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les enfants de la misère

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  • #31
    Jawzia !! Plagiat es interdit sur FA

    Jawzia !! Tu es vraiment malade !! va te soigner ca sera mieux pour toi !! et dire que tu es mere et que tu as des enfants !!
    Pauvres enfants !!

    Non seulemnt le sujet a deja ete traité sur FA, mais tu y a particpés toi meme !! alors tu sais tres bien que tu n'as fais que relancer une discussion qui a deja terminé !!

    Pourquoi donc ? et pourquoi un nouveau topic ?
    Pauvre de toi !! tu es vraiment a pleindre !!

    Quelle education !! quelle haine !!! Quelle obsession et quelle mauvaise fois !! c'est trop pour une seule ame humain saine !!! c'est meme pas humain du tout !!!!!!!!!

    Alla yester

    -----> voila l 'autre topic et tes propres contributions

    Remarque:
    7 sur les 10 derniers topics ( 70 %)que tu as creés sont reservés au Maroc et sont tous doté d'une couleur clairement negatif !! tu veux prouver quoi au juste ?

    encore un fois : Allah yester
    Dernière modification par Tizinissa, 24 juillet 2006, 12h44.

    Commentaire


    • #32
      En principe je t'ignore, mais comme j'ai 5 ou 10 mn de temps en temps, pourquoi pas.
      Tout d'abord il faut se structurer soi même, assumer ses dires, se sentir libre avant de se poser la question d'être libre.
      Le devoir qu'a l'homme de sauvegarder son droit naturel à la liberté est en qque sorte l'index de sa vérité d'homme.
      Pour aller dans le sens du sujet, l'humanité est une valeur que tout homme, sous peine de se nier, et t'es pas loin, doit vouloir et savoir défendre.
      Ce problème des enfants, j'en ai déjà parlé, je le vis presque tous les jours, ici dans la région du Languedoc. Et pour éviter ses sarcasmes noséabondes, je ne te dirai pas qui sont ces enfants abandonnés.

      Commentaire


      • #33
        N'etant pas disponible car préparant mes vacances, je repondrai simplement par ceci :

        Merci pour ceux qui se soucient de ma santé. Je vais tres bien. Votre réaction, me réconforte.

        Plagiat, Ya si tizi veut dire s'approprier un écrit, une idée de quelqu'un d'autre. Le texte posté est referencé "le Monde". Donc, mauvais procès.

        Pour le reste, je poste, j'interviens dans n'importe quel sujet et je n'ai aucunement à me gener par rapport aux susceptibilités des uns ou aux autres. La seule condition etant le respect de la charte du forum.

        Bonne vacances.

        Commentaire


        • #34
          A TARIQLR

          Précise à qui tu accordes tes minutes si précieuses car ton texte est tellement brouillon que l'on n'arrive pas à savoir à qui il est destiné.

          Commentaire


          • #35
            Jawzia

            me gener par rapport aux susceptibilités

            suscptibilités ?? car tu crois vraiment qu'il y a de quoi suceptible ?

            C'est plutot la curiosité de savoir la cause de ta haine et de l'obsession qui te rangent qui m'interesse !!

            Dis nous donc a quoi ca te sert d'editer une deuxieme fois un sujet deja discuté ?

            Et puisque tu sembles tellement apprecier ce genre de sujets !! voila je te dirais ce qui est le cas en Algerie pour elargir un peu ton horizon !!

            Si ces deux articles ne osnt pas suffisant fais moi signe !

            je suis curieux de savoir ton commentaire !!

            J'espere que tu seras aussi actif que sur le meme sujet concernant le Maroc !!

            PS: ce sont des articles de la MAP !!!!

            ***********************************

            ...
            Toute cette pauvreté fait que des familles se nourrissent très mal. Des chiffres publiés par un quotidien sont on ne peut plus éloquents. En effet, une famille consomme moins de 2,7 kilos de viande par an, 4 kilos de céréales par jour, 485 grammes de pommes de terre et 425 grammes de fruits par jour et par famille. Plutôt maigre comme menu, qui permet aux familles de survivre, mais ne les met pas à l’abri des maladies qui découlent des carences alimentaires.
            2 430 bidonvilles sont recensés à Médéa, ce qui donne une idée des conditions de vie de toutes ces familles, dont les enfants, pour la plupart, ne sont pas scolarisés. L’école devient un luxe quand on a du mal à joindre les deux bouts et les enfants sont souvent contraints d’aider leurs parents.
            Rien de mieux que l’enquête réalisée par l’Observatoire des droits de l’enfant pour connaître la situation de ces chérubins obligés de sacrifier leurs jeux et loisirs. Cette enquête, qui touche huit wilayas (Alger, Blida, Tizi Ouzou, Tipaza, Aïn-Defla, Béjaïa, Boumerdès, Bouira) met à nu une vérité cruelle. 3 000 enfants travaillent dans ces wilayas ; 6% d’entre eux ont moins de 10 ans et 63% sont âgés de 13 à 17 ans. L’enquête fait ressortir que certains enfants fréquentent encore l’école, ils sont 3%, tandis que 37,5% ont été exclus du système scolaire. Certains de ces enfants ont quitté l’école d’eux-mêmes, car ils ne pouvaient concilier un travail qui prend tout leur temps et l’école où il faut sans cesse étudier, réviser, faire ses devoirs.
            Le travail des enfants varie selon la région qu’ils habitent et l’activité qui y est développée. Ainsi, dans les wilayas de Tizi Ouzou, Aïn Defla et Tipasa, on retrouve 57 enfants qui travaillent dans le domaine agricole, 197 sont bergers, tandis que 48 se retrouvent dans l’élevage. Dans les villes côtières, ces enfants se transforment en pêcheurs. D’autres secteurs sont investis, à savoir la maçonnerie, les travaux de mécanique ainsi que le ramassage des ordures dans les décharges publiques.
            Ceux qu’on retrouve dans la décharge de Oued Semmar, sales, dépenaillés, agressifs, n’ont plus rien de commun avec les enfants. L’amertume qui suinte à travers les propos qu’ils tiennent n’a de commune mesure que la misère qu’ils vivent et qui fait d’eux des êtres marginaux. 396 de ces gamins sont des revendeurs de cigarettes qu’ils sont nombreux à fumer.
            Les enfants investissent tous les secteurs, sans distinction. Ainsi, on en retrouve trois, dans la wilaya de Blida, impliqués dans un trafic de drogue et huit à Béjaïa, compromis dans un réseau de prostitution.
            Les enfants travaillent souvent dans des conditions pénibles. L’enquête fait ressortir que 28% d’entre eux exercent des activités qui se trouvent loin de leur lieu d’habitation, comme ces jeunes Blidéens qui parcourent 25 kilomètres pour vendre leurs poteries.
            Qu’ils se trouvent à Alger, à Tipaza, à Bejaïa ou dans n’importe quelle autre ville du pays, un point commun relie ces enfants : ils sont contraints de travailler pour aider aux dépenses familiales.
            En effet, ils sont 53% à travailler à cause de la pauvreté de leurs parents et 75% affirment qu’ils remettent l’argent qu’ils gagnent à leurs familles.
            Autre vérité encore plus amère : 47% de ces enfants ne sont pas satisfaits du sort que la vie leur a réservé. Se peut-il que de telles situations de pauvreté et d’exclusion perdurent dans un pays dont les réserves de change ont atteint, fin mai 2005, 46 milliards de dollars ?

            Khadidja Mohamed Bouziane
            Tout l'article

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            • #36
              Quotidien des enfants des bidonvilles: Entre pain sec et cigarette

              Entre pain sec et cigarette

              Collées l’une à l’autre, les baraques du bidonville Aïn El-Malha, situé aux lisières de la commune d’Aïn Naâdja, offre un sinistre décor d’impécuniosité et de malaise social. Erigées au début des années 1990, ces habitations précaires n’ont pas cessé de gagner du terrain.

              Actuellement, ces maisons de fortune abritent des milliers d’âmes. «Cela fait plus de dix ans que nous habitons ici. Le terrorisme nous a contraints à abandonner nos fermes et nos terres à Aïn Defla. Au départ, c’était pour nous une question de semaines, le temps de trouver un logement décent.

              Mais le destin en a voulu autrement. Mon mari n’a pas trouvé de travail et nos économies se sont épuisées au fil des jours. Cette baraque de misère est devenue notre seul salut», nous a raconté Nedjma, la quarantaine à peine entamée, mais qui paraît être plus âgée.

              La baraque, le seul salut Confrontée à la dure réalité de la vie, cette famille a dû se rendre à l’évidence. Habiter un logement décent est un désir éphémère. Les semaines sont alors devenues des mois et les mois des années. Abordant l’état de santé des enfants de ce bidonville, Nadjia, mère de six enfants dont l’aîné est âgé d’à peine 15 ans, nous a déclaré, non pas sans peine, que «plusieurs enfants de ce quartier sont asthmatiques.

              L’humidité et la pauvreté ont eu raison de la santé de nos petits. En été, on souffre de la canicule, et en hiver, on grelotte de froid. La majorité des habitants de ce bidonville n’ont pas les moyens d’acheter un chauffage électrique ou même à butane».

              Les mieux lotis se réchauffent à l’aide d’une résistance ou encore d’un feu de bois. Vêtu d’un survêtement, d’une paire de bottes en caoutchouc et d’un bonnet en laine rouge, Redouane, onze ans, presse le pas pour arriver à l’heure à l’école.

              «Le gardien ferme la porte à 14 h. Il ne tolère aucun retard. C’est notre dernier jour d’école aujourd’hui, les vacances d’hiver commencent demain», nous a-t-il lancé. «Comment ça se passe à l’école ?», lui a-t-on demandé. «Ch’ouia [un peu].

              Je n’ai personne pour m’aider à faire mes devoirs. A la maison, il est difficile de se concentrer sur ses études. Nous sommes sept personnes à occuper une pièce et une cuisine seulement», a-t-il répondu. Enfant dans la peau d’un adulte Cet enfant reste convaincu que l’école est un passage obligé de la vie, qu’il faut néanmoins écourter.

              Triste perception des choses. «La majorité des enfants de notre bidonville quitte l’école avant la 6e année fondamentale. Ils préfèrent travailler et aider aux besoins matériels de leur famille», nous a-t-il dit d’une voix à peine audible.

              Ces mineurs occupent le bas de l’échelle tertiaire. Ils sont vendeurs de cigarettes, receveurs dans des minibus privés ou encore «ramasseurs» de pain sec. «En moyenne, je gagne 150 dinars par jour. De cette façon, je contribue à subvenir aux besoins de ma famille.

              Mon père est contractuel dans un chantier de construction. Il ne gagne que 6 000 dinars par mois. C’est maigre pour une famille de neuf membres.» C’est par ces propos que Salah, treize ans, a tenté de nous expliquer sa façon de voir la vie.

              Pour Salah, quitter l’école était une manière de s’affirmer et de s’inscrire dans une logique sociale. «L’école n’est pas faite pour les gens comme nous. Mon père ne peut me garantir à chaque rentrée scolaire un cartable, des fournitures scolaires, des habits, etc.

              Si j’étais leur seul enfant, les choses ne seraient pas aussi compliquées…Nous sommes sept frères et sœurs. J’aurais aimé avoir une scolarité normale, mais c’est comme ça et pas autrement. J’ai appris à accepter ma vie. Il ne sert absolument à rien de se lamenter sur son sort», a-t-il tenu à préciser.

              Le cas de Salah n’est qu’un exemple parmi tant d’autres. Ils sont en effet des centaines d’enfants à vivre la même situation. Travailler est devenu leur «jeu» favori. Un «jeu» de survie, dans un lieu où la misère est palpable. De lourdes responsabilités sur des épaules d’enfants.

              Ni le bruit assourdissant ni les vibrations des trains ne gênent les habitants du baraquement longeant la voie ferrée El-Harrach-Samar. Le train fait partie du cadre de vie de ces citoyens «occasionnels». Leur citoyenneté n’est reconnue qu’en période électorale.

              Ces habitations sont construites avec des parpaings et des plaques de zinc en guise de toit. «J’ai acheté cette baraque il y a trois ans. Avant, je vivais avec ma femme et mes trois gosses chez mes parents. J’ai postulé pour un logement social, mais en vain.

              Pour le moment, j’attends l’attribution du prochain quota de logements et j’espère être sur la liste des bénéficiaires», nous a déclaré d’emblée Youcef, 35 ans, chauffeur de bus. Sur un ton d’amertume et de révolte, il a abordé la question de la précarité du cadre de vie dans ce bidonville.

              «Il est très difficile de vivre dans un bidonville. Les conditions de vie sont pénibles. Les branchements d’eau et d’électricité sont piratés. Nos enfants tombent souvent malades à cause de l’humidité et de la salubrité de l’environnement.» Prenant le relais, Nadia, épouse de Youcef, a ajouté : «Nous sommes obligés de vivre dans cet endroit.

              J’ai peur pour l’éducation et la fréquentation de mes deux gosses scolarisés. Ils sont en 4e et 5e année primaire. Lorsque j’ai un peu de temps, je préfère les attendre à la sortie de l’école. De cette façon, je peux les surveiller de près.

              J’ai même peur pour leur santé physique. Ils tombent souvent malades à cause du froid et de l’humidité. Les médicaments sont de plus en plus coûteux». Toutefois, l’espoir de bénéficier un jour d’un logement social la fait vivre. A quelques pâtés de maisons de chez Youcef, nous avons rencontré une mère de famille qui ne s’est pas fait prier pour répondre à nos questions.

              Cette dame, qui habite dans ce bidonville depuis douze ans, nous a expliqué que «toutes les institutions étatiques, administrations, hôpitaux, etc., sont concentrés à Alger. Ici, il y a plus d’opportunité de travail pour mes enfants.

              Ils ont interrompu leur scolarité à un âge précoce, mais je n’ai pas à me plaindre. Ils ont tous un salaire régulier. Les études ne sont plus synonymes de réussite sociale, semble-t-elle dire. Notre interlocutrice ne regrette pas le fait d’avoir quitté son village natal après la mort de son mari, assassiné par les terroristes, pour s’installer à Alger.

              «J’ai fui le terrorisme. Je ne voulais pas que mes enfants connaissent le même sort que leur père.» De point de vue psychologique, il est primordial pour l’enfant d’évoluer dans un milieu qui lui garantisse un bien-être spirituel et matériel.

              «Une grande partie des enfants des bidonvilles brûlent les étapes de sa croissance psychologique. Ils passent de l’étape de la petite enfance à celle de l’adulte sans transition. Ils sont obligés de travailler pour subvenir et aider matériellement leurs familles.

              Une tâche qui revient principalement aux adultes», nous a expliqué une psychologue à l’hôpital Mustapha. Les constructions précaires influent aussi sur l’état psychologique de l’enfant. «Les baraques, faciles à détruire, n’offrent pas à l’enfant la sécurité qu’une maison doit en général procurer.

              Cette situation lui donne le sentiment de se perdre dans l’espace. Il se sent déstabilisé, il n’a pas de maison qui le protège des dangers extérieurs. De cette manière, il risque d’y avoir des lacunes dans la construction de sa personnalité», a-t-elle ajouté.

              Côté officiel, M. Boudina, chargé de la communication au niveau de la wilaya d’Alger, nous a affirmé qu’actuellement, la capitale compte environ 25 000 baraques, avant d’ajouter qu’un programme d’éradication de l’habitat précaire est en cours.

              «L’éradication des bidonvilles figure parmi les préoccupations majeures des pouvoirs publics, et il existe une réelle volonté pour mener à terme ce programme qui s’inscrit dans la durée», a-t-il noté. Toutefois, il est important de signaler que cette opération a été retardée par les deux catastrophes naturelles qui ont frappé Alger et Boumerdès, respectivement en 2001 et en 2003.

              Il s’agit des inondations du 11 novembre 2001 et du violent séisme du 21 mai 2003. Ce tremblement de terre a fait 130 000 sans-abri. De ce fait, les responsables locaux étaient dans l’obligation de recaser les familles sinistrées dans des logements destinés initialement aux habitants des bidonvilles.

              Il est à signaler qu’en vue d’éviter l’implantation d’autres bidonvilles, après le relogement de ses occupants, les premiers responsables de la wilaya d’Alger tablent sur «la prévention et la vigilance». Pour cela, un dispositif d’information est mis en place, nous a indiqué M. Boudina.

              Il est grand temps que les pouvoirs publics se penchent sérieusement sur le phénomène de la ghettoïsation. Il est reconnu que les ghettos sont des foyers latents de troubles et de soulèvement populaire. M. B.

              par M.B., Le Jeune Indépendant, 3 janvier 2006

              Jawzia:
              Quant je pense tu utilises le sort cruel de ses pauvres diables pour nourir ta haine et ton ego malade je ne peux dire que c'est vraiment ignoble !!!!! comme si ces pauvres enfants n'ont pas assez comme ca !!! et tu pretend etre une mere d'enfant !!!!

              Allah yester

              Commentaire


              • #37
                Alors la c'est bon!
                Vous allez arreter oui?

                C'est quoi ca?
                Une guerre pour savoir qui a le plus de misere chez soit?
                Non mais c'est quoi ce jeu morbide?

                Vous etes freres et soeurs je vous signale!
                Si ca va mal chez nous des fois on le reconnait, pas besoin de vilipender a tout bout de champs!

                Je pense qu'il faut s'arreter la, et fermer ce topic.
                Ca degenere juste...

                Commentaire


                • #38
                  Vous etes freres et soeurs je vous signale!

                  Ah non la je suis pas d'accord mes soeurs sont loin mais tres loin de ce niveau, alhamdoulillah !!!

                  Ma reaction etait aussi pour dire que c'est facile de trouver des sujets pareilles sur l'Algerie et meme plus !! et si le but est de discuter ce sujet comme un probleme social alors faisant le (et on le fait regulierement) mais si le but est simplement de denigrer et de nourir des maladies psychique, et c'est le cas ici, alors qu'elle le fasse avec les problemes de chez elle !!
                  Dernière modification par Tizinissa, 24 juillet 2006, 20h45.

                  Commentaire


                  • #39
                    To whome it may concern

                    Quant je pense tu utilises le sort cruel de ses pauvres diables pour nourir ta haine
                    Alors là, Wallah Ma tahcham. Tu en parles comme si que je suis à la tête d’une organisation de traite de gamins. Reveille toi, c’est une réalité de ton pays pour laquelle je n’y suis pour rien.

                    Me reprocher de parler de choses négatives du Maroc !!! Et alors, tu t’en donnes à cœur joie, toi et quelques charognards dés qu’il y a un topic qui critique l’Algerie.

                    Et tu crois que je vais me gêner à poster ce que je veux. A discuter de ce que je veux. Alors là, c’est le comble.
                    Jusqu’à preuve du contraire je n’use pas d’invectives (bien que des fois c’est pas la tentation qui manque) et j’essaye de rester dans les lignes édictées par la charte du forum et cerise sur le gateau « c’est un Algérien (contrairement à ce que tu penses – il aurait fallu voir comment j’accorde mes Adjectifs et les participes _ ….je sais c’est trop demander) sur un forum Algérien »

                    Venir me raconter qu’il y a des enfants qui souffrent à karhat Bou tellaf, c’est essayer d’enfoncer des portes ouvertes. Moi, je le sais et je l’assume en tant que tel.
                    A l’opposé, la misère des enfants de Casa, Marrakech ….quelques uns semblent l’ignorer et feignent de l’ignorer. Pourquoi ? cela fait tâche dans le tableau que vous essayer de depeindre. Tout doit s'assumer.
                    Pour un post qui relate une réalité aussi amère soit-elle, il m’a valu quelques diagnostics médicaux, des insultes, des invitations à mendier…
                    Ceci dénote d’un complexe que certains ne pourront jamais, mais alors jamais s’en défaire. Je le sais, ils le savent.

                    Ah non la je suis pas d'accord mes soeurs sont loin mais tres loin de ce niveau,
                    Pour celle là, j’ai une réponse toute faite. Je peux pas …. Par pudeur.

                    PS: Dès demain je serai en vacances. Ta réponse est et sera insignifiante.

                    Commentaire


                    • #40
                      Venir me raconter qu’il y a des enfants qui souffrent à karhat Bou tellaf, c’est essayer d’enfoncer des portes ouvertes. Moi, je le sais et je l’assume en tant que tel.

                      en se rejouissant de la misere des autres ??!!! drole de facon d'assumer !!!

                      mais profites de tes vacances ! j'espere que tu te retabliras apres !! et du coup jettes un coup d'oeil sur les rues ou tu passes !!

                      Salam !!

                      PS: comentes nous les articles que je t'ai postés un peu ! et montres nou sun peu comment tu assumes !

                      Commentaire


                      • #41
                        C'est amusant

                        Ont parle de politique social

                        Ont veut apprendre aux Algeriens à faire du Social ..

                        Commentaire


                        • #42
                          Tizi, est ce que ces enfants algerien font aussi 6000dh ou 660$ par mois comme leur frere a marrakech ?

                          Commentaire


                          • #43
                            JAWZIA

                            J'apprécie que tu assumes que la pauvreté existe aussi en Algerie contrairement à certains de tes compatriotes qui ressassent la propagande de certains journaux officiels algeriens.
                            Nous sommes tous dans la même galère et nous devons pas nous cacher la face.

                            Commentaire


                            • #44
                              La television marocaine vient de diffuser,ce jour ,un reportage sur une femme agée de 70 ans qui a été apprehendée par la police avec,sur elle, environ 14 000 dollars ( oui ! 14 000 DOLLARS ) ainsi que des bracelets en or.

                              Elle a aussi declarée posseder deux maisons dans des villes differentes
                              .
                              La dame interviewée par le journaliste voulait retourner dans la rue pour,dit elle, quemander de quoi vivre.

                              Commentaire


                              • #45
                                parfaitement cher moumed
                                elle les a ammassée en 5 ans. cette somme etait, figurez vous, cousue dans sa "djellaba". on ne fait pas confiance aux banques

                                elle disait qu'elle se faisait 100 a 200 dh par jour. les vendredi jusqu'a 300 dh et les jour de l'aid "la3ouacher" 500 dh net.

                                je crois que je vais changer de metiers

                                il vont la garder un moment au centre de Titmellil. jusqu'a ce qu'il trouvent sa famille d'accueil. pour l'argent saisie ils vont le mettre sur un compte bancaire a son nom pour qu'elle puisse en benificier sous la surveillance d'une assistante sociale.
                                Dernière modification par marock27, 25 juillet 2006, 14h40.

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