Si cela se confirme, quelle politique adoptera la gauche espagnole face aux dossiers du Sahara Occidental et des présides de Ceuta et Mellila?
Or, l'extrême-gauche de l'Espagne propose le deal de l'indépendance sahraouie contre la rétrocession de Ceuta et Mellila au Maroc. Une solution limpide n'est-ce pas?
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La deuxième place est sauvée de justesse par les socialistes du PSOE, qui obtiendraient 22,1 % des suffrages et 92 députés (contre 110 actuellement). Le nouveau parti de gauche radicale Podemos, créé il y a moins de deux ans, les talonne avec 20,7 % des voix, mais seulement 69 députés à cause de règles électorales favorisant le PSOE. Les anciens communistes d’Izquierda Unida n’obtiendraient que 2 sièges.
Au pied du podium, Ciudadanos (centre-droit), l’autre nouvelle formation issue de la société civile, obtiendrait 13,9 % des voix et 40 sièges dans la nouvelle assemblée. Même en cas d’alliance avec ce mouvement, le Parti populaire ne pourrait donc pas former de gouvernement majoritaire.
Ces résultats bouleversent profondément l’équilibre politique espagnol, dominé depuis 1982 par le bipartisme PP/PSOE. Malgré la légère avance de la gauche, aucune coalition ne semble se dessiner de manière évidente.
Souce: Le Monde
Or, l'extrême-gauche de l'Espagne propose le deal de l'indépendance sahraouie contre la rétrocession de Ceuta et Mellila au Maroc. Une solution limpide n'est-ce pas?
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La deuxième place est sauvée de justesse par les socialistes du PSOE, qui obtiendraient 22,1 % des suffrages et 92 députés (contre 110 actuellement). Le nouveau parti de gauche radicale Podemos, créé il y a moins de deux ans, les talonne avec 20,7 % des voix, mais seulement 69 députés à cause de règles électorales favorisant le PSOE. Les anciens communistes d’Izquierda Unida n’obtiendraient que 2 sièges.
Au pied du podium, Ciudadanos (centre-droit), l’autre nouvelle formation issue de la société civile, obtiendrait 13,9 % des voix et 40 sièges dans la nouvelle assemblée. Même en cas d’alliance avec ce mouvement, le Parti populaire ne pourrait donc pas former de gouvernement majoritaire.
Ces résultats bouleversent profondément l’équilibre politique espagnol, dominé depuis 1982 par le bipartisme PP/PSOE. Malgré la légère avance de la gauche, aucune coalition ne semble se dessiner de manière évidente.
Souce: Le Monde
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