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Le piège en or du maître d’échecs Poutine (Fin du monde occidental)

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  • #16
    70% des BANQUES européennes sont EN état de quasi FAILLITE (Charles Gave 13/10/2014)

    13/10/14

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    • #17
      Un big bang se prépare dans le métier bancaire
      par jacque attali

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      • #18
        @ ajadjiith

        Merci pour les videos, les signes sont flagrants mais le monde continue d'ignorer, meme David Cameron pourtant le premier ministre de la GB a averti d'une crise mondiale imminente...

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        • #19
          il faut que l'euro meurt

          par jacques sapir et olivier berruyer

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          • #20
            " Le vrai taux de chômage aux Etats-Unis se situe entre 15 et 20 % "

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            • #21
              L'épargne des Français servira à payer la dette de l'État

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              • #22
                Ce qui est sûr , c'est que quelques choses est en trains de ce préparé

                de très dangereux

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                • #23
                  Jaques Attali : "La crise ne fait que commencer" - Interview

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                  • #24
                    On dirait une série de films d'horreur de Stephen King !

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                    • #25
                      Je vais mettre toutes mes aconomies en bitcoins. Je pense que c'est la seule valeur sûre qui va subsister !

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                      • #26
                        Le Pen vs Moscovici sur les Banque et le Crédit Agricole est en faillit

                        Fevrier 2014

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                        • #27
                          Pierre Jovanovic le 9/11/14

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                          • #28
                            La Grèce : une moitié de Lehman Brothers !

                            La Grèce : une moitié de Lehman Brothers !

                            L’aveu par le Premier ministre grec Panpandreou du déficit réel des finances publiques, soit 12.7% du PIB, a fini par cristalliser les analyses négatives sur la Grèce.

                            Il est à noter que les récentes spéculations contre la dette grecque ressemblent aux spéculations de l’été 2008 opérées par le « shadow banking » (« la finance de l’ombre »), surtout les hedge funds (fonds de spéculation) et autres banques d’investissements contre le financement des banques de dépôts.

                            A l’époque, quand les banques britanniques "HBOS" (deuxième banque d’Angleterre) et "Bradford and Bingey" ont voulu se recapitaliser par l’émission d’actions sur les marchés, cela fut impossible car le « shadow banking » vendait court (à terme) les actions (qu’il n’avait pas) des deux banques pour les faire tomber en dessous des prix d’émissions et les racheter à prix cassés…les deux banques n’ont pas trouvé d’investisseurs pour leurs actions, elles n’ont donc pas pu se recapitaliser, l’Etat britannique a été obligé de les sauver.

                            En 2010, les traders attaquent la dette grecque avec les CDS (Credit Default Swaps), contrats qui permettent aux détenteurs d’obligations de s’assurer contre le défaut de l’emprunteur. Le « charme » des CDS, c’est que l’on peut souscrire un contrat d’assurance sur un crédit que l’on n’a pas accordé, comme si l’on souscrivait une assurance incendie sur la maison du voisin ou une assurance vie sur son meilleur ami !

                            Ainsi, 76 milliards de dollars de CDS ont été passés sur la dette grecque, soit près de 30%...les spéculations habituelles commencent à 5% ! Les traders ont donc misé l’équivalent de 30% de la dette grecque sur la faillite de la Grèce…évidemment, le taux des primes d’assurances par CDS a monté, il représente maintenant plus que les taux d’intérêt de base des dettes souveraines. En conséquence, le taux de la dette grecque a doublé, donc la valeur des 250 milliards de dollars des obligations grecques détenues par les banques européennes a baissé. Les gérants de ces banques font sûrement la tête du roi Augias jeté par Hercule en pâture à ses chevaux !

                            De plus, certains traders facétieux ont même passé 57000 contrats de vente à terme pour une valeur de plus de 8 milliards de dollars contre l’Euro pour le faire baisser et le racheter après, son taux de change a d’ailleurs baissé de 1,5$ à 1,37$...

                            L’émission de la dette grecque de janvier 2008 est passée, les prochaines émissions s’annoncent en avril et mai 2010 et l’enthousiasme des marchés fait peine à voir. Le Premier ministre grec est-il capable de tenir ses promesses de stabiliser les finances publiques ? Après tout en Estonie, les exigences du FMI ont amputé le PIB de 26%, réduit de 50% les salaires des fonctionnaires et abaissé de plus du tiers les dépenses sociales…d’où l’appel à la solidarité européenne.

                            Mais l’opinion allemande n’est pas prêteuse et c’est là son moindre défaut, le problème est que derrière la dette grecque il y a les banques européennes. Elles ont prêté 258 milliards de dollars à l’économie et à l’Etat grec (Source : Banque des règlements internationaux).

                            Certes, la dette souveraine grecque (250 milliards de dollars), c’est la moitié du bilan de Lehman Brothers (618 milliards de dollars), mais derrière la Grèce, il y a l’Espagne, or la croissance espagnole résulte d’une spéculation immobilière.

                            L’économie espagnole n’est donc pas vraiment solvable, dans ces conditions l’Etat espagnol peut-il payer ses dettes ? Or, les banques européennes ont prêté 671 milliards de dollars à l’économie et à l’Etat espagnol (Source : Banque des règlements internationaux), ce chiffre tient-il compte des 550 milliards de dollars de crédits hypothécaires en Espagne ? Cela n’est pas sûr du tout !

                            Le total des engagements des banques européennes sur la Grèce et sur l’Espagne dépasse donc les 900 milliards de dollars.

                            Tout ceci est de nature à faire hésiter la toute puissante Chancelière Angela Merkel : faut-il secourir la Grèce et l’Espagne pour protéger les banques ou à nouveau comme Pénélope soutenir les banques en difficulté lorsque la Grèce et l’Espagne auront tourné de l’œil ?

                            Le choix est implicite mais il va déterminer les décisions de l’Allemagne donc de l’Union européenne : une chaleureuse solidarité européenne pour sauver la Grèce ou la punition de la cigale grecque pour ses dépenses somptuaires… « Timeo danaos et dona ferentes » (Virgile, L’Enéide)… « Je crains les Grecs et quand ils font des cadeaux ».

                            Morad EL HATTAB et Philippe JUMEL, co-auteurs de ’’La finance mondiale : Tout va exploser’’ (Ed. Léo Scheer)

                            EetR

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                            • #29
                              La France se désindustrialise….la route vers l’Argentine !!!

                              La France se désindustrialise….la route vers l’Argentine !!!

                              De 1980 à 2007, l’emploi industriel a sombré de 5,4 à 3,4 millions. Certes sur les 2 millions d’emplois perdus, 500 000 s’expliquent par une requalification vers les services. Il en reste tout de même un trou de 1,5 millions. Or, avec 12,2% des emplois dans l’industrie, la France est moins industrielle que l’Italie et que le Royaume-Uni : dans le commerce extérieur, ce ne sont pas les services qui font les fins de mois, mais surtout l’industrie et un peu l’agriculture.

                              La descente aux enfers de notre industrie s’explique par la surévaluation de l’Euro et sa conséquence : la Déflation (la diminution des prix, des salaires, des prestations sociales et du budget de l’Etat.)

                              A Londres, les économistes sont libres, ils parlent, et au moins dans le Financial Times, ils donnent la réponse. Ainsi le chroniqueur Martin Wolf qualifie la zone Euro d’« union monétaire qui mène la politique monétaire la plus sévère de toute économie importante. »

                              De plus, l’Allemagne étouffe les autres pays de la zone Euro sous une politique d’exportations digne de Colbert, elle consiste à vendre sans acheter, c’est la politique de désinflation compétitive du socialiste Gerhard Schröder. La concurrence de l’Allemagne est donc sans pitié pour le reste de l’Europe. Ainsi, les coûts de travail par rapport à l’Allemagne se sont accrus depuis 10 ans de 17% en France et de 23% en Italie.

                              Il en résulte pour l’Allemagne un surplus de balance commerciale de 135,8 milliards d’euros en 2009 contre des déficits de 54,6 milliards d’euros pour la France et de 92,6 milliards d’euros pour le Royaume-Uni, et Martin Wolf de conclure : « Aussi longtemps que la BCE tolère une aussi faible demande à l’intérieur de l’Eurozone dans son ensemble et que l’Allemagne continue à réaliser de vastes excédents commerciaux, il sera quasiment impossible pour les membres les plus faibles d’échapper aux pièges à insolvabilité. »

                              Le Professeur De Grauwe de l’Université de Louvain (par ailleurs, conseiller du Président Barroso) est très clair : « Au cours des années 1930, les pays du bloc or (dont la France) ont lié leurs monnaies à l’or. Après les dévaluations monétaires du Royaume-Uni et des Etats-Unis, les pays du bloc or se sont retrouvés avec des monnaies surévaluées. Ainsi leurs exportations ont été réduites et la Dépression a été prolongée. Il est remarquable de constater que les mêmes erreurs sont répétées aujourd’hui dans certains des mêmes pays comme pendant les années 1930. Leur monnaie, l’Euro, devient fortement surévaluée, pendant que, comme dans les années 1930, les Etats-Unis et le Royaume-Uni ont aujourd’hui laissé leurs monnaies se déprécier de façon significative. La Livre Sterling s’est dépréciée de 30% et le Dollar de 20%.

                              Pourquoi les pays de la zone Euro répètent les mêmes politiques que les pays du bloc or dans les années 1930 ? La réponse est l’orthodoxie économique. » Ainsi le Professeur Jacques Delpla, membre du CAE (Conseil d’Analyse Economique) reprend les propositions d’Olivier Blanchard, économiste en chef du FMI : les gouvernements devraient imposer une « dévaluation interne » avec des baisses coordonnées et immédiates de 10% à 30% des prix, salaires, pensions et transferts sociaux. C’est ce que le Pr. Jacques Delpla qualifie de « dévaluation sans dévaluation de la monnaie » et de « solution keynésienne ». Or, la politique proposée par les Professeurs Jacques Delpla et Olivier Blanchard ont eu leurs précédents dans les années 1930.

                              En 1932, le gouvernement australien a imposé des baisses autoritaires des prix et des salaires de 20%. En 1935, en France, le gouvernement Pierre Laval a imposé des baisses autoritaires des prix et des salaires de 10%. Cette politique est restée célèbre sous le nom donné par le Prix Nobel d’Economie Alfred Sauvy de « Déflation Laval ».

                              Mais la déflation par les prix entraîne la réduction des revenus des entreprises, et comme les actifs représentent un multiple des revenus des entreprises, ils baissent de même. Or, « les actifs s’évaporent, les dettes s’accrochent », donc les actifs baissent avec les prix, tandis que les dettes demeurent, c’est ce que le Pr. Irving Fisher de l’Université de Harvard a qualifié de « déflation par la dette. »

                              La situation aujourd’hui, c’est une monnaie, l’Euro, restée surévaluée après les dévaluations de 30% de la £ et de 20% du $. C’est une hausse des coûts de production de 17% par rapport à l’Allemagne et comme remède la baisse autoritaire des prix et des salaires de 10 à 30 % proposée par les Pr. Delpla et Blanchard, c’est donc le retour à la déflation Laval de 1935.

                              Cela s’appelle la route de la Déflation, il en résulte la désindustrialisation, et à l’arrivée ce sera l’Argentine dont le revenu par habitant était plus élevé qu’en France en 1938, il est tombé depuis à 20%... La solution avait été réalisée autrefois en 1938 : la dévaluation du Franc par Paul Reynaud (ministre français des finances en 1938), mais aujourd’hui la solution correspondante est contraire à l’orthodoxie des actuels économistes européens.

                              Morad EL HATTAB et Philippe JUMEL, Co-auteurs La finance mondiale : Tout va exploser (Ed. Léo Scheer)

                              EetR

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                              • #30
                                Je vais mettre toutes mes aconomies en bitcoins. Je pense que c'est la seule valeur sûre qui va subsister !
                                Ne surtout pas mette tous ses oeufs dans un meme panier, la cle reside dans la diversification

                                Le concept de Bitcoin etant une monnaie electronique et cryptee et garantissant une confidentialite des transaction reste assez interessant, mais j'attendrais encore un peu que son emploi se generalise un peu plus....

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