La politique de redémarrage des relations russo-américaines ne fonctionne pas, a déclaré jeudi le républicain Paul Ryan, candidat à la vice-présidence américaine.
"Permettez-moi d'expliquer comment nous aurions agi. Nous n'aurions pas qualifié le président syrien Bachar el-Assad de réformateur à l'époque où il tuait ses citoyens à l'aide des armes fournies par la Russie", a dit M.Ryan lors des derniers débats avec le vice-président sortant Joe Biden.
"Nous n'aurions pas laissé l'Onu mener notre politique étrangère et autorisé le président russe Vladimir Poutine à mettre son veto à nos tentatives de résoudre le problème. Il a opposé trois vetos. Hillary Clinton a visité la Russie pour le dissuader. Sans succès. Mme Clinton a alors déclaré que la Russie se trouvait du mauvais côté de l'histoire. Elle a eu raison. Cela prouve encore une fois que le "redémarrage" ne marche pas", a insisté Paul Ryan, en allusion à la politique de redémarrage entre les deux pays lancée en 2009 par le président Barack Obama.
La Russie et la Chine ont opposé à trois reprises au Conseil de sécurité de l'Onu leur veto à des projets de résolution menaçant d'introduire des sanctions contre Damas.
source: ria novosti
"Permettez-moi d'expliquer comment nous aurions agi. Nous n'aurions pas qualifié le président syrien Bachar el-Assad de réformateur à l'époque où il tuait ses citoyens à l'aide des armes fournies par la Russie", a dit M.Ryan lors des derniers débats avec le vice-président sortant Joe Biden.
"Nous n'aurions pas laissé l'Onu mener notre politique étrangère et autorisé le président russe Vladimir Poutine à mettre son veto à nos tentatives de résoudre le problème. Il a opposé trois vetos. Hillary Clinton a visité la Russie pour le dissuader. Sans succès. Mme Clinton a alors déclaré que la Russie se trouvait du mauvais côté de l'histoire. Elle a eu raison. Cela prouve encore une fois que le "redémarrage" ne marche pas", a insisté Paul Ryan, en allusion à la politique de redémarrage entre les deux pays lancée en 2009 par le président Barack Obama.
La Russie et la Chine ont opposé à trois reprises au Conseil de sécurité de l'Onu leur veto à des projets de résolution menaçant d'introduire des sanctions contre Damas.
source: ria novosti
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