Un tribunal de Jérusalem a condamné à neuf jours d'assignation à résidence un Palestinien de nationalité américaine, dont une vidéo montre qu'il a été battu par la police pendant sa détention, a annoncé la police.
«Le jeune qui apparaît sur la vidéo a été assigné à résidence pour neuf jours, à Beit Hanina, le temps de l'enquête» sur les jets de pierre qui lui sont reprochés, a déclaré à l'AFP Louba Samri, porte-parole de la police.
Âgé de 15 ans, Tareq Abou Khdeir, cousin de nationalité américaine du jeune Palestinien enlevé mardi soir et brûlé vif, avait été arrêté jeudi à Chouafat. Selon ses parents, il a été battu par les policiers.
Une vidéo circulant sur internet montre des hommes cagoulés, visiblement des policiers, tabasser une personne menottée, à demi inconsciente.
Les États unis ont fait part de leur «profonde inquiétude» et ont appelé à une «enquête rapide, transparente et crédible» sur l'«usage excessif de la force» dont aurait été victime le jeune homme.
Le ministère de la Justice a ouvert une enquête interne concernant cet incident qualifié de «grave» et qui selon la ministre Tzipi Livni, ne «reflète pas la politique de maintient de l'ordre du pays».
TVA nouvelles
«Le jeune qui apparaît sur la vidéo a été assigné à résidence pour neuf jours, à Beit Hanina, le temps de l'enquête» sur les jets de pierre qui lui sont reprochés, a déclaré à l'AFP Louba Samri, porte-parole de la police.
Âgé de 15 ans, Tareq Abou Khdeir, cousin de nationalité américaine du jeune Palestinien enlevé mardi soir et brûlé vif, avait été arrêté jeudi à Chouafat. Selon ses parents, il a été battu par les policiers.
Une vidéo circulant sur internet montre des hommes cagoulés, visiblement des policiers, tabasser une personne menottée, à demi inconsciente.
Les États unis ont fait part de leur «profonde inquiétude» et ont appelé à une «enquête rapide, transparente et crédible» sur l'«usage excessif de la force» dont aurait été victime le jeune homme.
Le ministère de la Justice a ouvert une enquête interne concernant cet incident qualifié de «grave» et qui selon la ministre Tzipi Livni, ne «reflète pas la politique de maintient de l'ordre du pays».
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