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Ron Paul dévoile qu'Israël est derrière le Hamas

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  • #16
    solas,
    relis l'histoire de la résistance du fln
    toi tu vas finir par me dire que le bachagha boualem a fait l infependance

    je ne relis rien on l a fait avec notre sang
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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    • #17
      Bonsoir SOLAS

      Ca ne m'étonne même pas.

      C'est ce Hamas qui donne en offrande des centaines de civils à chaque fois à l'armée israélienne.

      Quand on parle d'aider la Palestine je reste perplexe, car si c'est la Hamas qui encaisse les sous, ca m'étonnerai que l'aide arrive aux palestiniens...
      Hope is the little voice you hear whisper "maybe" when it seems the entire world is shouting "no!"

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      • #18
        Quand on parle d'aider la Palestine je reste perplexe, car si c'est la Hamas qui encaisse les sous, ca m'étonnerai que l'aide arrive aux palestiniens
        Meg, il n'y a pas que le hamas qui encaisse, si tu vas à ramallah en cisjordanie et tu vois les villas pharaonesques de quelques privilégiés, là tu comprends où vont les 500 millions de dollars de l'UE et que tu te dis ....... enfin, tu te dis mais tu n'en penses pas moins !!!!
        Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

        Commentaire


        • #19
          Georges Habache

          Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (février 2010).
          Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références » (modifier l'article).
          Georges Habache

          Description de cette image, également commentée ci-après
          Georges Habache en Jordanie en 1969.
          Données clés
          Alias
          Al-Hakim
          Naissance 2 août 1926
          Lydda, Palestine sous mandat britannique
          Décès 26 janvier 2008 (à 81 ans)
          Amman, Jordanie
          Nationalité Drapeau de la Palestine Palestine
          Activité principale Fondateur et secrétaire général du Front populaire de libération de la Palestine
          modifierConsultez la documentation du modèle

          Georges Habache (جورج حبش), de son nom de guerre Al-Hakim الحكيم, né le 2 août 1926 dans la ville de Lydda (actuelle Lod) et, selon toute vraisemblance1, mort le 26 janvier 2008 à Amman (Jordanie), est le nationaliste palestinien, fondateur et ancien secrétaire général du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP).

          Sommaire [masquer]
          1 Sa jeunesse
          2 Le Front populaire de libération de la Palestine
          3 Notes et références
          4 Voir aussi
          4.1 Articles connexes
          Sa jeunesse[modifier | modifier le code]
          Georges Habache est né dans la ville palestinienne de Lydda. Il est issu d'une famille de commerçants arabes de religion grecque orthodoxe. Il fait une partie de ses études secondaires à Jérusalem puis quitte la Palestine pour aller poursuivre ses études de médecine à l'université américaine de Beyrouth. Pendant la guerre israélo-arabe de 1948, sa famille fuit Lydda suivant les combats entre les armées arabes et l'armée israélienne. Retournant vers Lydda pour voir ce qui se passe, il se retrouve au milieu de Palestiniens qui cherchent à se réfugier et il se met à porter secours aux blessés.

          Il reprend ses études de médecine à l'Université américaine de Beyrouth. Il fonde avec Hani al-Hindi les Phalanges du Sacrifice, un groupe voué à l'action clandestine contre les dirigeants arabes qui se montrent conciliants avec Israël. Il est diplômé en 1951 et part dans les camps de réfugiés à Amman en Jordanie pour y ouvrir une clinique. Il fonde la même année le Mouvement nationaliste arabe avec Constantin Zureik, Hani al-Hindi et Wadie Haddad. Il s'agit d'un parti, socialiste, nationaliste et panarabe, fortement influencé par le nassérisme et qui a pour but l'unification du monde arabe. En 1952, il crée l'Organisation pour s'opposer à la paix avec Israël. En 1955, il publie aussi avec Wadie Haddad la revue al-Rai. Cette revue sera interdite quelques mois plus tard. La revue reparaît à Damas sous la direction d'un jeune écrivain palestinien Ghassan Kanafani qui fera son succès.

          En 1957, il est impliqué avec certains cadres palestiniens de la garde républicaine jordanienne[réf. nécessaire] dans une tentative de coup d'État contre le roi Hussein de Jordanie. Au moment de la création de la République arabe unie, il s'enfuit vers Damas mais Haddad se fait arrêter et condamner à trois ans de prison.

          Le Front populaire de libération de la Palestine[modifier | modifier le code]


          Yasser Arafat, Mahmoud Darwich et Georges Habache en Syrie vers 1980.
          Le nassérisme est très affaibli par l'échec de l'union syro-égyptienne en 1958, et l'arrivée au pouvoir du baathisme en Syrie en 1963. En 1964, Georges Habache et son ami Haddad fondent à Beyrouth un Commandement ami régional pour la Palestine, une branche militaire du Mouvement nationaliste arabe. À la suite de la défaite égyptienne de la guerre des six jours en 1967, le nassérisme s'effondre. Le mouvement d'Habache fusionne alors avec le Front de libération de la Palestine d'Ahmed Jibril, pour former le Front populaire de libération de la Palestine, qui se définit comme un mouvement armé palestinien, nationaliste et marxiste. En 1968, Georges Habache est brièvement emprisonné en Syrie, mais parvient à s'échapper de prison.

          Le FPLP se rend célèbre en appliquant sa stratégie des détournements d'avions, causant parfois la mort d'innocents, comme à Orly en 1978. Le premier détournement revendiqué par le FPLP eu lieu le 23 juillet 1968, contre un avion de la compagnie israélienne El Al.

          En Jordanie, il appelle à la chute du régime hachémite jordanien, ce qui entraîne l'OLP dans les événements du Septembre noir. L'organisation reste néanmoins basée à Damas et poursuit pendant plus de 20 ans sa lutte armée contre l'État d'Israël et les intérêts occidentaux. D'après le journal français Le Monde, les « Israéliens » accusent le FPLP d'être impliqué dans la réalisation de l'attentat qui eut lieu en 1980, à la synagogue de la rue Copernic, à Paris, et qui fit deux morts et soixante-dix blessés2. Au milieu des années 1970, Habache aurait également participé activement à la création de l'Armée secrète arménienne de libération de l'Arménie (Asala)3, à Beyrouth. Marxiste, le FPLP de Georges Habache représente une tendance qui se distingue du Fatah nationaliste de droite de Yasser Arafat, cette différence étant notamment symbolisée par la couleur des keffieh qu'ils portent, les damiers étant rouge pour l'un, et noirs pour le second. Depuis les années 1980, et la popularité croissante des courants islamistes, et en particulier du Hamas, les rivalités entre les mouvements d'Habache et d'Arafat se sont adoucies en réaction à ces nouveaux concurrents dans l'espace politique palestinien.

          En raison de ses relations étroites avec la Syrie4, Ahmed Jibril se sépare de Georges Habache, alors en conflit avec la Syrie. En 1968, Ahmed Jibril fonde une scission du FDLP, le Front Populaire pour la Libération de la Palestine-Commandement Général (FPLP-CG). Ce groupe s'est fait remarquer pour ses prises d'otages de militaires israéliens pendant la guerre du Liban. Musulman, Ahmed Jibril est plus proche de divers gouvernements arabes et mouvements islamistes que Georges Habache, arabe chrétien et militant pour l'indépendance de la Palestine, y compris vis-à-vis des régimes arabes de la région5.

          En 1992, Georges Habache est victime d'une attaque cérébrale. Il est soigné en France, provoquant ainsi de vives réactions dans le monde politique français. À cette occasion, Israël proteste contre l'accueil d'un « chef terroriste aussi cruel »6. À la suite de cette affaire, le secrétaire général du Quai d'Orsay, François Scheer, quelques haut fonctionnaires et la Présidente de la Croix-Rouge française, Georgina Dufoix, démissionnent. Confrontée aux attaques de la droite, le Premier ministre Édith Cresson écarte le 7 février 1992 la tenue d'élections anticipées7.

          En décembre 2000, Georges Habache démissionne de son poste de secrétaire général du FPLP. Quelques mois plus tard, son remplaçant et ancien adjoint, Abou Ali Mustafa, est assassiné par l'armée israélienne. Son idéologie révolutionnaire, sa détermination et ses actions de résistance font de Georges Habache un nationaliste palestinien qui conserve une forte popularité dans les territoires contrôlés par l'Autorité palestinienne.

          Le 26 janvier 2008, à l'âge de 81 ans, il meurt d'une crise cardiaque dans une clinique d'Amman.

          Notes et références[modifier | modifier le code]
          ↑ Andrews, Edmund L. & Kifner, John. "George Habash, Palestinian Terrorism Tactician, Dies at 82", The New York Times (27.01.08); Lucien, George. "Georges Habache, le fondateur du Front populaire de libération de la Palestine, est mort", Le Monde (26.01.08); Gresh, Alain. "Arafat-Widersacher George Habasch gestorben", Neue Zürcher Zeitung (26.01.08)
          ↑ Lucien, George. « Georges Habache, le fondateur du Front populaire de libération de la Palestine, est mort », in Le Monde, 26/01/08 [archive]
          ↑ Gaidz Minassian, Guerre et terrorisme arméniens, PUF, 2002, p. 29.
          ↑ interview donnée à al Quds Al Arabi [archive], c'est également un ancien officier de l'armée Syrienne, réseau voltaire [archive]. Israel Versus Jibril: The Thirty-Year War Against a Master Terrorist, Samuel M. Katz, Universal Sales & Marketing, mai 1993.(ISBN 978-1557784339)
          ↑ Le Monde [archive]
          ↑ rue89.com [archive]
          ↑ INA, Assemblée nationale discours politique d'Édith Cresson [archive], 19/20, - 07/02/1992 - 01min47s
          The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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          • #20
            El hakim comme le chahid ben mhidi
            The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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            • #21
              Solas,
              le jour où tu auras le courage de dénoncer les dictatures Algérienne, Marocaine, ...
              ce jour là tu pourra critiquer le jeune héroique du Hamas, pour lequel tu ne lui arriveras pas à la cheville

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              • #22
                Je crois que tu as une case en moinssse

                ya cheikh boualem
                The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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                • #23
                  il se dit aussi que le hamas aurait balancé les roquettes pour tester le dome de fer a la demande des iraniens, hypothese valable ou tirée par les cheveux?
                  "Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres". Romain Gary

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                  • #24
                    Quand on est a court d'arguments, il serait plus sage de se taire

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