'euro puis ils vont rentrés chez eux comme un petit chiot.

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          • #6
            merci pour vos interventions. je partage cet avis. qu'est-ce qu'on s'en tape de la présence ou de l'absence des membres du gouvernement français pour l'Euro 2010? en plus, c'est de la pure hypocrisie. cette mesurette est censée servir la cause de Lilia Timochenko. si la France avait l'intention de faire quelque chose pour Timochenko, l'équipe de foot ne ferait pas le déplacement.
            mieux vaut se taire que se ridiculiser en parlant. c'est bien connu, le silence est d'or.
            la curiosité est un vilain défaut.

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            • #7
              la meilleure, c'est que les ukrainiens réagissent au premier degré!

              Euro 2012 : Kiev dénonce le boycott français (titre)

              Le vice-premier ministre Boris Kolesnikov contre-attaque après les prises de position de Paris.

              Profondément irrité. Tel se déclare le gouvernement ukrainien, après l'annonce par la France du boycott politique de l'Euro 2012. «Aucun membre du gouvernement ne sera présent» à la Coupe d'Europe de football, avait déclaré jeudi soir la ministre de la Jeunesse et des Sports, Valérie Fourneyron. Une manière de protester contre le sort réservé à l'opposante et ancienne première ministre Ioulia Timochenko, condamnée à sept ans de prison pour avoir, en 2009, conclu un accord gazier jugé frauduleux avec le premier ministre russe, Vladimir Poutine.

              «La politique n'a rien à faire avec le sport» répliquait vendredi le vice-premier ministre, Boris Kolesnikov, dans un entretien accordé au Figaro. «Chaque pays a le droit ou non de participer à une compétition sportive, mais seule compte l'opinion des joueurs et des supporteurs qui, eux, n'ont pas de compte à rendre à leurs dirigeants politiques», ajoute ce très proche du président ukrainien Viktor Ianoukovitch.

              Officiellement, Paris devient la première capitale européenne à bouder l'événement sportif. Berlin pourrait suivre le mouvement, mais sans certitude. «L'Union européenne a le droit de faire pression sur l'Ukraine, mais nous ne nous laisserons pas faire. Nous sommes un pays souverain qui ne se permettrait pas de s'immiscer dans les affaires internes d'une autre nation», ajoute Boris Kolesnikov.

              Pour Kiev, la décision française est d'autant plus symbolique que l'équipe des Bleus est l'une des rares sélections qui ait établi son camp de base permanent non pas en Pologne mais en Ukraine, qui plus est à Donetsk, fief politique du président Ianoukovitch, situé dans l'est, russophone, du pays. Lors des matchs de qualification, la sélection de Laurent Blanc rencontrera justement le 15 juin l'équipe ukrainienne.

              Faucons contre pro-européens

              Nombreux sont ceux qui, au sein du gouvernement, critiquent une «diplomatie française à deux vitesses»: radicale à l'égard de l'Ukraine, pourtant considérée comme une démocratie en transition, mais indulgente envers le président russe Vladimir Poutine qui, pour sa part, fait réprimer la moindre contestation. «Pourquoi François Hollande n'annonce-t-il pas le boycott des Jeux olympiques d'hiver de Sotchi en 2014?», s'étonne une source proche du pouvoir.

              L'initiative du gouvernement français marque une nouvelle étape dans une cette crise euro-ukrainienne qui ne cesse de s'envenimer. La ratification par les Vingt-Sept d'un accord d'association entre les deux partenaires est aujourd'hui suspendue au sort médical de l'ancienne égérie de la révolution orange. Souffrant de douleurs dorsales, et accusant les autorités pénitentiaires de l'avoir malmenée dans sa cellule, Ioulia Timochenko exige d'être soignée à l'étranger. Le gouvernement ukrainien refuse. Bruxelles y voit une entreprise de persécution politique.

              À Kiev, l'impasse est totale. Le pouvoir se divise entre les «faucons», favorables à l'élimination politique définitive de Timochenko, et les pro-européens, qui redoutent d'être rejetés dans les bras de la Russie. Dans le premier camp, figure notamment le très soviétique procureur général, Viktor Pchouka, qui s'est dit prêt à épingler quatre autres chefs d'inculpation au tailleur de Timochenko, dont le meurtre d'un député en 1996. Dans le second, le secrétaire du Conseil de sécurité national, Andreï Kluev.

              Entre les deux, Viktor Ianoukovitch hésite. Bien qu'il réaffirme sa «volonté d'intégration européenne», le chef de l'État entend moins que jamais, céder aux «provocations» de Timochenko, dont les partisans ont «fêté», jeudi, les 300 jours depuis son arrestation. «Le conflit entre les deux ennemis est allé trop loin pour imaginer que Ianoukovitch fasse machine arrière, au moins à court terme. Ainsi, les opérations de boycott sont contre-productives», estime le politologue Vladimir Fessenko. Un avis partagé par plusieurs autres pays européens.

              Le Figaro
              la curiosité est un vilain défaut.

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              • #8
                ils veulent tous simplement pas aller voir l'équipe de france ce prendre une paté
                tu tombe je tombe car mane e mane
                après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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