HRW demande à Ban Ki-Moon d'intervenir pour libérer trois réfugiées sahraouies séquestrées aux camps de Tindouf.
Human Rights Watch a exhorté le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, à intervenir auprès du Polisario pour libérer trois réfugiées sahraouies séquestrées aux camps de Tindouf.
Il s'agit de Maloma Morales de Matos (22 ans), Darya Embarek Selma (26 ans) et Nadjiba Mohamed Kacem (24 ans).
Les trois femmes s'étaient rendues dans les camps de Tindouf pour rendre visite à leurs familles. Souhaitant revenir en Espagne, elles ont été bloquées par les familles sous prétexte qu'elles "devraient rester renforcer leurs liens avec leur culture et leur langue maternelles".
Le 10 février 2016, HRW avait adressé une lettre au ministre de la justice du Polisario, au sujet des trois femmes séquestrées.
"Les cas de séquestration devraient être considérés comme des crimes", a déclaré Sarah Leah Whitson, directrice de HRW Moyen-Orient et Afrique du Nord.
HRW n'a pas manqué de rappeler d'autres rapports similaires dans les camps de Tindouf, bien que "les détails ont été difficiles à confirmer".
Ban Ki-Moon devra se rendre dans le camps de Tindouf ce samedi 5 mars. Cette visite fait partie de l'engagement de l'ONU de faire avancer le règlement politique du conflit "artificiel" autour du Sahara marocain. HRW espère qu'il soulèvera le cas des trois femmes, y compris avec les autorités algériennes, juridiquement responsables du respect des droits humains dans les camps.
Medias 24
Human Rights Watch a exhorté le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, à intervenir auprès du Polisario pour libérer trois réfugiées sahraouies séquestrées aux camps de Tindouf.
Il s'agit de Maloma Morales de Matos (22 ans), Darya Embarek Selma (26 ans) et Nadjiba Mohamed Kacem (24 ans).
Les trois femmes s'étaient rendues dans les camps de Tindouf pour rendre visite à leurs familles. Souhaitant revenir en Espagne, elles ont été bloquées par les familles sous prétexte qu'elles "devraient rester renforcer leurs liens avec leur culture et leur langue maternelles".
Le 10 février 2016, HRW avait adressé une lettre au ministre de la justice du Polisario, au sujet des trois femmes séquestrées.
"Les cas de séquestration devraient être considérés comme des crimes", a déclaré Sarah Leah Whitson, directrice de HRW Moyen-Orient et Afrique du Nord.
HRW n'a pas manqué de rappeler d'autres rapports similaires dans les camps de Tindouf, bien que "les détails ont été difficiles à confirmer".
Ban Ki-Moon devra se rendre dans le camps de Tindouf ce samedi 5 mars. Cette visite fait partie de l'engagement de l'ONU de faire avancer le règlement politique du conflit "artificiel" autour du Sahara marocain. HRW espère qu'il soulèvera le cas des trois femmes, y compris avec les autorités algériennes, juridiquement responsables du respect des droits humains dans les camps.
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