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Mali : L’Algérie opposé à une participation du Maroc dans le dialogue inter-malien

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  • #16
    @Ichweiter

    contentez vous des Fqihs

    http://www.algerie-dz.com/forums/sho...9&postcount=34

    Je t avais dit , Lamamra a des crocs ...

    Ramtane Lamamra, le ministre qui dérange le Maroc

    connu pour être un « pitbull de la politique », risque de « donner du fil à retordre à Rabat ».
    Moi y'a que le résultat qui m'interesse!!

    Partage avec nous ce résultat, s'il y'en a un et arrête de blablater...

    Lamamra un pitbull qui porte une prothèse surement à cause du whisky et pas du cannabis marocain.
    Dernière modification par Ichweiter, 09 août 2014, 01h04.

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    • #17
      @Ichweiter

      Resultat ..

      le 17 et le 18 Aout ...

      Mezouar tombera à pic !!!
      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

      Commentaire


      • #18
        @Ichweiter

        tu demandes les Resultats !!!

        Et bien ça ne contente pas Mezour , ni le Roi M6

        Processus de dialogue et de négociations inter-maliens à Alger :

        Le Haut représentant du Président de la République dévoile le calendrier devant la classe politique

        Le calendrier de la seconde phase du processus de dialogue et de négociations inter-maliens prévoit la reprise des discussions à Alger du 17 août au 11 septembre.

        Cette information a été livrée à la classe politique par le Haut représentant du Président de la République, l’ancien Premier ministre Modibo Kéita, au cours de la traditionnelle rencontre du ministre de l’Intérieur avec les partis politiques, le mardi 5 août au Gouvernorat du District de Bamako.

        Maliweb****
        ..

        *Ce n est plus au Mali
        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

        Commentaire


        • #19
          @Ichweiter

          Resultat ..

          le 17 et le 18 Aout ...

          Mezouar tombera à pic !!!
          Y'a qoui le 17 et...

          Commentaire


          • #20
            Processus de dialogue et de négociations inter-maliens à Alger :

            Le Haut représentant du Président de la République dévoile le calendrier devant la classe politique

            Le calendrier de la seconde phase du processus de dialogue et de négociations inter-maliens prévoit la reprise des discussions à Alger du 17 août au 11 septembre.

            Cette information a été livrée à la classe politique par le Haut représentant du Président de la République, l’ancien Premier ministre Modibo Kéita, au cours de la traditionnelle rencontre du ministre de l’Intérieur avec les partis politiques, le mardi 5 août au Gouvernorat du District de Bamako.

            Maliweb****
            Mais c'est depuis des années que sa ce répete est sans résultat.

            Tout simplement parceque la mafia algerienne a peur que ses touregues et sahraouis demanderont la même chose...une autonomie par exemple

            Commentaire


            • #21
              *Vendre la peau de l ours avant l avoir tué .

              On parle du Maroc qui avait avancé et mediatisé ,

              Le Roi est incontournable pour la stabilité du Mali ???

              Plouf , il s est avéré un Fqif , son retour , 500 Fqih dans sa valise diplomatique , selon la Map ( COOPÉRATION STRATÉGIQUE ENTRE LE MAROC ET LE MALI ???


              posté par @Ichweiter

              moi je l'ai jamais vu pleuré. toi peut être.
              ..

              Évidemment ; les sujets ne critiquent pas leurs maitres

              L’Algérie «insultée» par les propos de Mezouar

              Salaheddine Mezouar a qualifié les méthodes de l’Algérie sur le dossier du Sahara de « minables ». Il n’en fallait pas moins pour déclencher l’indignation générale chez nos voisins.

              Nouveau coup de froid dans les relations entre Rabat et Alger.

              Cette fois-ci, c’est Salaheddine Mezouar qui est au centre de la polémique. Le ministre des Affaires étrangères avait qualifié, le jeudi 10 juillet, de « minables » les méthodes algériennes concernant le dossier du Sahara, accusant le pays voisin, principal soutien du Polisario, d’être derrière la récente nomination d’un envoyé spécial de l’Union africaine au Sahara.

              Côté algérien, les propos du ministre semblent irriter. Dans une déclaration à l’agence de presse algérienne, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Abdelaziz Benali Cherif, a dit des propos du président du RNI qu’ils étaient « insultants et [qu'ils] constituent une dérive ».

              Le responsable algérien n’y va pas par quatre chemins et qualifie le comportement marocain de « pratique bien connue de fuite en avant que la partie marocaine remet au goût du jour à chaque fois que le processus du parachèvement de la décolonisation du Sahara occidental enregistre une avancée ».
              Mohammed VI, « habitué du langage outrancier » selon El Watan

              La presse algérien ne mâche pas ses mots. Dans son édito du 12 juillet, El Watan insiste sur le fait que « les dirigeants marocains, à leur tête le roi Mohammed VI, sont des habitués du langage outrancier à l’égard de leur voisin algérien. »,

              rajoutant que « le pouvoir de Rabat cherche par tous les moyens à créer un climat de tension avec l’Algérie ».

              La société civile algérienne s’y met aussi. Mustapha Farouk Ksentini, le président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’Homme ne prend pas de pincettes en qualifiant de « langage de rue » les propos du président du RNI.


              Par Tel Quel
              Il revient à la charge , après le discours du Roi M6 entan que sujet du Roi M6 sur la question de de la frontière

              Le minable n est pas capable , ni le courage de citer la MAURITANIE qui est présidente de l Union africaine , même Abdelaziz a été reçu avec honneur par OBAMA en tant que president de l UA ..
              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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              • #22
                Envoyé par Ichweiter
                Les maliens doivent trouver une solution entre eux. La mafia algerienne ne va que les enfancer encore plus.

                Une junte qui n'arrive même pas à resoudre ses propres problemes et qui ne sait que creer de la fitna dans la région.
                I-chweiter Rifi



                Commentaire


                • #23
                  s'ils comptent sur l'algerie pour regler quoique ce soit , ils sont mal barrés les pauvres , l'algerie a des problemes immenses qu 'il n 'a pu régler pour son pauvre peuple , je vois mal comment ils peuvent aider les autres .

                  il faut anéantir le regime algerien et tout rentrera dans l'ordre c 'est la junte le probleme qui finance les terroristes de l AQMI , bel mokhtar ancien agent de la drs .

                  Commentaire


                  • #24
                    Personne n'a donc été capable de retrouver le fameux entretien de Lamamra ?

                    Commentaire


                    • #25
                      c est quand même bizzare que ce n est pas le Mali qui tient á une marticipation marocaine??? Le Roi ny a t il pas investit trop de temps et d argent et de services ( formation d imam)?

                      je ne comprends pas que le Maroc n arrive toujours pas á isoler l algérie, alors que ce dernier est complétement absent sur la scéne et c est le Maroc qui s y est investit depuis des mois???
                      بارد وسخون
                      M.Alhayani

                      Commentaire


                      • #26
                        Voici l'entretien accordé à Jeune Afrique et dans lequel le Maroc n'a même pas été calculé mais qui met les dirigeants et la presse marocaine en mode panique


                        Ramtane Lamamra : "Un accord dans cent jours" sur le Nord-Mali
                        21/07/2014 à 17:58 Par Cherif Ouazani


                        Le chef de la diplomatie algérienne fait le point sur le dialogue inter-malien, entamé le 16 juillet, et qui devrait être suspendu le 24 juillet avant une reprise à la mi-août. Première importante décision : les négociations prévues à Bamako se dérouleront à Alger avec la bénédiction du gouvernement malien, des pays voisins et des partenaires du processus : ONU, Cedeao, UA, UE et OCI.

                        Jeune Afrique : Trois jours après son entame, comment se présente le dialogue inter-malien ?

                        Ramtane Lamamra : Il se présente très bien. Sept mois nous séparent de la visite, le 19 janvier à Alger, du président Ibrahim Boubacar Keïta au cours de laquelle il avait demandé au président Abdelaziz Bouteflika que l’Algérie dirige le processus de sortie de crise, souhait partagé par les mouvements politico-militaires du nord du Mali. Sept mois de travail, de persévérance et de pédagogie. Nous nous sommes attelés à réunir le gouvernement malien et les mouvements politico-armés du Nord, en présence des pays de la région, des organisations régionales et internationales. C’est déjà un résultat non-négligeable. Les choses sont sur les rails et nous nous en félicitons.

                        JA : Le début est tout de même laborieux. Le climat de méfiance est perceptible et les positions semblent inconciliables…

                        R.L : Une médiation internationale est, par définition un processus ardu. Son objectif est de concilier l’inconciliable. La complexité du dossier malien ne nous a pas empêchés d’obtenir un échange de prisonniers à la veille du début des négociations. Dois-je vous rappeler que la libération, le 15 juillet, des personnes détenues par l’État malien était prévue par l’accord de Ouagadougou signé il y a plus d’un an ? Le même jour, 45 agents gouvernementaux, civils et militaires, détenus depuis l’accès de fièvre du 21 mai à Kidal, ont pu enfin rejoindre leur foyer à la veille du lancement du dialogue à Alger. Cette mesure d’apaisement et de confiance ainsi que son aspect humanitaire démontrent la détermination des parties maliennes à aller de l’avant.

                        J.A : Les mouvements armés contestent la présence de groupes politico-militaires de l’Azawad estimant qu’il ne s’agit pas de belligérants. Cela pollue-t-il davantage les négociations ?


                        R.L : Ce n’est pas une situation inédite. Nous avons été confrontés au même problème à Ouaga. Je vous rappelle que l’accord arraché, en juin 2013, par le président Blaise Compaoré et le ministre Djibril Bassolé a, dans un premier temps, été signé par les mouvements armés avant de voir, quelques jours plus tard, les autres groupes politico-militaire y adhérer. Dans la préparation du dialogue que nous avons entamé, le 16 juillet, nous sommes en présence d’un groupe de mouvements ayant signé la déclaration d’Alger, le 9 juin, et d’un autre s’étant engagé dans une plateforme adoptée, le 14 juin, toujours à Alger. Nous sommes convaincus d’une chose : un dialogue inclusif est la meilleure garantie pour la durabilité d’un accord et sa crédibilité aux yeux de l’opinion malienne. En d’autres temps et d’autres lieux, ces querelles de représentativité ont retardé les solutions de sortie de crise avec souvent des conséquences douloureuses pour les populations.

                        J.A : Des cadres dirigeants du MNLA ont fait part de leur étonnement de l’absence de la France dans ce processus. En avez-vous eu vent ?

                        R.L : Non, mais je précise que le médiateur algérien est en contact étroit avec la France et les États-Unis qui soutiennent sans réserves le processus que nous menons. L’Algérie conduit ces négociations en toute transparence. Elle le fait pour elle-même, pour le Mali et pour l’ensemble de la communauté internationale qui a exprimé ses vives préoccupations à l’égard de la crise malienne.

                        J.A : Techniquement, comment les négociations se déroulent-elle ? Y-a-t-il un consensus sur la méthode de travail ?


                        R.L : C’est ce sur quoi nous nous sommes attelés au cours des trois premiers jours du dialogue (ces propos ont été recueillis le 19 juillet en fin de journée, NDLR). Pour l’heure l’équipe de la médiation travaille avec les trois composantes de ce processus : le gouvernement, la Coordination du 9 juin (MNLA, HCUA et MAA) et la coalition de la plateforme du 14 juin.

                        J.A : Échangent-elles durant les séances de travail ?


                        R.L : Il y a des rencontres informelles en marge de travaux dont l’objectif est d’arriver à l’élaboration d’une feuille de route pour le déroulement des négociations proprement dites. Cela devrait être fait d’ici au 24 juillet, date de la suspension du dialogue avant une reprise à la mi-août.

                        J.A : Les négociations prévues à Bamako par l’accord de Ouaga ne sont donc pas pour demain ?

                        R.L : Pour accélérer le processus et lever toute entrave, le gouvernement malien a donné son accord pour que toutes les négociations se déroulent à Alger à la seule condition que la phase ultime se déroule au Mali. Pas spécialement à Bamako, car cette cérémonie peut se dérouler dans une autre ville du territoire malien.

                        J.A : Avez-vous une estimation de temps que devraient durer ces négociations ?



                        R.L : Selon nos projections, 100 jours. Un chiffre symbolique pour vous et vos confrères puisque vous en avez fait la durée d’un état de grâce pour un président, voire une échéance pour faire un premier bilan. Un calendrier définitif étant prématuré à ce stade des discussions, notre souhait est que l’accord soit solennellement signé le 24 octobre, une date qui coïncide avec la Journée des Nations unies, donc de la paix.

                        Propos recueillis à Alger par Cherif Ouazani, envoyé spécial.
                        Dernière modification par jawzia, 09 août 2014, 14h22.

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                        • #27
                          Saaid
                          je ne comprends pas que le Maroc n arrive toujours pas á isoler l algérie, alors que ce dernier est complétement absent sur la scéne et c est le Maroc qui s y est investit depuis des mois???
                          Alger y est présente depuis des lustres;
                          Le Maroc est un nouveau venu dans cette scène.

                          Commentaire


                          • #28
                            jawzia

                            Voici l'entretien accordé à Jeune Afrique et dans lequel le Maroc n'a même pas été calculé mais qui met les dirigeants et la presse marocaine en mode panique
                            Pas seulement les dirigeants et la presse Makhnazis,mais aussi les fumeurs de moquette de FA qui ont cru trouver une occasion de fantasmer et qui pensent que les Algériens veulent les priver de cette occasion .
                            "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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                            • #29
                              le maroc a déja present dans 30 pays en afrique, les banques , la telecommunication, contstructions, .

                              c 'est le mali qui a demandé l'aide du maroc pas le contraire , les maliens ne font aucun confiance dans la junte criminel d 'alger.

                              Commentaire


                              • #30
                                c 'est le mali qui a demandé l'aide du maroc pas le contraire , les maliens ne font aucun confiance dans la junte criminel d 'alger.
                                Pourtant tout a commencé par "Iqraa, iqraa ...."








                                Sept mois nous séparent de la visite, le 19 janvier à Alger, du président Ibrahim Boubacar Keïta au cours de laquelle il avait demandé au président Abdelaziz Bouteflika que l’Algérie dirige le processus de sortie de crise, souhait partagé par les mouvements politico-militaires du nord du Mali.

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