Après ce qui s’est passé ces deux derniers jours, en rapport avec la révocation d’un nombre d’imams autoproclamés qui s’étaient emparés des « minbars » de certaines mosquées, pour en faire des plateformes d’appel au Jihad et des médias dispensant la haine et le takfirisme, on peut, légitimement, de poser la question de savoir si la Tunisie va, réellement, être capable de combattre le terrorisme qui s’y est installé et qui menace la subsistance même de la nation.
En effet, et quelques jours après que le ministre des affaires religieuses ait pris la courageuse et raisonnable décision de fermer les mosquées qui ont été ouvertes sans autorisation et de révoquer les imams qui s’étaient emparés de certaines mosquées de façon illégale, et, parfois par la force, il s’est retrouvé « obligé » de faire machine arrière, et de revenir sur cette décision, sous la pression d’un certain nombre de ces mêmes imams hors la loi, qui se sont regroupés au nom d’une certaine centrale syndicale, et ont organisé une manifestation qui a eu un résultat aussi instantané qu’inattendu, puisqu’immédiatement après cette action, le ministre des affaires religieuses a annoncé qu’il se rétractait et qu’il allait étudier la réintégration de ces imams révoqués, et la réouverture des mosquées « illégales ».
Or, sachant que ces imams au comportement plus que répréhensible sont soutenus par une partie politique bien connue, celle là, même, qui a été derrière la création de cette nouvelle centrale syndicale dans le but de contrecarrer les actions de l’omnipotente UGTT, et celle là, même, qui est accusée par tous les bords d’être derrière la montée en puissance du phénomène du terrorisme et de l’intégrisme sauvage dans nos murs, sachant tout cela, on est en droit de se demander comment se peut-il que cette même partie politique, pour l’exclusion de laquelle, une majorité de tunisiens ont voté, parfois sans autre conviction, en faveur du parti actuellement majoritaire, continue à dicter sa loi et sa volonté, et à faire fonctionner le gouvernement conformément à ses désirs et, surtout, ses intérêts et ceux de ses protégés ?
Et partant de là, et sachant que cette même partie est très fortement suspectée d’être derrière la percée du terrorisme en Tunisie, et d’avoir couvert, un certain moment les agissements des terroristes, en prétendant, parfois, qu’il s’agissait simplement de jeunes tunisiens qui s’adonnaient à leur hobby sportif, ou en assurant, une autre fois, qu’il s’agissait de jeunes gens qui plaidaient pour une autre culture et qui rappelaient, même, à certains leur fougue de jeunesse, on serait enclin de douter des capacités du pays de combattre réellement, fermement, et avec la volonté qu’il faut, le terrorisme, et de pouvoir en venir à bout, du moment que cette partie politique continue à décider de ce qu’elle veut, et à dicter ses conditions, comme cela semble avoir été le cas dans le dernier bras de fer qui a opposé le ministère des affaires religieuses et un certain nombre d’imams takfiristes.
Tunisie Numérique
En effet, et quelques jours après que le ministre des affaires religieuses ait pris la courageuse et raisonnable décision de fermer les mosquées qui ont été ouvertes sans autorisation et de révoquer les imams qui s’étaient emparés de certaines mosquées de façon illégale, et, parfois par la force, il s’est retrouvé « obligé » de faire machine arrière, et de revenir sur cette décision, sous la pression d’un certain nombre de ces mêmes imams hors la loi, qui se sont regroupés au nom d’une certaine centrale syndicale, et ont organisé une manifestation qui a eu un résultat aussi instantané qu’inattendu, puisqu’immédiatement après cette action, le ministre des affaires religieuses a annoncé qu’il se rétractait et qu’il allait étudier la réintégration de ces imams révoqués, et la réouverture des mosquées « illégales ».
Or, sachant que ces imams au comportement plus que répréhensible sont soutenus par une partie politique bien connue, celle là, même, qui a été derrière la création de cette nouvelle centrale syndicale dans le but de contrecarrer les actions de l’omnipotente UGTT, et celle là, même, qui est accusée par tous les bords d’être derrière la montée en puissance du phénomène du terrorisme et de l’intégrisme sauvage dans nos murs, sachant tout cela, on est en droit de se demander comment se peut-il que cette même partie politique, pour l’exclusion de laquelle, une majorité de tunisiens ont voté, parfois sans autre conviction, en faveur du parti actuellement majoritaire, continue à dicter sa loi et sa volonté, et à faire fonctionner le gouvernement conformément à ses désirs et, surtout, ses intérêts et ceux de ses protégés ?
Et partant de là, et sachant que cette même partie est très fortement suspectée d’être derrière la percée du terrorisme en Tunisie, et d’avoir couvert, un certain moment les agissements des terroristes, en prétendant, parfois, qu’il s’agissait simplement de jeunes tunisiens qui s’adonnaient à leur hobby sportif, ou en assurant, une autre fois, qu’il s’agissait de jeunes gens qui plaidaient pour une autre culture et qui rappelaient, même, à certains leur fougue de jeunesse, on serait enclin de douter des capacités du pays de combattre réellement, fermement, et avec la volonté qu’il faut, le terrorisme, et de pouvoir en venir à bout, du moment que cette partie politique continue à décider de ce qu’elle veut, et à dicter ses conditions, comme cela semble avoir été le cas dans le dernier bras de fer qui a opposé le ministère des affaires religieuses et un certain nombre d’imams takfiristes.
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