

"Dans notre pays, ça s'appelle du blasphème, au sens large du mot, cela n'a rien à voir, ni avec la démocratie ni avec la liberté d'expression." Face à la presse, vendredi 6 novembre, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, n'a pas mâché ses mots. Dans le viseur de Moscou : deux dessins publiés par Charlie Hebdo sur le crash de l'Airbus russe dans le Sinaï égyptien, qui a fait 224 morts samedi.
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