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Force militaire commune: Les membres de la Ligue arabe ont accepté toutes les propositions faites par l'Algérie

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  • #16
    Pour devenir des prostituées et mercenaires au service des Khalijites ????????
    @ Ciel

    Seuls les produits et dérivés des B.C.M., sont des intouchables

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    • #17
      l'armée algérienne n'a jamais mis le pied hors de son territoire et si elle s'est trouvé au Sahara occidentale c'est juste pour dessaler
      l'eau de l'Atlantique
      oui mais là c'est différent, l'ANP aide un voisin qui lutte pour son indépendance , faut pas mélanger
      Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
      (Paul Eluard)

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      • #18
        @ SERZUM

        Pour ton info, ils ont existé et connu le jour bien avant les guerres d'Indochine et d'Algérie et BIEN SUR AVANT le 30 MARS 1912

        La récréation est terminée

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        • #19
          D’après les images postées plus haut je comprends maintenant pourquoi on les appelait BMC, B*** Marocains en Campagne (militaire, bien sûr).

          ps: c'est pas toi qui décides de l'heure du commencement et de l'heure de la fin.
          Dernière modification par leftissi, 01 avril 2015, 19h52.

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          • #20
            SERZUM
            En 44 ans de protectera ils ont fait ça au Maroc.Donc en 133 ans ils ont fait trois fois plus en Algérie.

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            • #21
              Un interview de Bassam Tahhan sur le Yemen (publié juste avant l'attaque de l'AS) :

              https://www.youtube.com/watch?v=BoD-xFIC_Vk

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              • #22
                HS: on aurait du envahir le sahara occidental a notre indépendance, au moins on aurait plus ce problème, ***** alors si seulement c’était encore espagnol..Les marocains qui bombent le torse devant les sahraouis et se mettent a quatre pattes devant les espagnols, a l'image de la femme mulet, avec tout mon respect pour la femme marocaine, ce genre de situation ne devrait pas exister.

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                • #23
                  https://encrypted-tbn0.gstatic.com/i...uyBcfDl4Gs3rdA
                  Dernière modification par magh91, 01 avril 2015, 21h29.

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                  • #24
                    Les marocains qui bombent le torse

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                    • #25
                      Plutot , le Makhzen fabrique des grosses ba bouches
                      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                      • #26
                        Les marocains qui bombent le torse
                        @

                        Il l'ont tjrs prouvé sur le terrain et particulièrement au GOLAN, en 1963 et à Amgala

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                        • #27
                          on aurait du envahir le sahara occidental a notre indépendance
                          Vous avez dejà occupé plein ""des Saharas" et ça vous a donné quoi??juste occuper pour occuper?? L'Algerie n'a procèder a aucun développement dans son sahara ,elle se contente de sucer
                          Coucher du soleil à Agadir

                          Commentaire


                          • #28
                            La vérité sur Amgala 1 et Amgala 2 pour que les marocains qui fréquentent ce forum arrêtent de se mentir et croire aux affabulations makhzéniennes !

                            Top Secret! Amgala mon amour!
                            S'il y a une bataille ancrée dans l'imaginaire collectif en Algérie, c'est bien celle d'Amgala. Tout le monde, ou presque, en a entendu parler. Certains la décrivent vaguement comme étant une écrasante victoire sur l'armée Marocaine par delà nos frontières et d'autres insistent sur le caractère "spécial" des forces Algériennes qui y ont participé. Aucune source officielle n'a jamais donné de détails en Algérie, aucun journal ni livre n'en parle exhaustivement. Beaucoup des acteurs de cette (ces) bataille(s) ont disparu ou s'en tiennent au minimum d'informations.
                            Au Maroc, contrairement à l'Algérie, beaucoup de choses ont été dites, les acteurs de l'époque se sont évertués, trente années durant, à redorer le blason terni de l'armée du roi Hassan II en racontant un "certaine" version, en niant une des batailles et en affirmant qu'il s'agissait-là d'une agression Algérienne.
                            Soucieux de rétablir la vérité, nous vous proposons à travers cet article une tentative de description des deux batailles d'Amgala.
                            Le Lieu



                            Le Contexte
                            Nous sommes en janvier 1976, à peine trois mois après la marche verte qui a vu déferler les "volontaires" civils Marocains et les forces du roi Hassan II. Cette poussée soudaine vers le Sud a fait céder les Espagnols qui ont vite fait de quitter le territoire Sahraoui, elle aura aussi pour conséquences de véritables massacres commis sur les populations autochtones qui se sont vite retrouvées chassées de leurs terres et sujettes à une disette forcée dans l'environnement désertique du Sahara Occidental.
                            Dans ce contexte précis, le Président Houari Boumediène ordonne dès novembre 1975 à l'ANP de venir en aide aux réfugiés et déplacés Sahraoui, y compris sur leurs terres, en leur apportant nourriture et logistique. A cette époque, bien que le Front Polisario existes, la guerre contre le colonisateur Marocain n'est pas encore lancée et l'annonce de création la République Arabe Sahraoui n'est même faite.
                            Début janvier 1976, le 41 bataillon d’infanterie des forces terrestres de l'ANP, commandé par le capitaine Lounes Arib, composé en majorité d'appelés mais encadré par d'anciens maquisards de l'ALN, apporte des moyens de subsistance à plus de deux mille de Sahraouis. Ces derniers qui avaient trouvé refuge dans le village d'Amgala, seul point d'eau sur des dizaines de kilomètres à la ronde, avaient fui des bombardements Marocains dans les régions de Hawza et de Smara. Parmi les fuyards il y avait un grand nombre d'enfants en bas-age dont plus d'une centaine sont morts par manque d'eau, de nourriture ou de soins.




                            Amgala I
                            Le 21 janvier 1976, des hommes armés du Polisario attaquent un regroupement militaire Mauritanien dans la région de Dakhla, ils parviennent à tuer une soixantaine de militaires et se replient vers le Nord de la Mauritanie. Ould Dadda réclame l'aide urgente de la France et du Maroc, seul ce dernier répond en envoyant deux avions F5 ratisser la zone. Immédiatement un des deux appareils est abattu par une batterie anti-aérienne Polisarienne (en Mauritanie) et son pilote capturé. Les soupçons de Hassan II et du général Dlimi (commandant des forces armées royales FAR), se tournent alors vers l'Algérie.
                            Pensant que Boumediène avait envahi le Sahara occidental et le Nord Mauritanien, ils décidèrent de couper une prétendue ligne d'approvisionnement de l'ANP vers ses troupes en envoyant massivement des troupes.
                            C'est là que fut découvert le petit cantonnement d'Amgala qui fut vécu comme une menace.
                            Le 22 janvier en fin de journée des échanges de tirs se font entendre entre des militaires Marocains et Algériens, le lendemain six bataillons des FARs encerclent Amgala, ils coupent routes et accès aux puits. Le capitaine Arib ordonne à ses hommes de tenir leurs positions jusqu'à l'arrivée des renforts. Le bataillon Algérien est spécialisé dans la logistique et l'intendance, ses éléments sont dotés d'armes légères et moyennes, mais rien pour tenir un siège. Et pourtant il aura fallu cinq jours aux marocains, supérieurs en nombre et en équipement pour venir à bout du cantonnement Algérien. Le capitaine Arib est parmi les premier à tomber au champs d'honneur, il ne survivra pas aux blessures d'un tir de mortier marocain, avec lui deux cent autres Algériens sont tués. 102 sont fait prisonniers, d'ailleurs les FARs avaient reçu l'ordre de capturer le maximum d'Algériens afin de les monnayer mais aussi de renforcer l'idée à l'intérieur du Maroc que l'Algérie voulait envahir le Sahara Occidental tout en poussant le voisin de l'Est à intervenir militairement.


                            Lourdes décisions
                            Boumediène est devant un dilemme, comment intervenir pour essayer de sauver le 41 eme bataillon qui se trouvait très loin des centres névralgiques de l'ANP mais aussi très loin au delà des frontières. Sachant que la mission était humanitaire, aucun déploiement massif de troupes n'était prévu ou planifié à proximité de la frontière Sahraoui, contrairement aux marocains qui étaient dans une logique de guerre longuement préparée.
                            Organiser une mission de bombardement aérien était très compliqué du fait du déploiement d'une grande partie de nos bombardier en Egypte et la mobilisations de ceux restants dans les bases de l'Est Algérien en vue d'un probable conflit avec Israel. En fin tacticien, Boumediène, ne voulais pas répondre aux provocations marocaines a préféré préparer digérer l'attaque et préparer la riposte sereinement tout en négociant la récupération des prisonniers de guerre Algériens.


                            Agitation politique à Alger
                            Trois tendances s'affrontaient à Alger au sein du gouvernement et de l'appareil politico-militaire Algérien.
                            Chadli Bendjedid et bon nombres d'officiers étaient partisans d'une guerre froide et d'une mise sous pression des marocains en massant des troupes tout le long de leur frontière.
                            Abdelaziz Bouteflika qui avait la hantise d'une mise à l'écart de l'Algérie sur le plan international, privilégiait une action diplomatique et l'ouverture de discussions avec Rabat. Il a été résolument contre la manière forte et croyait fermement aux bons efforts de Hassan II.
                            Quand à Mohamed Salah Yahiaoui, qui collectait le ressentiment d'une large proportion de l'appareil politique et de l'Armée, a littéralement assiégé, en compagnie de Zerguini, le bureau de Boumediène, afin de le convaincre d'agir militairement et venger les morts Algériens.
                            Le Président Boumediène pris l'avis de ces trois tendances, en agissant diplomatiquement en s'adjugeant le soutien de quelques pays arabes (Libye, Syrie,Yemen). Il déploiera des troupes à Bechar et Tindouf et ordonnera une action de "récupération" symbolique d'Amgala. Un signal fort à destination de Hassan II


                            Amgala II
                            Quelques semaines sont passées, un convoi de Land Rover, avec à son bord un commando de paras de l'ANP, quitte en fin d'après midi Béchar, direction le Nord de la Mauritanie. Sa mission contourner par le Sud, Tifariti, Bir Lahlou et Mahbes, avec pour seul point d'horizon Amgala. Arrivés sur place, les paras se griment en guerriers Sahraouis, d'ailleurs des éléments du Polisario sont là pour prêter main forte et guider les Algériens.
                            Sur place, les marocains s'attendant à une invasion classique, fortifient la zone et déploient des pièces d'artillerie et des mitrailleuses lourdes. C'est au couteau que le commando Algérien se fraye un chemin au coeur du dispositif. La section marocaine est décimée très rapidement et les forces du Polisario viennent le lendemain occuper le terrain. A ce jour, Amgala est une ville libérée de toute présence marocaine.


                            Conclusions
                            La récupération d'Amgala fut un tournant pour les ambitions expansionnistes marocaines. Depuis, les FARs ont appris à ne plus croiser le fer avec l'ANP. Le déploiement de troupes entre Béchar et Tindouf a finalement duré presque trente ans et il est toujours effectif. Ces deux actions ont été perçu par Hassan II comme un signal fort d'un ennemi qui n'est pas tombé dans son piège. Quelques jours après Amgala II, le souverain écrivit ces mots au Président Boumediène : "Je vous adjure d'éviter au Maroc et à l'Algérie un autre drame. Je vous demande aussi de faire en sorte, soit par une guerre loyalement et ouvertement déclarée soit par une paix internationale garantie, que dorénavant on ne dise plus chez moi, dans mon pays, parmi mon peuple, Algérie = Inconstance."Hassan II Février 1976


                            Remerciements à Bousfer qui se reconnaitra

                            Commentaire


                            • #29
                              Force militaire commune: Les membres de la Ligue arabe ont accepté toutes les propositions faites par l'Algérie
                              excellent mais si on reste dehors personne ne pretera attention aux prochaines propositions

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