Royaume-Uni : « L’Algérie est un pays politiquement stable »
Par Mourad Arbani
[IMG]http://www.*************/wp-content/uploads/2014/09/rouames.jpg[/IMG]Le Royaume-Uni informe les hommes d’affaires britanniques qu’ »il y a des opportunités (d’investissement) dans tous les domaines, dont la santé publique, l’éducation, les infrastructures, l’agriculture, la vente au détail et le secteur des finances » aux cotés du secteur des hydrocarbures avant d’avertir que « faire des affaires en Algérie peut être difficile » notamment « en raison des lenteurs bureaucratiques et de la rude concurrence ».
Dans une nouvelle note d’information sur l’Algérie qu’il vient de publier sur son site internet à l’intention des milieux d’affaires, le Foreign office se réjouit que »les Algériens soient ouverts à l’égard du Royaume-Uni » et se félicite de « l’excellente relation entre les deux pays ».
Dans le même sillage, il porte à la connaissance des hommes d’affaires britanniques que « l’Algérie a annoncé un nouveau programme d’investissement pour la période 2014-2019, comparable à celui de 2010-2014, pour lequel le gouvernement avait alloué une enveloppe de 285 milliards de dollars ».
A ceux, parmi les investisseurs potentiels qui s’interrogeraient sur la question de la corruption, le ministère informe que « les appels d’offres du gouvernement algérien suivent des procédures strictes pour réduire le risque de pots-de-vin dans l’attribution des contrats ».
Dans la même note est également souligné que « de nombreuses entreprises britanniques font état d’opérations commerciales réussies avec l’Algérie, loin de toute pratique de corruption ».
S’agissant du volet lié aux risques sécuritaires pour les entreprises, le ministère britannique des Affaires étrangères rassure que »les entreprises étrangères n’ont pas été une cible significative du terrorisme » ajoutant que »les entreprises du secteur du pétrole et du gaz opérant dans le Sud sont bien protégées par les forces de sécurité algériennes ».
Le Foreign office avertit, néanmoins, qu’ »il y a une menace terroriste dans certaines régions de l’Algérie, notamment les zones frontalières du Sud et de l’Est », tout en précisant « qu’il n’y a pas de menaces spécifiques contre les compagnies étrangères provenant du crime organisé ».
Par Mourad Arbani
[IMG]http://www.*************/wp-content/uploads/2014/09/rouames.jpg[/IMG]Le Royaume-Uni informe les hommes d’affaires britanniques qu’ »il y a des opportunités (d’investissement) dans tous les domaines, dont la santé publique, l’éducation, les infrastructures, l’agriculture, la vente au détail et le secteur des finances » aux cotés du secteur des hydrocarbures avant d’avertir que « faire des affaires en Algérie peut être difficile » notamment « en raison des lenteurs bureaucratiques et de la rude concurrence ».
Dans une nouvelle note d’information sur l’Algérie qu’il vient de publier sur son site internet à l’intention des milieux d’affaires, le Foreign office se réjouit que »les Algériens soient ouverts à l’égard du Royaume-Uni » et se félicite de « l’excellente relation entre les deux pays ».
Dans le même sillage, il porte à la connaissance des hommes d’affaires britanniques que « l’Algérie a annoncé un nouveau programme d’investissement pour la période 2014-2019, comparable à celui de 2010-2014, pour lequel le gouvernement avait alloué une enveloppe de 285 milliards de dollars ».
A ceux, parmi les investisseurs potentiels qui s’interrogeraient sur la question de la corruption, le ministère informe que « les appels d’offres du gouvernement algérien suivent des procédures strictes pour réduire le risque de pots-de-vin dans l’attribution des contrats ».
Dans la même note est également souligné que « de nombreuses entreprises britanniques font état d’opérations commerciales réussies avec l’Algérie, loin de toute pratique de corruption ».
S’agissant du volet lié aux risques sécuritaires pour les entreprises, le ministère britannique des Affaires étrangères rassure que »les entreprises étrangères n’ont pas été une cible significative du terrorisme » ajoutant que »les entreprises du secteur du pétrole et du gaz opérant dans le Sud sont bien protégées par les forces de sécurité algériennes ».
Le Foreign office avertit, néanmoins, qu’ »il y a une menace terroriste dans certaines régions de l’Algérie, notamment les zones frontalières du Sud et de l’Est », tout en précisant « qu’il n’y a pas de menaces spécifiques contre les compagnies étrangères provenant du crime organisé ».
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