Mirou[/I]
Pointé du doigt par la communauté internationale, le Maroc continue à déverser son venin insidieux ravageur accentuant chaque année sa cadence pour inonder nos seulement l’Algérie de drogue, mais, subséquemment, l’Europe toute entière et la planète, s’il en avait les moyens.
Prévenir les tonnes de cannabis et neutraliser l’infiltration sur notre sol les narcotrafiquants, s’avère pour les services de sécurité algériens, une opération très difficile et assez complexe que de nettoyer de l’anus d’un crocodile affamé.
Au risque de vexer les marocains qui, consciemment ou pas, vouent une adulation presque idolâtrique envers la famille royale et un culte excessif de la personnalité d’un roi opiomane, les autorités du royaume annoncent à chaque occasion que la culture de cannabis n’est qu’un substitut de quelques familles pauvres difficilement repérables disséminées à travers le territoire et contre lesquelles, elles luttent implacablement pour les éradiquer, alors qu’en réalité, ce trafic s’effectue à l’échelle industrielle, sous le contrôle étroit d’un makhzen complice qui tire, en sous-main, de grands profits en devises étrangères que les spécialistes estiment entre 6 à 7 milliards de dollars.
Le pari n’étant pas seulement de s’enrichir à moindres frais, mais aussi à faire une guerre non conventionnelle à un voisin gênant pour lui forcer la main et le faire revenir à de meilleures décisions. Si le roi s’emmêle toujours dans ses misérables parades pour fléchir l’Algérie à abandonner son soutien à l’autodétermination du Sahara Occidental qu’il considère comme faisant partie de son territoire, il a réussit à se constituer une fortune personnelle et à faire de son royaume, l’un des pays le plus beau d’Afrique.
Mais, à quel prix ? Peu, importe, puisque pour notre ami le roi, l'argent n'a pas d'odeur.
Pointé du doigt par la communauté internationale, le Maroc continue à déverser son venin insidieux ravageur accentuant chaque année sa cadence pour inonder nos seulement l’Algérie de drogue, mais, subséquemment, l’Europe toute entière et la planète, s’il en avait les moyens.
Prévenir les tonnes de cannabis et neutraliser l’infiltration sur notre sol les narcotrafiquants, s’avère pour les services de sécurité algériens, une opération très difficile et assez complexe que de nettoyer de l’anus d’un crocodile affamé.
Au risque de vexer les marocains qui, consciemment ou pas, vouent une adulation presque idolâtrique envers la famille royale et un culte excessif de la personnalité d’un roi opiomane, les autorités du royaume annoncent à chaque occasion que la culture de cannabis n’est qu’un substitut de quelques familles pauvres difficilement repérables disséminées à travers le territoire et contre lesquelles, elles luttent implacablement pour les éradiquer, alors qu’en réalité, ce trafic s’effectue à l’échelle industrielle, sous le contrôle étroit d’un makhzen complice qui tire, en sous-main, de grands profits en devises étrangères que les spécialistes estiment entre 6 à 7 milliards de dollars.
Le pari n’étant pas seulement de s’enrichir à moindres frais, mais aussi à faire une guerre non conventionnelle à un voisin gênant pour lui forcer la main et le faire revenir à de meilleures décisions. Si le roi s’emmêle toujours dans ses misérables parades pour fléchir l’Algérie à abandonner son soutien à l’autodétermination du Sahara Occidental qu’il considère comme faisant partie de son territoire, il a réussit à se constituer une fortune personnelle et à faire de son royaume, l’un des pays le plus beau d’Afrique.
Mais, à quel prix ? Peu, importe, puisque pour notre ami le roi, l'argent n'a pas d'odeur.
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