Les Occidentaux appellent les Etats arabes à faire preuve de compréhension sur la question de l'arsenal nucléaire dont disposerait Israël lors de la conférence générale annuelle de l'AIEA prévue le 17 septembre prochain.
Un haut diplomate a indiqué que les pays arabes pourraient adresser des critiques à l'Etat hébreu sur cette question sensible bien qu'ils demeurent divisés sur la présentation d'une résolution devant les 154 membres de la conférence. L'an passé, les représentants arabes avaient fait «un geste de bonne volonté» en évitant de pointer du doigt Israël afin de ne pas hypothéquer les négociations prévues en 2012 sur la constitution d'une zone dénucléarisée au Proche-Orient.
«Montrer du doigt Israël ne serait d'aucune aide, ce serait contre-productif»
Israël avait salué cette décision «positive» mais le débat sur la question nucléaire était demeuré tendu avec les pays arabes. Selon des diplomates, aucune décision n'a encore été prise sur la présentation d'un texte non contraignant mais important d'un point de vue symbolique condamnant «les capacités nucléaires israéliennes» lors de la conférence qui débute le 17 septembre.
Une telle initiative pourrait remettre en cause la participation de l'Etat hébreu aux négociations sur la non-prolifération nucléaire au Proche-Orient cette année. L'Egypte prévoit de présenter lors de cette réunion un projet qui avait été adopté lors d'une conférence en 2010 dans le cadre de traité de non-prolifération (TNP).
«Le processus que nous devons lancer est très fragile», a reconnu un diplomate européen. «Montrer du doigt Israël ne serait d'aucune aide, ce serait contre-productif», a-t-il ajouté. Bien qu'il ne l'ait jamais admis, Israël est sans doute le seul Etat du Proche-Orient à disposer de la bombe atomique, ce qui lui vaut les condamnations régulières de ses voisins arabes et de l'Iran. L'Etat hébreu et les Etats-Unis considèrent l'Iran comme la principale menace en ce domaine et accusent Téhéran de travailler à un programme nucléaire militaire, ce que dément la République islamique.
src : 20minutes pris sur reuters
Un haut diplomate a indiqué que les pays arabes pourraient adresser des critiques à l'Etat hébreu sur cette question sensible bien qu'ils demeurent divisés sur la présentation d'une résolution devant les 154 membres de la conférence. L'an passé, les représentants arabes avaient fait «un geste de bonne volonté» en évitant de pointer du doigt Israël afin de ne pas hypothéquer les négociations prévues en 2012 sur la constitution d'une zone dénucléarisée au Proche-Orient.
«Montrer du doigt Israël ne serait d'aucune aide, ce serait contre-productif»
Israël avait salué cette décision «positive» mais le débat sur la question nucléaire était demeuré tendu avec les pays arabes. Selon des diplomates, aucune décision n'a encore été prise sur la présentation d'un texte non contraignant mais important d'un point de vue symbolique condamnant «les capacités nucléaires israéliennes» lors de la conférence qui débute le 17 septembre.
Une telle initiative pourrait remettre en cause la participation de l'Etat hébreu aux négociations sur la non-prolifération nucléaire au Proche-Orient cette année. L'Egypte prévoit de présenter lors de cette réunion un projet qui avait été adopté lors d'une conférence en 2010 dans le cadre de traité de non-prolifération (TNP).
«Le processus que nous devons lancer est très fragile», a reconnu un diplomate européen. «Montrer du doigt Israël ne serait d'aucune aide, ce serait contre-productif», a-t-il ajouté. Bien qu'il ne l'ait jamais admis, Israël est sans doute le seul Etat du Proche-Orient à disposer de la bombe atomique, ce qui lui vaut les condamnations régulières de ses voisins arabes et de l'Iran. L'Etat hébreu et les Etats-Unis considèrent l'Iran comme la principale menace en ce domaine et accusent Téhéran de travailler à un programme nucléaire militaire, ce que dément la République islamique.
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