Toujours la traitrise des alaouites ???
.
Donc le sahara occidental n appartient pas aux alaouites
Sans aucun aux autochtones qui ont été massacré en 1958
Ouragan/ecouvillon ( Maroc /France /Espagne )
*Des observateurs imputent la naissance du Polisario à la compicité des FAR avec les armées françaises et espagnoles lors de l'opération Ouragan-Ecouvillion.
..
Toujours la traitrise des alaouites ..??
posté par hakimcasa
on s'en fout à qui appartient la Sahara marocain.
on s'en fout à qui appartient la Sahara marocain.
Donc le sahara occidental n appartient pas aux alaouites
Sans aucun aux autochtones qui ont été massacré en 1958
Ouragan/ecouvillon ( Maroc /France /Espagne )
*Des observateurs imputent la naissance du Polisario à la compicité des FAR avec les armées françaises et espagnoles lors de l'opération Ouragan-Ecouvillion.
C’est un sujet extrêmement sensible qu ’aborde Mehdi Bennouna.
Un sujet qui lorsqu’ il est traité par la presse, conduit quelquefois à la censure comme ce fut le cas et comme l ’a annoncé récemment le Premier-ministre dans une émission de télévision pour le défunt "Journal” en décembre 2001.
La thèse de Mehdi Bennouna est sans fioritures, le Palais aurait procédé à une alliance avec les colonisateurs pour écraser l ’ALN-Sud et se débarrasser ainsi des dernières zones de résistances qui menaçaient l’équilibre de la monarchie.
En janvier 1958, les Espagnols dépêchent 10.000 hommes dans le sud du Maroc. Les Français en envoient 6000 et l’a viation pour déloger les éléments “rebelles”. La campagne, abrégée par une sauvage brutalité, ne dure que 15 jours :
les villages sont pilonnés par l ’aviation, les troupeaux, source de survie des populations, décimés. “La perte d ’un cheptel tuait une famille nomade aussi sûrement que si elle se trouvait directement exposée à un bombardement.
Isolés et privés de ressources, les combattants de l’ ALN sont contraints de se replier. Certains se rendent, d’ autres plongent dans la clandestinité”.
Le Palais garant d’une indépendance acquise de haute lutte, n ’y trouve rien à redire :
l’ affaire affaiblit l ’ALN, renforce les FAR et l ’appareil sécuritaire du régime. Les ex-tuteurs coloniaux continuent à assumer leur rôle de “protecteur” du trône.
Fort de cette garantie, celui-ci donne son assentiment et son soutien à cette opération de pacification qui s’ inscrit dans la pure tradition coloniale.
Pour le prix de sa collaboration, le prince Moulay Hassan se voit rétrocéder par Franco la région de Tarfaya dont il vient prendre possession le 10 avril 1958 à la tête d’une division des FAR conduite par Oufkir.
Un sujet qui lorsqu’ il est traité par la presse, conduit quelquefois à la censure comme ce fut le cas et comme l ’a annoncé récemment le Premier-ministre dans une émission de télévision pour le défunt "Journal” en décembre 2001.
La thèse de Mehdi Bennouna est sans fioritures, le Palais aurait procédé à une alliance avec les colonisateurs pour écraser l ’ALN-Sud et se débarrasser ainsi des dernières zones de résistances qui menaçaient l’équilibre de la monarchie.
En janvier 1958, les Espagnols dépêchent 10.000 hommes dans le sud du Maroc. Les Français en envoient 6000 et l’a viation pour déloger les éléments “rebelles”. La campagne, abrégée par une sauvage brutalité, ne dure que 15 jours :
les villages sont pilonnés par l ’aviation, les troupeaux, source de survie des populations, décimés. “La perte d ’un cheptel tuait une famille nomade aussi sûrement que si elle se trouvait directement exposée à un bombardement.
Isolés et privés de ressources, les combattants de l’ ALN sont contraints de se replier. Certains se rendent, d’ autres plongent dans la clandestinité”.
Le Palais garant d’une indépendance acquise de haute lutte, n ’y trouve rien à redire :
l’ affaire affaiblit l ’ALN, renforce les FAR et l ’appareil sécuritaire du régime. Les ex-tuteurs coloniaux continuent à assumer leur rôle de “protecteur” du trône.
Fort de cette garantie, celui-ci donne son assentiment et son soutien à cette opération de pacification qui s’ inscrit dans la pure tradition coloniale.
Pour le prix de sa collaboration, le prince Moulay Hassan se voit rétrocéder par Franco la région de Tarfaya dont il vient prendre possession le 10 avril 1958 à la tête d’une division des FAR conduite par Oufkir.
Toujours la traitrise des alaouites ..??
Commentaire