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Le polisario, dos au mur après la chute du régime Kadhafi (Gazette du Congrès US)

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  • #16
    zehma t halaf rabi?oua y rhlef oua y khless saha el marroki?

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    • #17
      el maghrabi i goulek, binina nta ma mrahiech bladi, d dfel a la bladi al ham coulou, nta keeib, nta khessek traba. Vive el maghrib, blad el chorfa

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      • #18
        Le polisario, dos au mur après la chute du régime Kadhafi (Gazette du Congrès US)
        @Serpico
        La MAP , Machine A Paroles ?
        signe de sentiment de détresse ...Elle se console et ment au peuple marocain ...
        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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        • #19
          @winston

          belek nta thekmi l ehchiche bezef louh tahti nta ou bledek l nahar nehjem goul mohamed sadiss kelb fi bledek tahdel mehy nichene fahmt?

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          • #20
            Le polisario, dos au mur après la chute du régime Kadhafi
            Ce que ces charlatans ne disent pas, tout aussi ambassadeurs qu'ils étaient, c'est que le sahel a été en grande partie déstabilisé par leurs forces attaquant la lybie, qu'aujourd'hui la région voit fleurir le trafic d'armes du fait de leur engagement et celui de sarkosy, que le trafic de drogue a pour point central et d'origine le Maroc, que le FP avait été un enjeu de guerre froide, donc impliquant les états-unis, qui soutenaient, et soutiennent toujours, les forces conservatrices, notamment celle de momo6...Il serait peut-être temps qu'ils réparent les dégâts et la merde qu'ils ont laissé derrière eux !

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            • #21
              Serpico:
              Pour eviter de nous sortir encore la MAP , le makhzen et Tutti quanti les propos de l'ex ambassadeur US Edouard M. Gabriel sont vérifiables ailleurs....
              Justement, tu nous donnes là un exemple parfait.

              Comprend tu ce que la MAP te sert ? des déclarations commandées. mais c'est ce qu'elle ne te dis pas.

              Biensur que ces dires sont vérifiables, d'un ex ambassadeur us au maroc, et alors ?

              Je vais faire preuve de largesse, ça t'éclairera un peu, et ça te permettra surtout de comprendre pourquoi ce genre de blagues qu'on nous rapporte en style de "bombe" avec les "c'est vérifiable" et autre "Tutti quanti " est si ... drôle à la fin surtout si on a une mémoire saine, on se rappel que c'est presque mot par mot ce que le Maroc à collé à l'algérie (cette fois là) durant le conflit libyen (blocage de l'intervention de l'OTAN en pesant sur la proposition de l'UA, envoi de mercenaires...ect) le tout relayé par un certain...M. l'ex Ambassadeur !

              La technique est rodée, source slateafrique :
              ......

              Des signes d’apaisement avaient pourtant été constatés. En visite à Tlemçen le 16 avril dernier, le président Bouteflika avait déclaré:
              «Il n’y a pas de problème entre le Maroc et l’Algérie. Le problème du Sahara Occidental est un problème onusien. Le Maroc est un pays voisin et frère.»
              Mais un nouveau sujet de discorde est venu anéantir l’espoir de voir se concrétiser sur le terrain ce qui semblait être un début de réchauffement entre les «frères ennemis du Maghreb».
              Depuis plusieurs semaines, Alger fait face aux accusations d'envoi de mercenaires du Front Polisario ou d'armement en Libye pour aider le colonel Kadhafi confronté à la rébellion dirigée par le Conseil national de transition (CNT) soutenu militairement par l'Otan depuis la mi-mars. La presse algérienne a toujours accusé les Marocains d'être derrière ces accusations.
              C’est une tribune publiée le 16 mai par Edward M. Gabriel, ancien ambassadeur américain au Maroc dans The Hill, la très influente gazette spécialisée dans les affaires liées au Capitole, qui a mis le feu aux poudres:
              «Le Polisario défie la coalition des pays de l'Organisation du traité de l'atlantique Nord (Otan) en envoyant ses mercenaires combattre pour le régime Kadhafi dans le but de faire plier l'insurrection libyenne», y affirme Edward M. Gabriel, rappelant que l'Alliance atlantique avait reçu des informations indiquant que le régime libyen «dépense des millions de dollars pour s'offrir les services de militants du Polisario».
              Gabriel avait aussi avancé dans son article que les «leaders de l'opposition libyenne accusent l'Algérie de "fermer l'œil" sur les mercenaires qui traversent le territoire algérien pour gagner la Libye», ajoutant qu'un leader du Conseil national de transition «avait assuré que des avions algériens ont été utilisés pour transporter des mercenaires en Libye».
              Des points de vue immédiatement relayés par Lincoln Diaz-Balart dans une lettre adressée à ses pairs du Congrès américain (PDF). Cet élu anticastriste de Floride est un inconditionnel du Maroc avec qui il partage une opposition idéologique contre le régime cubain, allié historique de l’Algérie et du Front Polisario.
              La réplique de l’Algérie ne s’est pas fait attendre, sous la plume de son lobbyiste Gare Smith du cabinet Foley Hoag. Il y souligne que l’Otan n’a jamais pris en considération les allégations de Edward M. Gabriel et que le Maroc adopte ainsi une position ambivalente concernant sa volonté d’aplanir ses différends avec Alger.
              Le «revolving door», une pratique légale et lucrative

              Ce n’est pas la première fois que le Maroc et l’Algérie croisent le fer par lobbyistes interposés dans les colonnes de la gazette du Congrès américain. Ces joutes font partie d’une tradition américaine de la communication institutionnelle que l’on désigne outre-Atlantique par l’expression «pay to play» (littéralement «payer pour jouer»).
              Le fait de défendre une opinion par la voix de plumes influentes est l’apanage de professionnels du "revolving door", une reconversion officielle et réglementée par le Département de la justice américain et qui permet à d’anciens hauts fonctionnaires de mettre à disposition de clients de marque —Etats ou multinationales— leur vaste réseau d’influence, patiemment constitué tout au long de leur carrière publique.
              La plupart de ces spin doctors de choc créent leurs propres officines ou sont enrôlés dans des cabinets spécialisés qui ont pignon sur rue sur la fameuse K Street, une avenue de Washington située à un jet de pierre du Congrès américain. Leurs services se monnayent des millions de dollars. Ces dernières années, le Maroc a souvent eu recours à des firmes comme Cassidy & Associates, Boland & Madigan, Edelman PR Worldwide ou encore Powell-Tate pour défendre ses intérêts à l’international.
              Pour remettre cet extrait que tu nous "propose" dans son contexte, c'est le même ambassadeur qui a prétend que l'Algérie avait voté contre la mise en place d'une zone d'exclusion aérienne sur la Libye, des 15 mercenaires "algériens" arrêtés en libye..... ect.
              Dernière modification par GLP, 29 mars 2013, 02h44.
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              • #22
                • Pourquoi la MAP exhume t-elle un article datant de plus de deux ans (paru le 10/03/2011) ?


                • Que ce Edward Gabriel ait été (dans le passé) ambassadeur US au Maroc n'entame pas sa crédibilité mais qu'il soit actuellement conseiller (comprendre lobbyiste) du royaume marocain transforme ses propos en .... pipi de chat !!!
                Dernière modification par jawzia, 29 mars 2013, 12h46.

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                • #23
                  De l'article en question ...

                  Peace or a 'powder keg' in North Africa

                  By Edward M. Gabriel, -
                  10/03/11

                  As Libya’s interim leadership, with help from NATO, moves closer to finishing off Qaddafi’s tyranny, the U.S. and international community now must develop the details of how they will support the National Transitional Council as the new government of Libya.
                  There are great prospects but also daunting challenges and risks for Libyans and their new leaders as well as for others in the region. For U.S. policymakers, there is an historic opportunity: not just to nurture a democratic Libya, but to build on the Arab Spring and to seek a reset of relations in North Africa.

                  Qaddafi’s departure opens the door to greater integration in the Maghreb—essential for generating much-needed stability, economic growth, and improved security cooperation that will sustain and secure continuing democratic reforms across the region.

                  In particular, Qaddafi’s departure removes one of the last remaining supporters of the militant separatist Polisario Front. The decades-old Western Sahara dispute has for too long been an intractable obstacle blocking any real Maghreb unity.


                  Because of the Polisario’s intransigence and refusal to negotiate seriously with Morocco under UN auspices, the Western Sahara conflict has dragged on for more than 30 years. This impasse has created hardship for thousands of refugees trapped in Polisario-run camps and fueled uncertainty and instability across the Maghreb.

                  The fall of Qaddafi changes that, as Libya’s new leadership has declared its support for Morocco’s compromise solution of autonomy under Moroccan sovereignty for the people of the Sahara region. Morocco was a key Arab supporter of the UN-NATO intervention against Qaddafi and has strengthened ties with the new Libyan leaders. In addition, Morocco’s new Constitution, approved in a national referendum on July 1, sets a strong example for peaceful democratic reform, and was strongly supported by voters in Morocco’s Western Sahara.

                  On the other hand, it was reported that hundreds of Polisario militia were recruited as mercenaries for Qaddafi, fighting against NATO and Libyan rebel forces. Polisario members have been linked with al-Qaeda operatives and armed drug-traffickers in Africa’s Sahel, the desolate no-man’s land stretching from Yemen and Somalia on the Red Sea through Chad, Niger, Mali, Mauritania, and up to the Western Sahara on the Atlantic.

                  Just weeks ago, Mali officials reported four dead on the Mali-Algeria border from a battle between drug-trafficking gangs, one of which was identified as aligned with the Polisario.

                  Six months of conflict and chaos in Libya has made the Sahel even more dangerous: intelligence reports confirm that large amounts of Qaddafi’s arms are swamping the area, including surface-to-air missiles that Mauritania’s President says have fallen into the hands of al-Qaeda Organization in the Islamic Maghreb (AQIM).

                  A September security conference in Algiers called the region a “powder keg.” AFRICOM’s head, U.S. General Carter Ham, recently said al-Qaeda’s growing presence in the Sahel was a “threat to the United States” and other Western nations.

                  Although Algeria has suffered more attacks from AQIM than anyone in the region and enjoys U.S. support for its counterterrorism efforts, its relations with the new U.S.-backed Libyan regime have been frosty, stifling greater regional security cooperation. This year’s State Department Counterterrorism Report describes Algeria’s ongoing disagreement with Morocco over the Western Sahara as an “impediment to deeper counter-terrorism cooperation” and a “weakness for terrorist groups such as AQIM to exploit.”

                  Turning a blind eye to this dangerous situation is not an option. Growing numbers of AQIM operatives and well-armed mercenaries are the new mujahedeen, transforming the Sahel into a trans-African superhighway of terrorism and trafficking.

                  For the U.S., the imperative is clear: use America’s leverage more forcefully to broker a responsible Western Sahara solution. This will enable the increased Maghreb cooperation needed to support continued democratic transitions in Libya and Tunisia, and promote the regional unity necessary to more effectively stem the encroaching tide of terrorism.


                  Edward M. Gabriel served as U.S. Ambassador to Morocco from 1997 to 2001, and currently advises the government of Morocco.
                  Dernière modification par jawzia, 29 mars 2013, 19h29.

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