S'ils n'y avait vraiment rien de solide dans le livre à publier, le royaune n'aurait jamais rien proposé en échange, et les journaleux n'auraient jamais demandé d'escroquer quoique ce soit.
Pomaria
Pomaria
Or cette affaire n’empêche pas ces journaleux de publier leur livre même en prison.
Ce qui rend ton raisonnement risible d'autant que les nombreux brulots de ce genre n'ont à aucun moment ébranlé la monarchie surtout depuis que cette monarchie s'est décidée à ne plus les censurer , les banalisant du coup:
Il suffit simplement de réfléchir hors influence du prisme anti-marocain primaire orchestré par le FLN/DRS et les choses seraient très simples à saisir
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