Le président tunisien Zine El Abidine Ben Ali a réitéré jeudi son appel à un cessez-le-feu au Liban afin de "préserver des vies innocentes et de favoriser le retour à la négociation et les solutions diplomatiques et pacifiques".
Il a exhorté le conseil de sécurité de l'ONU à hâter les consultations en vue de parvenir "dans les plus brefs délais" à une résolution qui soit acceptable pour le Liban et applicable sur le terrain.
S'adressant à la conférence annuelle des chefs de missions diplomatiques et consulaires tunisiennes, il a qualifié de "tragique" la situation qu'endurent les peuples libanais et palestinien et noté "la profonde préoccupation" qu'elle suscite en Tunisie.
"Face à ce drame, la communauté internationale et tout particulièrement les puissances influentes, n'ont pas assumé les responsabilité qui leur incombaient d'intervenir rapidement et efficacement pour mettre fin aux effusions de sang", a ajouté le président tunisien.
Il a par ailleurs invité les Etats arabes, notamment les pays dotés de moyens matériels, "à un élan énergique de solidarité" pour la reconstruction et l'élimination des séquelles de la dévastation au Liban et dans les territoires palestiniens.
Selon lui, "le règlement de la crise libanaise est indissociable du problème fondamental du Moyen-Orient, qui est celui de la cause du peuple palestinien". Il a donc appelé à assurer "les conditions propices à la reprise du processus de paix, en vue de garantir sécurité et stabilité dans la région et dans le monde".
Par AP
Il a exhorté le conseil de sécurité de l'ONU à hâter les consultations en vue de parvenir "dans les plus brefs délais" à une résolution qui soit acceptable pour le Liban et applicable sur le terrain.
S'adressant à la conférence annuelle des chefs de missions diplomatiques et consulaires tunisiennes, il a qualifié de "tragique" la situation qu'endurent les peuples libanais et palestinien et noté "la profonde préoccupation" qu'elle suscite en Tunisie.
"Face à ce drame, la communauté internationale et tout particulièrement les puissances influentes, n'ont pas assumé les responsabilité qui leur incombaient d'intervenir rapidement et efficacement pour mettre fin aux effusions de sang", a ajouté le président tunisien.
Il a par ailleurs invité les Etats arabes, notamment les pays dotés de moyens matériels, "à un élan énergique de solidarité" pour la reconstruction et l'élimination des séquelles de la dévastation au Liban et dans les territoires palestiniens.
Selon lui, "le règlement de la crise libanaise est indissociable du problème fondamental du Moyen-Orient, qui est celui de la cause du peuple palestinien". Il a donc appelé à assurer "les conditions propices à la reprise du processus de paix, en vue de garantir sécurité et stabilité dans la région et dans le monde".
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