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France : Il faut enseigner l'arabe dans le service public

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  • #16
    Bref il faut apprendre l'arabe, c'est à dire offrir cette opportunité, à égalité avec les autres langues en France. Cette situation demeure inadmissible et reste le résultat d'une islamophobie dans soi-disant "le pays des droits de l'homme" (à géométrie variable, comme c'est le cas ici).
    Ya Allah, al Aziz, al Hakim. a7fadh jazair wa al maghareb al kabir

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    • #17
      C'est surtout un moyen pour permettre aux entreprises françaises de faire du chiffre chez ceux qui ont de l'oseille, les arabes du Golfe !

      Si seulement nos responsables politiques avaient la même vision en francisation, ils auraient ouverts beaucoup de portes et de débouchers à une génération entière d'Algériens.
      Les émirs méprisent les Algériens qu'ils considèrent comme des singes qui ont oublié l'Arabe qui leur a été enseigné lors de l'expansion de l'Islam pour ne retenir qu'un sabir à base de la langue de leur ancienne métropole.
      efficaces, ils travaillent en Anglais et quitte à passer par le Français ils préfèrent traiter avec l'Original.

      qui a vu un film récent, significatif , où il est question d'un joueur de pétanque ?

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      • #18
        La baisse du nombre d’enseignants de l’Arabe est secondaire à la volonté politique des Français. Du temps de la colonisation, la langue présentait un attrait pour les « orientalistes » qui continuaient à admirer l’Islam évoqué par l’empire turc et l’Egypte de Napoléon. Premières traductions du Coran et essai d’ouverture vers l’Islam…
        L’Algérie conquise, les élèves Arabes s’étant infiltrés dans l’enseignement secondaire, les colons effrayés par l’acquisition du savoir tentèrent de cantonner leurs sujets dans leur arabicité. Portés et encouragés à choisir comme première langue l’Arabe appris déjà appris à l’école coranique en première langue, les enfants de caïds se voyaient proposer le dialectal en seconde langue.
        La revue actuelle ,à la baisse du nombre d’enseignants en Arabe et l’absence de cette langue dans les cursus universitaires , découle d’un jacobinisme de façade qui interdit au même titre le Breton ou le Corse. Il cache en réalité les mêmes motivations d’handicaper les citoyens d’origine arabe qui sont en France aussi indésirables qu’étaient leurs parents dans les lycées algériens.

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        • #19
          cest une bonne chose...

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