Un peu etrange pour un pays qui compte lui meme une importante communauté a l'etranger qui "souffre" de problemes similaires !!
A noter que les clandestins subsahariens organisent actuellement, avec la souteins des ONG marocaines, des demonstrations au Maroc pour denoncer leure situation dificille au royaume !!
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Ils sont des milliers d'étrangers à choisir le Maroc comme terre d'accueil. La vie de ces étrangers n'est pas toujours sans difficultés. Dès lors se pose le problème de l'intégration de ces communautés dans la société marocaine. L'un des cas illustrant le plus cette situation est celui des immigrants originaires d'Afrique subsaharienne. Parmi eux se trouvent des étudiants dans la plupart des cas, mais aussi des sportifs, des fonctionnaires, des hommes d'affaires sans oublier les immigrés clandestins. Pour ces derniers, le Maroc est juste un lieu de transit.
Les autres catégories sont généralement au Maroc grâce à des accords avec leurs pays d'origine. C'est le cas de la plupart des étudiants.
Une fois au Maroc, ces étrangers doivent s'adapter, voire adopter les manières et la culture de leur pays d'accueil. Chez les étudiants, par exemple, le changement est parfois énorme, les systèmes éducatifs ne sont pas souvent les mêmes, ce qui peut provoquer un déséquilibre, une déstabilisation, qui compliquent davantage leur intégration.
Cette situation concerne surtout les étudiants en provenance des pays anglophones ou lusophones ; pire encore, ces jeunes, qui étaient censés étudier la médecine ou suivre d'autres filières scientifiques, se retrouvent dans les facultés de lettres et de droit où même leurs camarades francophones peinent à s'en sortir. Résultat, ils redoublent plusieurs fois leurs classes et sont parfois rapatriés. Chez les étudiants francophones aussi se pose la barrière linguistique.
En effet, les Marocains sont plus arabophones que francophones, alors tout dialogue devient impossible ; or il ne peut y avoir d'intégration sans la compréhension de la culture de l'autre, qui passe par la maîtrise sa langue.
Autre obstacle, les étrangers ont tendance à se regrouper en communautés et à s'isoler. Par conséquent, certains peuvent passer plusieurs années au Royaume sans être en mesure de parler la langue nationale. C'est le cas de cet étudiant togolais qui explique : " Je suis au Maroc depuis sept ans, mais je ne parle ni l'arabe, ni le darija, on est toujours resté en communautés, je ne côtoie pas beaucoup les Marocains… "
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A noter que les clandestins subsahariens organisent actuellement, avec la souteins des ONG marocaines, des demonstrations au Maroc pour denoncer leure situation dificille au royaume !!
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Ils sont des milliers d'étrangers à choisir le Maroc comme terre d'accueil. La vie de ces étrangers n'est pas toujours sans difficultés. Dès lors se pose le problème de l'intégration de ces communautés dans la société marocaine. L'un des cas illustrant le plus cette situation est celui des immigrants originaires d'Afrique subsaharienne. Parmi eux se trouvent des étudiants dans la plupart des cas, mais aussi des sportifs, des fonctionnaires, des hommes d'affaires sans oublier les immigrés clandestins. Pour ces derniers, le Maroc est juste un lieu de transit.
Les autres catégories sont généralement au Maroc grâce à des accords avec leurs pays d'origine. C'est le cas de la plupart des étudiants.
Une fois au Maroc, ces étrangers doivent s'adapter, voire adopter les manières et la culture de leur pays d'accueil. Chez les étudiants, par exemple, le changement est parfois énorme, les systèmes éducatifs ne sont pas souvent les mêmes, ce qui peut provoquer un déséquilibre, une déstabilisation, qui compliquent davantage leur intégration.
Cette situation concerne surtout les étudiants en provenance des pays anglophones ou lusophones ; pire encore, ces jeunes, qui étaient censés étudier la médecine ou suivre d'autres filières scientifiques, se retrouvent dans les facultés de lettres et de droit où même leurs camarades francophones peinent à s'en sortir. Résultat, ils redoublent plusieurs fois leurs classes et sont parfois rapatriés. Chez les étudiants francophones aussi se pose la barrière linguistique.
En effet, les Marocains sont plus arabophones que francophones, alors tout dialogue devient impossible ; or il ne peut y avoir d'intégration sans la compréhension de la culture de l'autre, qui passe par la maîtrise sa langue.
Autre obstacle, les étrangers ont tendance à se regrouper en communautés et à s'isoler. Par conséquent, certains peuvent passer plusieurs années au Royaume sans être en mesure de parler la langue nationale. C'est le cas de cet étudiant togolais qui explique : " Je suis au Maroc depuis sept ans, mais je ne parle ni l'arabe, ni le darija, on est toujours resté en communautés, je ne côtoie pas beaucoup les Marocains… "
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