Le peuple iranien demande la fin urgente de la tyrannie et l’instauration de la démocratie
CNRI - Dans son discours sur l'anniversaire de la révolution antimonarchique en Iran, la Présidente élue de la Résistance iranienne Maryam Radjavi a déclaré que 30 ans après le vol par Khomeiny de la révolution iranienne, tout indique que le peuple veut d'urgence remplacer la tyrannie sanguinaire par la démocratie. Le régime a recouru à des mesures barbares pour réprimer la population, a insisté sur la poursuite durant huit ans de la guerre Iran-Irak, et déversé les ressources nationales dans le développement de l’intégrisme et l’exportation du terrorisme.
Toutefois, selon des sondages effectués par le régime des mollahs, plus de 95% de la population sont désillusionnés ou nourrissent de la haine contre ce pouvoir. Le bilan du régime clérical pour ces trois dernières décennies comprend :
- L’exécution de 120.000 opposants politiques y compris le massacre de 30.000 prisonniers politiques en 1988 ;
- Huit années de guerre impopulaire ;
- 450 opérations terroristes hors d’Iran ;
- Le lancement d'une campagne de terreur et de panique en Irak, en Palestine et au Liban ces dernières années ;
- Un système d'apartheid sexuel ;
- Le plus grand nombre d'exécutions par habitant au monde ;
- Neuf millions de chômeurs, surtout parmi la tranche jeune de la population active ;
- Huit millions de personnes vivant dans les bidonvilles des grandes villes ;
- Dix millions de toxicomanes (le plus grand nombre au monde) ;
- 50 % de la population vivant sous le seuil de pauvreté ;
Mme Radjavi a jugé que la politique de complaisance menée par l'Occident ces 20 dernières années a encouragé les mollahs à poursuivre à plein régime leur politique de répression dans le pays et d’exportation de l’intégrisme et du terrorisme à l’étranger, ainsi que leur course aux armes nucléaires. L'aspect le plus destructeur de cette politique a été l’inscription sur la liste noire de l’organisation des Moudjahidine du peuple d'Iran (OMPI) et le blocage du changement démocratique en Iran.
Après sept ans de campagne politique et juridique et sept jugements en faveur de la radiation de l’OMPI rendus par les tribunaux britanniques et la Cour européenne de justice à Luxembourg et le soutien de 2000 parlementaires à travers l'Europe, le Conseil des ministres de l’UE a supprimé le 26 janvier 2009, cette étiquette terroriste.
Le temps est venu pour l’occident de remplacer la politique de complaisance par une politique de fermeté envers le régime iranien qui a été condamné 55 fois par les organismes des Nations Unies pour ses violations systématiques des droits de l'homme.
Elle a estimé que le fascisme religieux au pouvoir n'avait pas seulement enchaîné et réprimé le peuple iranien, mais posait aussi une grande menace pour la paix dans le monde en exportant le terrorisme dans d'autres pays, le bellicisme au Moyen-Orient et avec sa course à la bombe atomique.
La communauté internationale doit imposer des sanctions au régime iranien et renvoyer son bilan des droits de l'homme devant le Conseil de sécurité des Nations unies.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
CNRI - Dans son discours sur l'anniversaire de la révolution antimonarchique en Iran, la Présidente élue de la Résistance iranienne Maryam Radjavi a déclaré que 30 ans après le vol par Khomeiny de la révolution iranienne, tout indique que le peuple veut d'urgence remplacer la tyrannie sanguinaire par la démocratie. Le régime a recouru à des mesures barbares pour réprimer la population, a insisté sur la poursuite durant huit ans de la guerre Iran-Irak, et déversé les ressources nationales dans le développement de l’intégrisme et l’exportation du terrorisme.
Toutefois, selon des sondages effectués par le régime des mollahs, plus de 95% de la population sont désillusionnés ou nourrissent de la haine contre ce pouvoir. Le bilan du régime clérical pour ces trois dernières décennies comprend :
- L’exécution de 120.000 opposants politiques y compris le massacre de 30.000 prisonniers politiques en 1988 ;
- Huit années de guerre impopulaire ;
- 450 opérations terroristes hors d’Iran ;
- Le lancement d'une campagne de terreur et de panique en Irak, en Palestine et au Liban ces dernières années ;
- Un système d'apartheid sexuel ;
- Le plus grand nombre d'exécutions par habitant au monde ;
- Neuf millions de chômeurs, surtout parmi la tranche jeune de la population active ;
- Huit millions de personnes vivant dans les bidonvilles des grandes villes ;
- Dix millions de toxicomanes (le plus grand nombre au monde) ;
- 50 % de la population vivant sous le seuil de pauvreté ;
Mme Radjavi a jugé que la politique de complaisance menée par l'Occident ces 20 dernières années a encouragé les mollahs à poursuivre à plein régime leur politique de répression dans le pays et d’exportation de l’intégrisme et du terrorisme à l’étranger, ainsi que leur course aux armes nucléaires. L'aspect le plus destructeur de cette politique a été l’inscription sur la liste noire de l’organisation des Moudjahidine du peuple d'Iran (OMPI) et le blocage du changement démocratique en Iran.
Après sept ans de campagne politique et juridique et sept jugements en faveur de la radiation de l’OMPI rendus par les tribunaux britanniques et la Cour européenne de justice à Luxembourg et le soutien de 2000 parlementaires à travers l'Europe, le Conseil des ministres de l’UE a supprimé le 26 janvier 2009, cette étiquette terroriste.
Le temps est venu pour l’occident de remplacer la politique de complaisance par une politique de fermeté envers le régime iranien qui a été condamné 55 fois par les organismes des Nations Unies pour ses violations systématiques des droits de l'homme.
Elle a estimé que le fascisme religieux au pouvoir n'avait pas seulement enchaîné et réprimé le peuple iranien, mais posait aussi une grande menace pour la paix dans le monde en exportant le terrorisme dans d'autres pays, le bellicisme au Moyen-Orient et avec sa course à la bombe atomique.
La communauté internationale doit imposer des sanctions au régime iranien et renvoyer son bilan des droits de l'homme devant le Conseil de sécurité des Nations unies.
Secrétariat du Conseil national de la Résistance iranienne
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