Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Ce sont Moscou, Alger et Damas qui tueront Daeech

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Ce sont Moscou, Alger et Damas qui tueront Daeech

    ......et nul autre..........


    Au Sahel , en Syrie et en Irak
    Dernière modification par Sioux foughali, 14 septembre 2014, 23h33.

  • #2
    Je ne sais pas s'il faut rire de ce topic ou pleurer son auteur..

    Commentaire


    • #3
      les memes qui ont érradiqué al Qaida

      Commentaire


      • #4


        Riez , riez .....vous allez voir ce qui va se passer si Moscou ne s'en mêle pas ..


        Tout le loisir de pleurer , beaucoup l'auront à Gand comme à Manchester comme à Marseille comme à Oran comme à Marrakech ..car la coalition envisagée aujourd'hui anti Daeech ...c'est pas mal de carnaval !! ..sauf si Moscou met son gros grain de sel
        Dernière modification par Sioux foughali, 15 septembre 2014, 15h22.

        Commentaire


        • #5
          Je persiste et je signe


          La victoire contre les Daeech, les Zawaïri et Cie passe par lutte contre ces fanatiques mais aussi par une mobilisation des peuples contre US neo cons, Wahaby Saoud et extrémistes israéliens ( l'extreme droite israelienne majoritaire en Israel)


          Et Ce n'est pas l'Otan et son secretaire dégénéré Rassmussen qui apporteront apaisement en Mediterranée , encore moins les Us neo cons des Bush à H Clinton en passant par Obama et Mc cain , , encore moins les Saoud , encore moins les Nathanyaou

          Commentaire


          • #6
            L'Algérie ne fera pas la guerre à l'intégrisme, que les Occidentaux se débrouillent eux même ou qu'ils pourrissent dans leurs mensonges.
            Dernière modification par jour, 25 septembre 2014, 06h40.

            Commentaire


            • #7
              bonjour

              Effectivement les occidentaux et Israel jouent avec le feu. Il ont crée le monstre Daesh, il vont l'entretenir jusqu'à anéantissement tous les peuples arabes et maghrebins.

              Une petite analyse d'un journaliste trouvé sur le net :
              Jour après jour les masques tombent et les programmes subversifs menés tambour battant par les USA et leurs sbires du Golf sont contredits par des révélations qui nous poussent à s'interroger: que veulent exactement les américains?
              Aujourd’hui, les "grands médias" d'info US et occidentaux nous annoncent la destruction de centres de commandement de l'EI à RAQQA (Syrie). Soit.
              Sauf que, oui sauf que l'EI et son commandement se sont retirés de RAQQA 48 heures avant les bombardements américains appuyés par les avions de chasse des pays du conseil du Golf (Qatar, Bahreïn, Émirats Arabes Unis, Arabie Saoudite, Jordanie...). L'EI s'est retiré et avait pris pour cible des villages kurdes syriens. Qui a informé ou demandé secrètement à l'EI de vider les lieux et quitter RAQQA?
              A propos des bombardements d'aujourd'hui sur cette ville syrienne (ville fantôme d'ailleurs), les frappes visaient en réalité le groupe KHORSAN (nom médiéval de l'Afghanistan et de l'Iran) et c'est le patron du renseignement américain James Cooper lui même qui avait balancé ce nom au New-York Times il y'a 5 jours. Cooper avait d'ailleurs expliqué que KHORSAN est dirigé par un certain Muhsin AL FADLI, un ami intime selon lui de Ben Laden et un des impliqués dans les attentats du 11 septembre 2001. AL FADLI qui avait disparu des radars depuis 2005 ,année où il a été accusé d'être derrière l'attentat contre le pétrolier français LIMBURG au Yémen, refait donc surface et serait selon Cooper en train d'entrainer ses troupes pour les envoyer commettre des opérations terroristes de grandes envergure en occident et même au USA.
              Pour l'article ci-joint,consistant en infos crédibles, on aperçoit sur une photo une colonne mobile de l'armée de DAESH équipée de Pick Up flambants neufs de marque Toyota (tiens tiens, on les a déjà vu en Libye équipés de mitrailleuses).
              Qui s'est occupé de la Libye? Logistiquement et financièrement parlant? Le Qatar et l'Arabie Saoudite.

              Commentaire


              • #8
                « À la poursuite de l’État islamique »: Devinez qui est derrière le projet califat?



                On dépeint l’État islamique (EI) comme un ennemi des États-Unis et du monde occidental.

                Avec le soutien de la Grande-Bretagne, l’indéfectible allié des États-Unis, le président Barack Obama a ordonné une série de bombardements étasuniens sur l’Irak visant apparemment à vaincre l’armée rebelle de l’EI.

                « Nous ne renoncerons pas à notre volonté de faire face à l’État islamique [...] Si les terroristes pensent que nous allons faiblir face à leurs menaces, ils ne peuvent pas être davantage dans l’erreur. » (Barack Obama et David Cameron, Strengthening the NATO alliance, lettre d’opinion publiée dans le Times de Londres, 4 septembre 2014, c’est l’auteur qui souligne.)

                Mais qui est derrière le projet de l’État islamique?

                Par une cruelle ironie du sort, les rebelles de l’État islamique, anciennement connu sous le nom « État islamique en Irak et au Levant » (EIIL) étaient jusqu’à tout récemment présentés comme « des combattants de la liberté de l’opposition » en Syrie, dévoués au « rétablissement de la démocratie » et au renversement du gouvernement laïc de Bachar al-Assad.

                Et qui était derrière l’insurrection djihadiste en Syrie?

                Ceux qui ont ordonné les bombardements sont ceux qui sont derrière le projet de califat.

                Les milices de l’EI, qui sont actuellement la cible présumée d’une campagne de bombardements des États-Unis et de l’OTAN en vertu d’un mandat de « lutte au terrorisme », ont été et sont toujours soutenues clandestinement par les États-Unis et leurs alliés.

                Autrement dit, l’État islamique a été créé par le renseignement étasunien , avec le soutien du MI6 britannique, du Mossad israélien, de l’Inter-Services Intelligence (ISI) pakistanais et l’Al Mukhabarat Al A’amah de l’Arabie saoudite (رئاسة الاستخبارات العامة ou General Intelligence Presidency (GIP) en anglais). Par ailleurs, selon des sources du renseignement israélien (Debka), l’OTAN, en liaison avec le haut commandement turc, était impliqué dans le recrutement de mercenaires djihadistes dès le début de la crise syrienne en mars 2011.

                En ce qui concerne l’insurrection syrienne, les combattants de l’État islamique ainsi que le Front Al-Nosra, des forces djihadistes affiliées à d’Al-Qaïda, sont les fantassins de l’alliance militaire occidentale. Ils sont secrètement soutenus par les États-Unis, l’OTAN et Israël. Leur mandat consiste à mener une insurrection terroriste contre le gouvernement de Bachar al-Assad. Les atrocités commises par les combattants de l’État islamique en Irak sont similaires à celles commises en Syrie.

                En raison de la désinformation médiatique, l’opinion publique occidentale n’est pas au courant que dès le tout début, les terroristes de l’EI ont été soutenus par les États-Unis et leurs alliés.

                Les meurtres de civils innocents par les terroristes de l’État islamique en Irak sont utilisés afin de créer un prétexte et une justification en faveur d’une intervention militaire étasunienne pour des raisons humanitaires. Les bombardements ordonnés par Obama, cependant, ne sont pas destinés à éliminer l’État islamique, qui constitue un « atout du renseignement » étasunien. Bien au contraire, les États-Unis visent la population civile ainsi que le mouvement de résistance irakien.


                Le rôle de l’Arabie saoudite et du Qatar

                Fait amplement documenté, le soutien des États-Unis et de l’OTAN à l’État islamique est acheminé clandestinement par les plus fidèles alliés des États-Unis, à savoir le Qatar et l’Arabie saoudite. Les médias occidentaux ont reconnu que Riyad et Doha, agissant en liaison avec Washington et en son nom, ont joué (et jouent toujours) un rôle central dans le financement de l’État islamique, ainsi que dans le recrutement, la formation et l’endoctrinement religieux des forces mercenaires terroristes déployées en Syrie.

                Selon le Daily Express de Londres : « Ils [les terroristes de l'EI] avaient de l’argent et des armes fournies par le Qatar et l’Arabie saoudite. »

                « La plus importante source de financement de l’EI à ce jour provient des pays du Golfe, principalement de l’Arabie saoudite mais aussi du Qatar, du Koweït et des Émirats arabes unis », (Selon le Dr Günter Meyer, directeur du Centre de recherche sur le Monde arabe à l’Université de Mayence, en Allemagne, Deutsche Welle )

                Ces fonds ont été acheminés aux terroristes de l’EI qui se battent contre les forces gouvernementales en Syrie:

                Grâce à des alliés comme l’Arabie saoudite et le Qatar, l’Occident [a] soutenu des groupes rebelles militants qui ont depuis mutés en EI et autres milices liées à al-Qaïda. (Daily Telegraph, 12 juin 2014)

                Selon Robert Fisk, le projet de califat « a été financé par l’Arabie saoudite » :

                [V]oici la plus récente contribution monstrueuse de l’Arabie saoudite à l’histoire mondiale : le Califat islamiste sunnite en Irak et au Levant, conquérant de Mossoul et Tikrit – et de Racca en Syrie – et peut-être de Bagdad, « humiliateurs » ultimes de Bush et d’Obama.

                D’Alep, dans le nord de la Syrie, jusqu’aux environs la frontière irako-iranienne, les djihadistes de l’EIIL et autres groupuscules divers payés par les wahhabites saoudiens, et des oligarques koweïtiens, règnent maintenant sur des milliers de miles carrés. (Robert Fisk, The Independent, 12 juin 2014)

                Commentaire


                • #9
                  Suite2

                  En 2013, dans le cadre de son recrutement de terroristes, l’Arabie saoudite a pris l’initiative de libérer des condamnés à mort incarcérés dans les prisons saoudiennes.

                  Une note confidentielle a révélé que les prisonniers étaient « recrutés” » pour rejoindre les milices djihadistes (y compris Al-Nosra et l’EIIL) afin de lutter contre les forces gouvernementales en Syrie.

                  Prison saoudienne

                  On aurait offert une entente aux prisonniers – rester et être exécuté ou lutter contre Assad en Syrie. Dans le cadre de l’entente, on offrait aux prisonniers un « pardon et une allocation mensuelle pour leurs familles, autorisées à demeurer dans le royaume sunnite ».

                  Les responsables saoudiens leur auraient donné le choix : décapitation ou djihad? En tout, des détenus du Yémen, de la Palestine, de l’Arabie saoudite, du Soudan, de la Syrie, de la Jordanie, de la Somalie, de l’Afghanistan, de l’Égypte, du Pakistan, de l’Irak et du Koweït ont choisi d’aller combattre en Syrie. (Voir Global Research, 11 septembre 2013)

                  Volte-face

                  Le 11 septembre 2014, coïncidant avec la commémoration du 11-Septembre, le roi d’Arabie saoudite ainsi que les monarques des pays du Golfe ont annoncé leur soutien indéfectible à la guerre sainte d’Obama contre l’État islamique, laquelle a été et est toujours financée par des fonds du Qatar et de l’Arabie saoudite dans le cadre d’une opération de renseignement soigneusement conçue.
                  Alors qu’ils ont activement contribué au financement de l’État islamique, sans compter qu’ils ont recruté et formé des terroristes au nom de Washington, l’Arabie saoudite et les États du Golfe ont promis d’appuyer fermement la campagne militaire d’Obama, « d’avilir et finalement détruire » l’État islamique.

                  La déclaration d’appui contenue dans le communiqué, engage les « principaux pays arabes à travailler avec les États-Unis afin de couper le flux de combattants et les fonds étrangers de l’État islamique ». Elle confirme également que les membres ont discuté d’une « stratégie pour détruire l’EIIL où qu’il soit, y compris en Irak et en Syrie ».

                  L’Arabie saoudite a fini par comprendre que le groupe État islamique constitue aussi une menace sérieuse pour leur pays, et qu’il ne s’agit pas d’un mouvement sunnite traditionnel. L’un des éléments du plan d’Obama contre l’EI vise à saper les liens idéologiques et religieux avec l’islam invoqués par les militants de l’État islamique.

                  L’administration espère que Riyad usera de son influence parmi les chefs religieux islamiques. (Voice of America, 11 septembre 2014)
                  Recrutement de « terroristes modérés »

                  Dans le cadre de cet accord, la famiile Al-Saoud sera « l’hôte d’un centre de formation pour des milliers de combattants rebelles syriens qui luttent à la fois contre l’État islamique et le régime du président Bachar al-Assad ». Cette proposition est fausse et absurde. Jusqu’au 9 septembre, l’Arabie saoudite a « officiellement » soutenu l’État islamique contre le gouvernement de Bachar Al-Assad, et on lui a maintenant confié le recrutement de djihadistes pour combattre l’État islamique. Les médias n’ont toutefois pas réussi à relier les points et à découvrir le grand mensonge.

                  Il s’agit d’un projet diabolique : les artisans de l’État islamique ont informé le monde qu’ils « se lancent à la poursuite » de leurs propres terroristes dans le cadre d’une opération de contreterrorisme.

                  Bien que ces actions soient menées sous la bannière de la « guerre mondiale au terrorisme », les États-Unis n’ont pas l’intention de cibler leurs propres brigades terroristes de l’EI, intégrées par des forces spéciales et les services de renseignement occidentaux. En réalité, la seule campagne crédible et efficace contre les terroristes islamiques de l’EI est menée par les forces gouvernementales syriennes.
                  Inutile de dire que le financement et l’appui des États-Unis, de l’OTAN, de l’Arabie saoudite et du Qatar continueront. L’objectif n’est pas de détruire l’État islamique, tel que l’a promis Obama. Il s’agit plutôt d’un processus de déstabilisation et de destruction de l’Irak et de la Syrie, mené par les États-Unis. La campagne contre l’État islamique est utilisée pour justifier le bombardement des deux pays en ciblant principalement les civils.

                  Le but ultime est de déstabiliser l’État-nation que constitue l’Irak et de déclencher sa partition en trois entités distinctes.

                  L’objectif stratégique général des États-Unis et de l’OTAN consiste à déstabiliser toute la région du Moyen-Orient, de l’Afrique du Nord, de l’Asie centrale et du Sud, incluant l’Iran, le Pakistan et l’Inde.

                  Michel Chossudovsky

                  Commentaire


                  • #10
                    ......et nul autre..........
                    Au Sahel , en Syrie et en Irak
                    Attention d'etre entrainés dans ce piege

                    Les Usa et l'Ue ont créer ses foyers de tensions et par l'argent du golg vendu, saoudiya et qatar

                    Alors nous on va nous fatiguer laba? non pas question, mais un jour pour casser la figure de saoudiya et faire chuter son régime oui pourquoi pas ou les qataris vendus et traitres ou sionistan, oui un jour proche

                    Commentaire

                    Chargement...
                    X