IRIB- Une femme ayant la cinquantaine exprime, quant à elle, sa déception de la déroute de la révolution : «Nous sympathisions avec la révolution, dans son ancienne version, et non l’actuelle.... la révolution a éclaté contre l’oppression et l’injustice. mais ce qui se passe, aujourd’hui, n’a aucun lien avec nos rêves, lorsque nous avons organisé les manifestations..
Est-il possible que des hommes armés puissent obliger les gens du quartier Tadamone à leur payer des redevances».
Cette dame raconte qu’un chef militaire de l’ASL a rassemblé les notables du quartier et leur a demandé de lui verser une grande somme d’argent, sinon il provoquerait une grande bataille, dans le quartier, avec l’armée syrienne. «Au début, ils ont refusé, mais lorsque les miliciens se sont mis à piller les magasins, ils ont fini par céder», révèle cette Syrienne..
Est-il possible que des hommes armés puissent obliger les gens du quartier Tadamone à leur payer des redevances».
Cette dame raconte qu’un chef militaire de l’ASL a rassemblé les notables du quartier et leur a demandé de lui verser une grande somme d’argent, sinon il provoquerait une grande bataille, dans le quartier, avec l’armée syrienne. «Au début, ils ont refusé, mais lorsque les miliciens se sont mis à piller les magasins, ils ont fini par céder», révèle cette Syrienne..
Commentaire