En Libye le nombre de victimes ayant consommé de l'alcool frelaté s'est encore alourdi. Le bureau d'information du ministère de la santé fait état maintenant de 51 morts et et de près de 400 cas d'empoisonnement.
Une affaire qui choque le pays où la consommation d'alcool est non seulement interdite mais un tabou.
Le ministère de la santé a mis en état d'alerte tous les hôpitaux de Tripoli.
Les premiers cas d'empoisonnement par consommation d'alcool frelaté ont été signalés samedi et depuis le nombre de décès ne cesse d'augmenter atteignant la cinquantaine de cas.
Il s'agirait d'un alcool produit localement à partir de fermentation de fruits comme les figues, les dattes ou le raisin et connu sous le nom de Bokha.
Selon le chef du service sanitaire du Centre médical de Tripoli, des examens préliminaires ont révélé que cet alcool frelaté contenait du méthanol, un produit qui peut provoquer une insuffisance rénale, une cécité ou des crises d'épilepsie et avoir des conséquences mortelles.
Source: BBC
Une affaire qui choque le pays où la consommation d'alcool est non seulement interdite mais un tabou.
Le ministère de la santé a mis en état d'alerte tous les hôpitaux de Tripoli.
Les premiers cas d'empoisonnement par consommation d'alcool frelaté ont été signalés samedi et depuis le nombre de décès ne cesse d'augmenter atteignant la cinquantaine de cas.
Il s'agirait d'un alcool produit localement à partir de fermentation de fruits comme les figues, les dattes ou le raisin et connu sous le nom de Bokha.
Selon le chef du service sanitaire du Centre médical de Tripoli, des examens préliminaires ont révélé que cet alcool frelaté contenait du méthanol, un produit qui peut provoquer une insuffisance rénale, une cécité ou des crises d'épilepsie et avoir des conséquences mortelles.
Source: BBC
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