ils ont compris que l'Algerie c'est pas un bon parti et qu'elle n'a surtout plus aucune influence.
Annonce
Réduire
Aucune annonce.
Au Mali, Ansar Eddine renonce à cesser les hostilités
Réduire
X
-
A ta place je ne rirai pas parce que dahk wela fikoumSouviens toi le jour où tu es né tout le monde riait mais toi, tu pleurais, la vie est éphémère
alors œuvre de telle façon… à ce qu’au jour ou tu mourras, tout le monde pleurera… mais toi… tu riras
Commentaire
-
machi mouchkil entre dahk li fiya w dahk li f bladek, je pense que le plus grave c'est dahk li f bladek, je sais pas si tu as remarqué mais plus aucun pays ne calcule l'algerie, ils ont compris qu'elle était incapable de faire quelque chose, meme Ansar Dine vous a laché
Commentaire
-
encore une analyse bouffonne dabachi
tu peu parler autant que tu veut entre tes rêves et la réalité il y as un gouffre ,je sais sa te plait pas trop mais c'est ainsiSouviens toi le jour où tu es né tout le monde riait mais toi, tu pleurais, la vie est éphémère
alors œuvre de telle façon… à ce qu’au jour ou tu mourras, tout le monde pleurera… mais toi… tu riras
Commentaire
-
Loin de l article Le Monde .fr ????
Ançar Eddine met la pression sur Bamako
Les déclarations de Dioncounda Traoré, président malien par intérim, qui affirmait lundi que le Mali «n’attendra pas des mois» pour faire «la guerre contre les terroristes», n’ont pas plu à Ançar Eddine.
Dans un communiqué publié hier par l’agence mauritanienne Sahara Médias, le groupe armé annonce qu’«Ançar Eddine décide de retirer l’offre de cessation des hostilités concomitamment avec les négociations menées à Ouagadougou» autour du président burkinabè, Blaise Compaoré, médiateur pour l’Afrique de l’Ouest dans la crise malienne.
Iyad Ag Ghali, le chef d’Ançar Eddine, accuse le gouvernement malien «de mépriser cette offre à laquelle il n’a jamais répondu positivement», alors que cette proposition de cessation des hostilités a été «arrachée» par des intermédiaires au terme de «rudes négociations». Le 21 décembre dernier, Ançar Eddine et le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) ont signé, à Alger, une déclaration de partenariat dans laquelle ils s’engagent à «s’abstenir de toute action susceptible d’engendrer une situation de confrontation et toute forme d’hostilité dans la zone qu’ils contrôlent». Joint par téléphone, un responsable d’Ançar Eddine assure que la décision de son mouvement est «unilatérale» et «n’engage en rien le MNLA».
«Depuis deux mois, nous faisons preuve de bonne volonté. Alger et Ouagadougou nous ont amenés à cesser les hostilités mais finalement, cela ne sert à rien, puisque Bamako continue d’appeler à une intervention militaire et a choisi de ne pas répondre à notre souhait de trouver une solution négociée.» Selon le communiqué, Bamako «mène une campagne sans précédent» et «recrute des mercenaires» pour écraser les populations du nord du Mali. Si ce revirement a pour objectif de mettre la pression sur Bamako, le MNLA, qui s’apprête à tenir son premier congrès du 7 au 9 janvier prochain à Tinzaouatine (Mali), ne partage pas les mêmes méthodes.
«Les réactions d’un Etat en décomposition et d’une armée déstructurée ne doivent pas nous pousser, nous et Ançar Eddine, à remettre en question les points sur lesquels nous avons décidé de lutter ensemble, souligne Mossa Ag Attaher, chargé de communication du bureau politique du MNLA, qui tient toutefois à se démarquer de ses nouveaux partenaires. Notre mouvement reste résolument engagé à trouver une solution politique et tiendra jusqu’au bout ses engagements envers la communauté internationale, la Cédéao, Ouagadougou et Alger.»
El Watan par Melanie Matarese
PS :
Une intervention militaire au Mali
l état malien devant le fait accompli pour un embrasement entre les fractions au Mali , le MNLA d un coté , Ançar Eddine de l autre et l armée malienne au milieu …La mayonnaise malienne de couleur noire apparaitra ..A qui sait comprendre , peu de mots suffisent
Commentaire
Commentaire