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Le ministre des finances de la Grèce Yanis Varoufakis démissionne

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  • Le ministre des finances de la Grèce Yanis Varoufakis démissionne

    Ce matin Yanis Varoufakis a démissionné en depit du NON pour lequel il s est battu.

    Est ce le prix de la victoire que de devoir demissionner pour que la Gréce obtiennent une rallonge de ses créanciers ?

    " on m'a informé que certains membres de l'Eurogroupe souhaitaient mon 'absence' des négociations, une idée que le Premier ministre (Alexis Tsipras) a jugé potentiellement utile à l'obtention d'un accord. Pour cette raison, je quitte le ministère des Finances aujourd'hui", a-t-il affirmé sur son blog.
    Always on the sunny side.....

  • #2
    c'est difficile d'accepter cet alibi ,le ministre des finances est membre du gouvernement ,il ne fait qu'exécuter sa politique ,la responsabilité incombe au chef ,je pense qu'il a anticipé sa sortie pour ne pas supporter ce qui arrivera après à la Grèce ,c'est pas courageux de sa part ,quitter le bateau en pleine tempête

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    • #3
      c'est difficile d'accepter cet alibi ,le ministre des finances est membre du gouvernement ,il ne fait qu'exécuter sa politique ,la responsabilité incombe au chef ,je pense qu'il a anticipé sa sortie pour ne pas supporter ce qui arrivera après à la Grèce ,c'est pas courageux de sa part ,quitter le bateau en pleine tempête
      Bien au contraire,c'est finement joué par tsipras ,Varoufakis entretenaient de mauvais rapports avec ses collègues européens des finances,il n'y avait donc plus de contact pratiquement,de plus il symbolise à lui seul la position grecque d'avant référendum,avec ce geste tsipras (et varoufakis) envoient un signe de bonne volonté aux français et aux allemands pour bien montrer que les Grecs sont prêts à reprendre les négociations (de la restructuration de la dette et non de l'austérité) sur des bases nouvelles .
      ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
      On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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      • #4
        Je reste dubitative....

        Ce non pour l instant est salué par les partisans á gauche de la gauche, cela reste symbolique....car au final ce n est pas le peuple qui decidera des changements prévus mais bien les creanciers.

        et j ai comme le sentiment que Varoufakis est le prix de ce Non symbolique ...(meme si il a pu être consentant)

        Les grecs sont prêts á reprendre les negociations, ils n ont pas trop le choix, c est bien de jouer au poker encore faut il en avoir les moyens.
        Always on the sunny side.....

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        • #5
          Frieda bonjour,

          cette tragédie grecque est une vrais comédie humaine, une opposition des cultures radicalement opposées,

          - celles du sud, des cultures méditerranéennes, avec une grosse économie parallèle, manque de rigueur budgétaire, administrative, gouvernementale, ... (Grèce, Espagne, Portugal, Italie, la France en partie, ...)
          aux
          - autres "nordiques", basée sur plus de rigueur, d’organisation, de productivité, ... (l’Allemagne en tête, mais aussi, les pays scandinaves, l'Autriche, ...)

          par cette "tactique" la gauche (Sypriza + les nationalistes de tous bords qui sont actuellement majoritaires) demande encore et toujours plus d'aides (effacement de 30% des dettes) sachant que l'Europe veut éviter la sortie de la Grèce de l'Euro pour des raison de géopolitique (risque de donner des idées de sortie à d'autres pays, comme le Portugal, l'Espagne, l'Italie, ...) ce qui de faite serait de la fin de l'Euro, voir de la CEE, risque de voir la Russie "récupérer" la Grèce, avec des bases militaires au cœur de l'Europe de l'ouest, ...
          Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
          L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

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          • #6
            par cette "tactique" la gauche (Sypriza + les nationalistes de tous bords qui sont actuellement majoritaires) demande encore et toujours plus d'aides (effacement de 30% des dettes) sachant que l'Europe veut éviter la sortie de la Grèce de l'Euro pour des raison de géopolitique (risque de donner des idées de sortie à d'autres pays, comme le Portugal, l'Espagne, l'Italie, ...) ce qui de faite serait de la fin de l'Euro, voir de la CEE, risque de voir la Russie "récupérer" la Grèce, avec des bases militaires au cœur de l'Europe de l'ouest, ...
            les politiques d'austérité préconisés par le FMI et l'UE n'ont pas aboutis aux résultats escomptés , strauss kahn à l'époque ou il dirigeait le FMI appellait à une restructuration de la dette grecque ,voir un effacement partiel de celle ci car il disait qu'il leur était impossible de relancer la machine économique et rembourser en même temps une dette à 177 % du PIB (actuellement).
            Barack Obama a critiqué également la politique européenne à ce sujet ainsi que nombre d'économistes .(même les libéraux)
            ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
            On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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            • #7
              xenon bonjour,

              les politiques d'austérité préconisés par le FMI et l'UE n'ont pas aboutis aux résultats escomptés , strauss kahn à l'époque ou il dirigeait le FMI appellait à une restructuration de la dette grecque ,voir un effacement partiel de celle ci car il disait qu'il leur était impossible de relancer la machine économique et rembourser en même temps une dette à 177 % du PIB (actuellement).
              Barack Obama a critiqué également la politique européenne à ce sujet ainsi que nombre d'économistes .(même les libéraux)
              c'est mal partie, dés le début, des 2 côtés : grecque en cachant l’énorme déficit qui leur aurait interdit d’intégrer l'Euro, du coté de la CEE en fermant + ou moins les yeux, car un des objectif est de faire intégrer un "maximum" de pays à la CEE et à l'Euro.

              ça a continué à mal fonctionner car le mensonge ou le laisser aller à continué des 2 côtés.


              Oui les politiques d'austérité sont directement dictées par les cultures "nordiques" qui ne connaissent pas d'autres voies pour assainir une économie catastrophique. Le dialogue de sourd continue car les grecques sont incapables de restructurer leur économies (difficultés de collecter l’impôt , beaucoup trop de dérogation - l'église, les armateurs, ...-)
              Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
              L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

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              • #8
                La Grèce ne remboursera pas sa dette , c'est acté a demi mot par tous le monde
                Financer la Grèce , c'est a fond perdu car le pays n'a quasiment pas d'économie productive et les blocages sont trop nombreux dans la société pour permettre des reformes profondes et surtout donner l'illusion que un mouvement comme syriza peut remettre en cause la doxa européenne , c'est ouvrir la voie a d'autres mouvements de ce type en Espagne , au portugal et ailleurs ...,et la c'est la fin de l'Euro

                Sortir la Grèce de l'Euro , c'est acter auprès des marchés la faiblesse de l'Euro ce qui entraînera une spéculation sur les taux de tous les pays du sud qui ne pourront pas le supporter vu la situation déjà tendue .....en clair on va aussi vers la fin de l'Euro

                Je souhaite bon courage a ceux qui cherchent a trouver une solution
                Je ne sais pas quel seront les conséquences d'une implosion de la monnaie unique sur le Maghreb ...mais ça sent pas bon

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                • #9
                  Ad, Xenon....

                  Oui et non,

                  Car la dette aurait deja du etre renégociée mais la BCE a fait la sourde oreille. Il était évident qu en refusant une renégociation ce pays allait á la catastrophe que l on connait.
                  De plus n oublions pas que les créanciers privés ont deja effacés 107milliards de dettes en 2009 ou 2010...

                  Quand aux differences culturelles et aux efforts attendus et necessaires :
                  La Cigale, ayant chanté
                  Tout l'été,
                  Se trouva fort dépourvue
                  Quand la bise fut venue :
                  Pas un seul petit morceau
                  De mouche ou de vermisseau.
                  Elle alla crier famine
                  Chez la Fourmi sa voisine,
                  La priant de lui prêter
                  Quelque grain pour subsister
                  Jusqu'à la saison nouvelle....
                  Always on the sunny side.....

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                  • #10
                    Frieda

                    Car la dette aurait deja du etre renégociée mais la BCE a fait la sourde oreille. Il était évident qu en refusant une renégociation ce pays allait á la catastrophe que l on connait.
                    la sourde oreille a toujours était la règle, des le début


                    De plus n oublions pas que les créanciers privés ont deja effacés 107milliards de dettes en 2009 ou 2010...
                    Tout à fait, et ça risque de continuer

                    Quand aux differences culturelles et aux efforts attendus et necessaires :
                    La Cigale, ayant chanté
                    encore une fois, oui, économiquement parlant, la Grèce n'a plus sa place dans la zone Euro, en refusant d'observer un minimum de règles communes. La question n'est pas là, mais dans les aspects géopolitiques, et c'est moins évident de trancher, en soupesant le pour et le contre de la sortie ou pas de la sphère Eoro.
                    Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
                    L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

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                    • #11
                      Exemple des retraites : les champions sont les grecques ...

                      COMPARAISON – Qui a les meilleures retraites en Europe ? (Christian Science Monitor)

                      Pour justifier la réforme des retraites, le gouvernement français pointe fréquemment en direction de nos voisins européens qui, eux aussi, sont en train de reculer l'âge de la retraite de leurs citoyens. L'idée est bien sûr de montrer que la France n'est pas la plus mal lotie quant à son système de retraites... voire qu'elle figure parmi les systèmes les plus avantageux, ce qui justifie un alignement vers le bas. Le site Christian Science Monitor (CSM) est donc allé voir qui, en Europe, avait les meilleures retraites. Toutes choses n'étant pas forcément égales par ailleurs, s'en dégage un "top 5" dont — surprise — la France ne fait pas partie.

                      Numéro 5 : l'Islande

                      Le montant des retraites en Islande s'élève en moyenne à 96,5 % du salaire d'un Islandais. Les droits sont ouverts à 67 ans et après quarante ans de résidence sur l'île. Le paiement des retraites pèse à hauteur de 2 % du PIB du pays (en France, il pèse 12,4 %, note le CSM). Il faut toutefois noter que la crise financière dans laquelle est plongée l'île pourrait faire grandement baisser les pensions des Islandais.

                      Numéro 4 : le Luxembourg

                      Dans le Grand-Duché, un retraité touche en moyenne 98,1 % de son salaire lorsqu'il part à la retraite après quarante ans de cotisation, et ce dès l'âge de 60 (même si la plupart des Luxembourgeois ne prennent leur retraite qu'à 65 ans).

                      Numéro 3 : Le Danemark

                      Les Danois touchent en moyenne 98,7 % de leur revenu moyen. Ils peuvent prendre leur rertaite à partir de 65 ans, mais l'âge de départ devrait être progressivement élevé à 67 ans.

                      Numéro 2 : les Pays-Bas

                      Les Néerlandais reçoivent 105,5 % de leur revenu moyen une fois qu'ils partent en retraite, à l'âge de 65 ans. Ils touchent souvent plus de leurs fonds de pension que ce qu'ils leur payaient chaque année. Le nouveau gouvernement veut reculer l'âge de départ à 66 ans.

                      Numéro 1 : la Grèce

                      Champions des retraites pour le CSM, les Grecs touchent 110,4 % de leur revenu moyen dès trente-sept ans de cotisation ou à l'âge de 65 ans... une situation qui cependant date de 2009 et qu'il va falloir sérieusement revoir après les coupes budgétaire d'après crises décidées par le gouvernement grec.

                      Yahoo
                      Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
                      L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

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                      • #12
                        Actuellement,l'essentiel de la dette grecque est une dette publique et non privée,les créanciers sont principalement l’État français et l'Etat Allemand, c'est pour cela que les marchés n'ont pas trop été perturbés dans cette affaire et après le référendum d'hier.

                        les Grecs ne peuvent pas rembourser avec un argent qu'ils n'ont pas ,la seule issue possible pour résoudre cette affaire avec le moindre de tord collatéraux à l'union Européenne et à l'Euro est que les français et allemands s'assoient sur leurs créances et acceptent de restructurer la dette,voir l'effacer du moins partiellement,assurer des contrôles sévères des finances grecques en espérant que l’économie reprenne du poil de la bête d'ici à quelques années.
                        en gros , chaque français et chaque allemand devra payer de sa poche 1000 Euros, pendant que zorba le Grecs joue de la mandoline sous son olivier avec un verre d'Arak bien frais..
                        ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                        On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

                        Commentaire


                        • #13
                          en gros , chaque français et chaque allemand devra payer de sa poche 1000 Euros, pendant que zorba le Grecs joue de la mandoline sous son olivier avec un verre d'Arak bien frais..

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                          • #14
                            Je crois qu'il y aura bientôt deux europes, l'europe du nord et l'europe du sud, la scission est pour le futur, aprés tout il y avait bien deux allemagnes avant.
                            Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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                            • #15
                              Les allemands travaillent pour payer les retraites grecque, en résumé : A qui appartient la dette grecque ?

                              xenon
                              les créanciers sont principalement l’État français et l'Etat Allemand, c'est pour cela que les marchés n'ont pas trop été perturbés dans cette affaire et après le référendum d'hier.
                              A qui appartient la dette grecque et qui va payer ?

                              Aujourd’hui la Grèce est endettée et ne peut plus rembourser sa dette auprès de ses créanciers. Si aujourd’hui toute l’Europe tremble et le monde dans une moindre mesure, c’est parce que les banques ont accepté de prêter de l’argent aux pays endettés comme la Grèce. Dette de la Grèce s’élevait en 2011 à 360 Milliards d’euros soit 156 % du PIB

                              Cette dette est répartie de la façon suivante :

                              Europe : 100,1 Milliards 28 % (banques nationales européennes/BCE)

                              Grèce : 87,1 Milliards 24 % dont 30 milliards au secteur public soit 8 %

                              France : 15,6 Milliards 4 % (banques assureurs notamment le CA et la SG)

                              Allemagne : 15,2 Milliards 4 % (idem)

                              FMI : 15 Milliards 4 %

                              Italie : 4,7 Milliards 1 %(banques et assurances)

                              Dexia : 3,5 Milliards 0,9 % (non ce n’est pas un gag)

                              Reste du monde : 118,8 Milliards 33 % (banques, assurances, fonds et investisseurs privés)



                              La Grèce a toujours vécu au-dessus de ces moyens en empruntant de l’argent aux différents acteurs économiques. L’état grec très corrompu a aussi été corrupteur de son peuple en étant très généreux. Aujourd’hui pour pouvoir essayer de limiter cette dette, la Grèce ferme tous les robinets (primes, pensions, retraites, tva, investissements, etc.) et réduit ses dépenses. Cette rigueur budgétaire entraine un climat de révolte auprès de ses habitants qui étaient habitués jusque-là à un état protecteur



                              Quelles sont les solutions ?

                              Les solutions pour sortir la Grèce de son sur-endettement sont multiples…

                              La Grèce s’engage à accroitre sa rigueur budgétaire en rognant sur son secteur public et en vendant tout ce qu’elle peut vendre, et les banques et les investisseurs suppriment une partie de cette dette en encaissent leurs pertes.

                              L’UE crée des Eurobonds, ce qui permet à tous les pays de la zone euro de se financer par le même canal. C’est ce que certain appelle la mutualisation de la dette, autrement dit, on n’achètera plus la dette française ou grecque mais une dette européenne. Les Allemands y sont farouchement opposés

                              On Imprime des billets pour payer une partie de la dette. C‘est ce qui vient d’être fait pour environ 1000 milliards d’euro. Ça baisera le court de l’euro et nous seront économiquement plus compétitif.

                              On exclue la Grèce de l’UE et on s’assoie sur une partie des 360 milliards (environ 200 milliards). Il y aura un effet domino et certains pays comme le Portugal, l’Irlande, l’Espagne, l’Italie seront tentés de s’exclure aussi, de se déclarer en faillite, de ne pas rembourser leurs dettes et les conséquences sont incalculables : faillite des banques nationales, chute de la monnaie européenne, dégradation des conditions de vie des européens, montée en puissance des partis extrémistes, récession généralisée, etc. Ça ressemble étrangement à un scénario de 1929 à l’Européenne…



                              Une faillite en masse d’établissements financiers comme le CA, la CE, la SG ne pourra pas être couverte par l’argent des états et ce sont les économies des particuliers qui vont disparaître. Donc, pour éviter la paralysie de notre système économique, nous serons obligés par le biais des états de refinancer de nos banques et de nos assurances qui ont investi dans ces dettes souveraines.



                              En votant la majorité pour un parti qui défendra plus ardemment les intérêts des grecques face à la BCE, au FESF ou au FMI, je doute fortement que ce soit un bien pour les autres états européens qui devront payer l’ardoise grecque. Il faut aussi mettre en avant l’immaturité voire l’inconscience de nos gouvernants qui en laissant aller un état sans contrôle et en faisant l’autruche de 2010 jusqu’à maintenant (C’est une dette de 315 milliards et cette année on va injecter 1000 milliards en faisant tourner la planche à billets) ont contribué à ce qu’il n’y ait pas de plan B pour la Grèce, parce que tout simplement il n’y a jamais eu de plan A.

                              Agora
                              Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
                              L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

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