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Armer la révolution en Syrie… Vous avez une meilleure solution ?

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  • #16
    pourquoi pas lui confier les affaires de l'état dés le début sans le simulacre constitutionel!?
    l'armée est garante de la stabilité du pays , si l'Etat est en danger ,il convient de prendre les dispositions politiques et militaires pour écarter le danger , si une majorité de la population manifeste pendant des mois pour le départ du président la seule alternative est des éléctions anticipées et démocratiques , si le pouvoir en place refuse toujours cette voie , le devoir des forces armées est d'intervenir politiquement et de ne surtout pas tirer sur le peuple qu'elle est sensée protéger..
    ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
    On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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    • #17
      Coup d'état de l'armée...
      Totalement impossible. Puisque l’armée, les services secrets - tous les postes stratégiques de très haut et intermédiaire rang - c’est uniquement ‘les Alaouites’ au minimum à 90 %, donc par conséquent Assad. Ce qui est sunnite est dérisoire et de simple simulacre.



      ...
      Dernière modification par Adama, 17 mars 2013, 21h06.

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      • #18
        otalement impossible. Puisque l’armée, les services secrets - tous les postes stratégiques de haut et intermédiaire rang - c’est uniquement ‘les Alaouites’ à au moins 90 %, donc par conséquent Assad. Ce qui est sunnite est dérisoire et de simple simulacre.
        ils ont dû copier ça à l'organigramme séoudien, à moins que ce ne soit l'inverse

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        • #19
          Citation :

          Syrie : un officier supérieur parle

          par Zénobie, mercredi 7 septembre 2011

          « L’armée de la Syrie n’est que l’armée des services de sécurité syriens (jaych amni). » Mon interlocuteur a prononcé ces mots gravement. On l’appellera Mohammed, c’est un officier supérieur sunnite.

          Comment en est-on arrivé là ?

          Il faut remonter aux années 1960 où, en quatre coups d’Etat, se mettent en place les cadres de l’actuel système politique syrien : la ruralisation des villes et du régime, l’arrivée au pouvoir de la minorité alaouite et la domination du parti et des civils par l’armée. Le dernier putsch, celui de Hafez Al-Assad, père de l’actuel président, en 1970, va parachever la construction du système autoritaire. Il instaure un maillage complet de la société syrienne autour de l’armée et des organes de la Sûreté, du parti et de la bureaucratie. Le régime utilise aussi les liens de solidarité familiaux, claniques, communautaires et régionaux pour se constituer une clientèle (qui est évidemment rémunérée par les postes de la fonction publique). Le croisement des liens communautaires et de l’obsession du contrôle sécuritaire produit la prédominance alaouite dans les hautes charges de l’armée et des organes de sécurité. Le ciment de l’édifice sécuritaire, c’est la culture de la peur que la révolte vient de mettre à bas. Sous M. Bachar Al-Assad (depuis 2000), le parti, la bureaucratie et l’armée sont passés directement sous le contrôle des services de sécurité, eux-mêmes entièrement aux mains de la famille Assad. Les Syriens considèrent même que le parti est le sixième service de sécurité.

          - Z. : « Combien d’hommes travaillent dans l’armée et les services de sécurité ? »

          - M. : « Leur nombre total dépasserait 700 000 personnes : 400 000 hommes dans les forces armées régulières, 100 000 hommes dans la police et les services de renseignement, et plusieurs dizaines de milliers employés à temps partiel par les organes de la Sûreté. »

          Ce sont ces derniers qui forment les bataillons de chabbiha et de francs-tireurs. Les chabbiha sont des ruraux et sans doute des prisonniers de droit commun libérés au début de la révolte. On estime à plus de 100 000 le nombre d’Alaouites dans les services de sécurité, sans compter l’armée et la Garde présidentielle, forte de plusieurs dizaines de milliers d’hommes, qui est totalement alaouite. Les Alaouites représenteraient en 2011 quelque 10 % de la population. La moitié des fonctionnaires serait employée dans l’appareil de sécurité.

          A ces hommes, il faut ajouter plus de 60 000 civils employés par le ministère de la défense (notamment dans l’établissement du logement militaire, mouassassat al-iskan al-askari, dirigé par un cousin d’Al-Assad). Ces hommes, comme d’autres agents de l’Etat, sont obligés, sous peine de perdre leur poste, de venir assister le pouvoir dans la répression : ce sont eux qu’on voit munis de bâtons électriques ou de barres de fer, souvent placés à la sortie des mosquées. Ils sont aussi mobilisés dans les manifestations de soutien au régime...

          - Z. : « Mais cette armée est bien chargée de la défense du territoire ? »

          Mohammed sourit, sa main qui allait prendre la tasse de café s’arrête, comme suspendue. Il la pose sur la table et me regarde.

          - M. : « Certes, mais on peut s’interroger depuis les années 1990 : une grande partie du budget national est affectée à l’armée. Or, il n’y a plus de réel renouvellement de matériel pour la majorité des divisions et unités militaires. Alors, où va l’argent ? De plus, une brigade a été créée à la frontière avec Israël (liwa nitaq al-hita) mais elle n’est dotée d’aucune capacité militaire, elle n’a même pas de chars… Enfin, la direction militaire semble très occupée ailleurs comme, par exemple, écarter de l’armée et du service militaire les Damascènes : ainsi, un jeune Sunnite damascène peut payer une sorte de salaire mensuel à un officier responsable pour valider son service en restant chez lui ou en travaillant à Damas »…

          - Z. : « En ce qui concerne les appartenances confessionnelles au sein de l’armée ? »

          - M. : « On est arrivé à cette situation hautement symbolique où il n’y a plus que deux appartenances réelles : l’alaouite et la sunnite (fi alawi wa fi sunni) mais par sunnite, il faut entendre toutes les autres communautés » [sunnite, druze, chrétiennes, etc., soit 90% de la population, NDLR]. « En principe, poursuit mon interlocuteur, quand un commandant de division, de brigade ou autre unité militaire est sunnite, son adjoint est alaouite et vice-versa. »

          C’est d’ailleurs le même principe qui dirige l’attribution des postes de ministres dans le gouvernement, chaque ministre non-alaouite étant chapeauté d’un adjoint alaouite qui détient la réalité de la décision politique. On notera que la récente nomination d’un chrétien à la tête du ministère de la défense, vise sans doute à impliquer plus encore les chrétiens du côté du régime.

          - M. : « La décision dans l’armée (comme dans la Sûreté) revient toujours aux officiers alaouites, les sunnites n’ont pas de poids. Un lieutenant alaouite pistonné par la Sûreté peut exercer un pouvoir complet (kamel al-sulta) dans son secteur et avoir plus d’importance que son supérieur sunnite. Par exemple, ces officiers alaouites pistonnés, quelle que soit leur ancienneté dans l’armée, auront à leur disposition une belle voiture neuve et les officiers supérieurs sunnites poursuivront leurs déplacements à bord de vieilles Jeep… Les sanctions prévues pour les officiers en cas de faute grave ne sont pas appliquées avec la même sévérité aux uns et aux autres… De plus, les officiers sunnites peuvent faire l’objet d’enquêtes ou de surveillances internes pour s’assurer de leur loyauté au régime. D’ailleurs, il est très difficile pour un sunnite de s’élever au grade de général [amid], il est généralement mis à la retraite avant… »

          - Z. : « Le principe confessionnel apparaît-il sous d’autres formes dans l’armée ? »

          Mohammed prend sa tasse de café avant de répondre.

          - M. : « Le principe confessionnel est généralisé mais relève du non-dit. L’armée syrienne est composée de sept divisions (firaq), chacune dirigée par un général de division (liwa). La quatrième division, commandée par Maher, frère de Bachar Al-Assad [et qui dirige aussi la Garde présidentielle], est la plus importante, elle compterait de 40 000 à 50 000 hommes, tous alaouites, et c’est la section qui reçoit l’équipement militaire le plus sophistiqué. C’est cette division qui a été impliquée dès le début dans la répression à Deraa. »

          Mohammed boit une gorgée de café et ajoute :

          - « Tous les officiers des services de sécurité viennent de l’armée. Dans la nomination des officiers, et leur promotion, c’est la Sûreté (amn) qui donne à l’Etat-major les noms des officiers à promouvoir... D’ailleurs, dans la répression de la révolte, toutes les décisions sont prises par les officiers de la Sûreté. Même lorsqu’il s’agit de déplacer un tank... L’armée syrienne incarne, si on veut, le pouvoir exécutif (al-sultat al-tanfiziyya) de la sûreté et pas de l’Etat-major. »

          - Z. : « Et les officiers et soldats tués pendant la révolte ? »

          - M. : « Il est difficile de savoir ce qui se passe exactement. Aucun militaire syrien ne doute de la capacité de la Sûreté à liquider ceux qui refuseraient d’exécuter un ordre. Dans la logique sécuritaire du régime, la Sûreté préfèrerait certainement abattre quelques alaouites pour pousser ou faire croire à un conflit confessionnel, c’est bien plus rentable pour le régime que d’abattre un sunnite ! Ceci dit, il n’est pas impossible que les militaires envoyés sur le terrain de la répression soient tous alaouites, on peut même penser que ce sont des éléments alaouites des quelque 100 000 agents de police et de la Sûreté que l’on a habillés en soldats pour les envoyer abattre du « sunnite ». Ce serait bien dans la logique de ce régime confessionnel qui ne dit pas son nom. Mais la mort de militaires ou de membres des services de sécurité peut aussi être liée à des actes de vengeance individuels, à des initiatives locales. Ainsi à Deraa en mars dernier, les gens ont repéré un sniper sur le toit d’un immeuble, ils ont brûlé l’immeuble pour se débarrasser du sniper… A Jisr al-Choghour, des habitants ont attaqué le poste de police avec un bulldozer. La répression est si violente, si barbare, qu’elle peut produire des réactions inattendues ! »

          Il reste tout de même que l’on n’a aucune image de la mort de ces militaires alors que pour ce qui est des manifestants, on les voit tomber quasiment en direct…

          J’ai dû penser tout haut, Mohammed me regarde avec un air ironique cette fois-ci.

          - Z. : « Que faut-il penser de “l’armée syrienne libre” (al-jaych al-suri al-hurr) et peut-on envisager une éventuelle fracture au sein de l’armée ? »

          - M. : « Il s’agit de dissidences individuelles et pas de la scission d’une unité militaire complète ! Ces dissidences isolées ne peuvent pas délivrer un quelconque message fort au pouvoir. La composition communautaire de chaque unité militaire empêche toute homogénéité pour les sunnites (mais pas pour les alaouites comme la quatrième division le prouve). La répartition des postes de commandement dans l’armée est organisée de telle sorte que même si un ordre dissident venait d’un officier du groupe sunnite, il serait bloqué à divers niveaux par des officiers et sous-officiers alaouites ou alliés du régime. Il ne faut pas attendre de cette armée le moindre soutien aux manifestants. Je le répète c’est une armée de barbouzes, jaych amni », dit-il en prononçant distinctement chaque syllabe…

          - Z. : « Alors, quelles sont les perspectives de la révolte ? »

          - M. : « Difficile à dire sinon qu’elles sont sombres. En même temps, le régime s’est perdu lui-même. Si les manifestants sont bien décidés à ne pas se soumettre, le régime n’est pas prêt non plus à céder quoi que ce soit. Les Assad n’arrivent pas à imaginer qu’un jour ils ne seront plus là ! C’est pourquoi la répression est allée en s’aggravant. Aujourd’hui, l’armée et le régime ont déclaré une véritable guerre aux manifestants pacifiques et aux civils syriens en lançant contre eux les hélicoptères, les blindés et la marine de guerre… La seule possibilité du côté militaire ne pourrait venir que d’une scission, peu probable, au sein de la direction des services de sécurité, qui pourrait alors entraîner d’autres secteurs de l’armée... »

          Mohammed pose sa tasse de café, son regard se perd dans le vague.

          En attendant, le régime diffuse un numéro de téléphone pour que les citoyens puissent dénoncer ceux qui le critiquent. Délation de triste mémoire...


          Le Monde diplomatique




          Dernière modification par Adama, 17 mars 2013, 21h41.

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          • #20
            Syrie - Alain Chouet : "Ce n'est pas en armant des salafistes qu'on trouvera une solution"

            Ancien chef de poste de la DGSE à Damas, puis cadre supérieur des services secrets, Alain Chouet conteste la décision française de livrer des armes à l'opposition syrienne.


            Le président français François Hollande a souhaité vendredi que les Européens prennent "dans les prochaines semaines" une décision sur la levée de l'embargo sur la fourniture d'armes aux forces d'opposition syriennes. "Des armes sont livrées par des pays, dont la Russie, à Bachar el-Assad et son régime. Nous devons en tirer toutes les conclusions et l'Europe doit prendre sa décision dans les prochaines semaines", a déclaré François Hollande. Il a précisé que "toutes les conséquences de la levée de l'embargo" seraient examinées par les ministres des Affaires étrangères au cours d'une réunion prévue de longue date les 22 et 23 mars à Dublin.

            Une démarche jugée sévèrement par Alain Chouet, ancien chef de poste de la DGSE à Damas, puis cadre supérieur des services secrets. Il est l'un des meilleurs connaisseurs du monde arabo-musulman. Rencontre.

            Le Point.fr : Est-il opportun que la France livre des armes à l'opposition syrienne ?

            Alain Chouet : Je suis confondu par cette affaire. On se trouverait complètement en dehors de la légalité internationale, dans une situation sans précédent. Pour prendre une comparaison, c'est comme si la France, en 1992, avait décidé unilatéralement d'armer le GIA (Groupe islamique armé) et le FIS (Front islamique du salut) algériens, sous prétexte qu'ils avaient gagné les élections et que les militaires avaient interrompu le processus électoral. Dans le cas de la Syrie, nous armerions des groupes non représentatifs et reconnus par personne, si ce n'est par nous ! l'ONU n'a pas reconnu l'opposition, et d'ailleurs, de quelle opposition parlons-nous ? Elle est totalement hétéroclite et divisée, les militaires ne reconnaissent pas l'autorité des politiques et, à l'intérieur de la composante militaire, les milices djihadistes ont pris le pas sur les autres.
            Quelles armes la France veut-elle livrer ?

            Je ne le sais pas. J'entends parler d'armes "défensives", qui ne font pour moi aucune différence avec les armes "offensives". Quant à évoquer des armes "non létales", on joue sur les mots. Et je ne sais pas à qui on va les donner... Certains responsables politiques français affirment que nos services spéciaux savent parfaitement à qui il faut les donner. Je connais la Syrie depuis 40 ans, j'ai fait partie des services spéciaux pendant 30 ans et j'affirme qu'une telle certitude est totalement présomptueuse. Ce que je constate, c'est que, sur le terrain, celle qu'on appelle l'ASL (Armée syrienne libre) est composée d'officiers et d'hommes de troupe qui ont déserté vers la Turquie et qui se trouvent pour la plupart consignés dans des camps militaires quand ils n'ont pas donné des gages d'islamisme
            . L'un des fondateurs de l'ASL, le colonel Riad al-Assaad, se trouve pratiquement assigné à résidence avec l'interdiction de se rendre sur le territoire syrien. Tout cela pour laisser la place aux groupes salafistes et aux djihadistes. Je repose donc la question : quelles armes allons-nous donner et à qui ?
            Si Londres et Paris veulent livrer des armes, c'est pour balayer Bachar el-Assad. Pourquoi bouger maintenant, après deux ans de quasi-immobilisme ?

            Nous n'avons aucun mandat de l'ONU ou de qui que ce soit d'autre ni de légitimité juridique pour renverser le président Assad quels que soient ses torts. Ce n'est pas aux Français ni aux Anglais de le faire, mais aux Syriens. Depuis deux ans, la France a fourni aux opposants syriens une assistance logistique, technique, des entraînements organisés par les services spéciaux, également britanniques ou américains. Cette fois, en livrant officiellement des armes, on passe à un autre stade !

            Ce n'est tout de même pas d'aujourd'hui que des services secrets soutiennent des groupes d'opposition armés au mépris des lois internationales !

            Certes, et ces services sont même faits pour ça... On ne peut envoyer des militaires avec drapeaux, plumes et trompettes que lorsqu'on en a le mandat dans le cadre de la légalité internationale. Mais dès lors qu'un ministre des Affaires étrangères proclame qu'il va apporter une aide militaire à des étrangers désireux de renverser leur gouvernement, même si les instances internationales s'y opposent, on entre dans une forme nouvelle et dangereuse de l'illégalité internationale.

            Vous connaissez extrêmement bien la Syrie, où vous avez longtemps été en poste et dont vous parlez la langue. Quelle est votre appréciation globale sur la situation ?

            Depuis deux ans, la situation s'est gravement dégradée. On est dans un pays dévasté, ruiné, en proie à des affrontements ethniques et confessionnels, où rien ne sera plus jamais comme avant. On est entré dans une logique de guerre civile semblable à celle qui a ensanglanté le Liban pendant 15 ans. Mais je vous le dis nettement : ce n'est pas en armant des salafistes qu'on va arriver à une solution. D'une façon hypocrite, la France a appelé à une solution négociée en disqualifiant d'emblée une des parties sommée de ne pas se présenter à la table des discussions, en l'occurrence le pouvoir en place. Que reste-t-il alors à négocier ? Depuis le début de cette affaire, on se trouve dans le flou militaire, juridique, politique ou idéologique. J'ai le plus grand mal à m'y retrouver. On est dans une ambiguïté absolue en soutenant en Syrie ceux contre lesquels on lutte ailleurs.
            Pouvez-vous être plus précis ?

            J'évoque ici le Mali. Même si comparaison n'est pas raison et si les islamistes qui se manifestent au Mali ne sont pas les mêmes qui se battent en Syrie, ils ont les mêmes objectifs, les mêmes inspirateurs, les mêmes idéologues et les mêmes financiers. Je trouve ça tout à fait curieux. Et en tant qu'ancien responsable d'un grand service de l'État, je suis assez perturbé par ces choix bizarres et antagonistes de nos diplomates et de nos politiques. lepoint.fr
            "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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            • #21
              l'armée est garante de la stabilité du pays , si l'Etat est en danger
              les manifs deviennent maintenant un danger pour la stabilité? donc quand les islamistes arrivent au pouvoir, c'est un printemps, quand c'est une armée etrangére qui s'y méle et fait et défait les gouvernants, c'est encore une révolution, mais quand les terros sont coincés face á une armée nationale, il aurait fallu que cette armée passe aux coups d'étas?? drôle de maniére, trop trop selectif comme vision!

              Commentaire


              • #22
                les manifs deviennent maintenant un danger pour la stabilité? donc quand les islamistes arrivent au pouvoir, c'est un printemps, quand c'est une armée etrangére qui s'y méle et fait et défait les gouvernants, c'est encore une révolution, mais quand les terros sont coincés face á une armée nationale, il aurait fallu que cette armée passe aux coups d'étas?? drôle de maniére, trop trop selectif comme vision!
                Ecoute Taghiti , si bachar était parti il y'a de celà deux ans , la syrie aurait fait l'économie de cette guerre et de ses effets .., l'Eta aurait été préservé et plus important l'armée syrienne serait toujours unie et n'aurait pas eu à bombarder ses propres villes...
                ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

                Commentaire


                • #23
                  et n'aurait pas eu à bombarder ses propres villes...
                  ca me suffit comme raison pour m'arreter ici!

                  Commentaire


                  • #24
                    Armer la révolution en Syrie… Vous avez une meilleure solution ?

                    que Assad..cede la place..

                    Commentaire


                    • #25
                      posté par sinia

                      et n'aurait pas eu à bombarder ses propres villes...
                      .
                      Ils ecrasent sans pitiés la chair à canon payé par l Arabie saoudite et le Qatar , ainsi qui les soutiennent en Syrie

                      -Et les terroristes au nom d allah Okbar , le coran et le fisil ...Allah Okbar ( Tnoufiq ) qui explose des voitures piégées ...ça tu ne le vois pas ?
                      en Libye , l OTAN et Sarko ont détruit toute la Libye ,
                      Hein c est haram d en parler , ce sont des kouffars ??

                      Comprend trés bien , les algériens ne sont pas allaités de Tayhoudite
                      Un gars d une monarchie ne peut dire la vérité sur une monarchie voyou : Tabou ???

                      A bon entendeur
                      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                      Commentaire


                      • #26
                        qui explose des voitures piégées ...ça tu ne le vois pas ?

                        Il faut demandé a ton Protégé Bachar...il a semé le chaos dans son pays...
                        il n'a pas tiré les conclusions de la revolution Lybienne..Tunisienne..Et Egyptienne...

                        en général..ça fini assez mal..

                        Commentaire


                        • #27
                          Héhé révolution en Libye ??
                          plutot dire :REVOLUTION l OTAN , Sarko et BHL ..
                          posté par sinia

                          la revolution Lybienne..Tunisienne..Et Egyptienne...
                          .
                          Waw tu ne vois guère de ce qui se passe en Tunisie , Libye , l Egypte , le cancer islamiste -wahhabite ...Bashar combat ce cancer ...
                          vraiment , y a que l Ouest qui ne voit pas ça . ?
                          Ne t en fait pas ton bled piégé , la rue se renforcent en Salafiste -wahhabite ..
                          A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                          Commentaire


                          • #28
                            Waw tu ne vois guère de ce qui se passe en Tunisie , Libye , l Egypte , le cancer islamiste -wahhabite ...Bashar combat ce cancer ...
                            vraiment , y a que l Ouest qui ne voit pas ça . ?


                            non ça c'est que voit la poule..quand elle picore son grain...c'est a dire ...juste entre ses pattes..

                            Il y a encore des gens comme toi qui pensent que le lendemain de la revolutions..les pays allaient devenir des démocraties exemplaires..modernes..Et que ces pays deviendrait du jour au lendemain prospères..

                            c'est ce qu'on appel les stratèges de bistrot...

                            Commentaire


                            • #29
                              sinia
                              Il y a encore des gens comme toi qui pensent que le lendemain de la revolutions..les pays allaient devenir des démocraties exemplaires..modernes..Et que ces pays deviendrait du jour au lendemain prospères..
                              c'est ce qu'on appel les stratèges de bistrot...
                              Alors quel est le but de ces révolutions de bistrot
                              "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

                              Commentaire


                              • #30
                                @AArou..

                                il faut bien lire..il ne s'agit pas de révolution de bistrot..
                                les révoltions sont bien réelles...elles sont l'impulsion des peuples..qui dénoncent leur dégout du systeme en place...même si certains essayent d'instrumentaliser..

                                Ce sont les stratèges qui sont de bistrot et qui font les mêmes analyses boiteuses..Sur la main de l'etranger qui dirigerait absolument tous depuis des sphères obscures..Et qui voudraient installer des regimes maniables...
                                ce qui fait qu'au lieu de dénoncer les dictateurs...par fierté mal placé ils les supporte...

                                c'est le sens...de ma comparaison...

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