Abdelilah Benkirane, premier ministre marocain : « Les Algériens sont nos frères. Nous les aimons … »
« Au Maroc, nous avons une conviction : on peut choisir ses amis, mais on ne peut pas choisir ses frères ». C’est par ces mots que le Premier ministre marocain, Abdelilah Benkirane, a commencé à évoquer, ce mardi 5 mai, la relation compliquée entre l’Algérie et son pays.
« Les Algériens sont nos frères. Nous les aimons et nous pensons que c’est réciproque », a déclaré le Premier ministre marocain, qui s’exprimait sur le sujet lors d’une séance de questions-réponses lors du forum d’Al Jazeera à Doha (Qatar). « Il y a un malentendu qui dure depuis 1963 jusqu’à aujourd’hui. Nous avons essayé et nous continuerons d’essayer par le dialogue à trouver des solutions (…) Nous sommes optimistes malgré les difficultés », a indiqué Benkirane.
« Nous sommes loin de vivre la même situation qu’ont connue l’Allemagne et la France dans leur relation », a poursuivi le Premier ministre. Avant de conclure : « Malgré tout, les difficultés sont réelles. Nous tentons de surpasser ces difficultés et sommes ouverts à toute proposition permettant de trouver une solution face à ce problème compliqué ».
TSA
« Au Maroc, nous avons une conviction : on peut choisir ses amis, mais on ne peut pas choisir ses frères ». C’est par ces mots que le Premier ministre marocain, Abdelilah Benkirane, a commencé à évoquer, ce mardi 5 mai, la relation compliquée entre l’Algérie et son pays.
« Les Algériens sont nos frères. Nous les aimons et nous pensons que c’est réciproque », a déclaré le Premier ministre marocain, qui s’exprimait sur le sujet lors d’une séance de questions-réponses lors du forum d’Al Jazeera à Doha (Qatar). « Il y a un malentendu qui dure depuis 1963 jusqu’à aujourd’hui. Nous avons essayé et nous continuerons d’essayer par le dialogue à trouver des solutions (…) Nous sommes optimistes malgré les difficultés », a indiqué Benkirane.
« Nous sommes loin de vivre la même situation qu’ont connue l’Allemagne et la France dans leur relation », a poursuivi le Premier ministre. Avant de conclure : « Malgré tout, les difficultés sont réelles. Nous tentons de surpasser ces difficultés et sommes ouverts à toute proposition permettant de trouver une solution face à ce problème compliqué ».
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