salam
Le gérant d’une boîte de nuit de Marrakech propose de belles prostituées sur catalogue à des clients de différentes nationalités, principalement issus des pays du golfe. Les Marocains sont interdits d’entrée dans ce club privé de peur qu’il ne soit démasqué.
L’homme, un Suédois d’origine irakienne gère trois boîtes de nuit à la ville ocre avec la même autorisation. C’est dans l’un des ces établissements qu’il invite ses clients à consulter les photos des filles disponibles, affirment des sources locales citées par le quotidien Assabah.
Il possède dans son catalogue, se vante-t-i,l une sélection de 100 des plus belles filles de joie de luxe de Marrakech, qui travaillent exclusivement pour lui et qu’il choisit selon des critères de beauté bien précis.
Les filles sont soumises à un règlement très rigoureux. Les indisciplinées sont sévèrement sanctionnées. Le ressortissant irakien fait fonctionner son business de la même manière que les réseaux de trafic d’êtres humains, soutient le journal.
Les prostituées dont il assure la protection et le logement dans des zones résidentielles de luxe comme la Palmeraie ou Bab El Atlas, reçoivent chacune 200 DH par jour pour se faire belles et se préparer à recevoir les clients.
L’Irakien fait l’objet de trois plaintes. La Direction Générale de la Sécurité Territoriale (DGST) enquête sur cette affaire. Un rapport a déjà été déposé sur le bureau du wali de la région de Marrakech, selon Assabah, mais l’entremetteur qui avait fait auparavant l’objet d’un avertissement des services de renseignement a défié les autorités locales en recevant ses clients hors des heures de travail, affirme le journal.
bladi
Le gérant d’une boîte de nuit de Marrakech propose de belles prostituées sur catalogue à des clients de différentes nationalités, principalement issus des pays du golfe. Les Marocains sont interdits d’entrée dans ce club privé de peur qu’il ne soit démasqué.
L’homme, un Suédois d’origine irakienne gère trois boîtes de nuit à la ville ocre avec la même autorisation. C’est dans l’un des ces établissements qu’il invite ses clients à consulter les photos des filles disponibles, affirment des sources locales citées par le quotidien Assabah.
Il possède dans son catalogue, se vante-t-i,l une sélection de 100 des plus belles filles de joie de luxe de Marrakech, qui travaillent exclusivement pour lui et qu’il choisit selon des critères de beauté bien précis.
Les filles sont soumises à un règlement très rigoureux. Les indisciplinées sont sévèrement sanctionnées. Le ressortissant irakien fait fonctionner son business de la même manière que les réseaux de trafic d’êtres humains, soutient le journal.
Les prostituées dont il assure la protection et le logement dans des zones résidentielles de luxe comme la Palmeraie ou Bab El Atlas, reçoivent chacune 200 DH par jour pour se faire belles et se préparer à recevoir les clients.
L’Irakien fait l’objet de trois plaintes. La Direction Générale de la Sécurité Territoriale (DGST) enquête sur cette affaire. Un rapport a déjà été déposé sur le bureau du wali de la région de Marrakech, selon Assabah, mais l’entremetteur qui avait fait auparavant l’objet d’un avertissement des services de renseignement a défié les autorités locales en recevant ses clients hors des heures de travail, affirme le journal.
bladi
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