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Ceinture de défense au Sahara, un ouvrage qui a changé la face de la guerre

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  • Ceinture de défense au Sahara, un ouvrage qui a changé la face de la guerre

    A deux reprises au cours des derniers mois, le polisario a beaucoup surfé sur le thème des “territoires libérés“. Il s’agissait en l’occurrence de Bir Lahlou, lieu-dit situé dans le Sahara marocain, à l’est du mur de défense.

    Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon a accepté en mars de se rendre dans cette région où a été inhumé plus tard Mohamed Abdelaziz.

    Quelle est la réalité? S’agit-il réellement de territoires libérés? Et quelle est l’histoire de la ceinture de sécurité au Sahara?

    La ceinture ou mur de défense au Sahara est une œuvre du génie militaire marocain, dont l’origine n’est pas connue avec certitude. Le plus probable, selon les experts contactés par nos soins, est que l’idée est née d’échanges entre Hassan II d’un côté, ses officiers supérieurs de l’autre et enfin des ingénieurs d’OCP qui travaillaient à Phosboucraa et qui avaient pour souci de sécuriser l’extraction et le convoyage du phosphate jusqu’à Laâyoune.
    La construction du premier mur a commencé en 1980. Auparavant, pendant les 4 ou 5 années précédentes, le polisario avait réussi de nombreuses incursions, jusqu’à Tan Tan, Mhamid, Jebel Ouarkziz ainsi que sur la côte atlantique, au sud de Dakhla.

    La première stratégie marocaine avait consisté en la création de trois groupements mécanisés mobiles chargés du ratissage, auxquels des noms emblématiques ont été donnés: Ouhoud, Arak, Zallaqa.
    Ces opérations avaient donné des résultats concrets, sans toutefois parvenir à sécuriser le territoire.

    En 1979, une grosse bataille autour de Boucraa, où une colonne du polisario est décimée, constituera un déclic. Ci-dessous, Hassan II évoque cette bataille:

    C’est là que Hassan II s’interroge à haute voix, devant ses interlocuteurs [c’est lui qui le racontera plus tard]: comment créer des passages obligés pour être avertis dès qu’il y a une tentative d’incursion?

    Contrairement aux lignes fortifiées et bétonnées des grandes guerres, Hassan II qui est un grand lecteur d’ouvrages militaires et de stratégie veut un ouvrage simple, avec deux objectifs clairs: être averti de l’arrivée de l’ennemi, freiner la progression de cet ennemi. Une sorte de sonnette d’alarme. Ce n’est pas un mur à proprement parler. Encore moins infranchissable. L’essentiel est d’être averti et d’intervenir.

    Ce sera donc un ouvrage de sable, de trois mètres de haut, truffé de systèmes de détection et de mines, avec des troupes disposées tous les trois kilomètres, et des unités bien équipées situées à l’arrière et capables d’intervenir en un temps record.

    Le mur n’est pas destiné à être hermétique ni infranchissable. Il est toutefois tellement efficace que toute incursion est immédiatement signalée et anéantie. Il change la face de la guerre, sécurise la totalité de la cote atlantique, les villes, les grandes régions et permet un retour à la vie normale, les investissements, le développement de l’infrastructure. Il conforte la souveraineté du Maroc sur le Sahara.

    Le concept final ne sera fixé qu’avec l’expérience et il est probable que le savoir-faire a continué à être étoffé plusieurs années après l’achèvement du dernier tronçon.

    Au départ, les premiers murs visent à sécuriser Boucraa, puis les villes. Ils sont ensuite prolongés. 6 tronçons en tout sont successivement construits, sur une longueur totale de 2.500 km. Au départ, le rythme est lent. Sur le dernier tronçon, le mur avance à la vitesse remarquable de 12 km par jour.
    Ci-dessous, un reportage d'une télévision française, qui date de 1983 ou 1984, au sujet de mur marocain. Attention, il est truffé de clichés, cette vidéo vaut surtout par les témoignages des officiers marocains et par les images du mur:

    1984, une année riche en événements

    En 1984, le Maroc est dans une situation toujours difficile: guerre au Sahara, guerre diplomatique, sècheresse depuis 1981, programme d’ajustement structurel et rééchelonnement de la dette extérieure, contestation sociale et politique…

    Driss Jettou qui rencontrait souvent le défunt roi et qui a travaillé par la suite à ses côtés, me résumera tout cela d’une seule phrase: “Hassan II a tenu la barre“. Ce fut dur, mais le Maroc n’a pas vacillé.

    En 1984, la tension est à son comble, car l’Algérie et le polisario marquent des points sur le front diplomatique. Le 12 novembre 1984, le polisario qui se fait appeler “rasd“, est admis à l’OUA.

    Avant le sommet de l’OUA dont il savait l’issue, Hassan II prépare déjà la riposte du Maroc. Au cours du sommet d’Addis Abeba, Ahmed Reda Guédira prononcera le message de rupture signé Hassan II. La phrase définitive qui conclut le discours reste dans les mémoires: “Voilà, et je le déplore, l'heure de nous séparer. En attendant des jours plus sages, nous vous disons adieu“.
    Le Maroc encaisse le coup et riposte. Et cela, on le saura deux mois plus tard, plus exactement le 15 janvier 1985. Nous y reviendrons, car pour comprendre ce qui va se passer, il faut expliquer le tracé de la ceinture de défense et pourquoi le Maroc a limité le mur uniquement à 80% du territoire alors qu’il pouvait le boucler en entier.

    La ceinture de défense, un ouvrage en plusieurs étapes
    En 1984, le mur n’a pas le tracé actuel. Farçia et Mahbès (voir carte) sont à l’extérieur du mur, ainsi que toute la zone qui fait face à Tindouf et qui longe la frontière algéro-marocaine.

    A chaque fois qu’un tronçon du mur se construit, les troupes marocaines opèrent de tous côtés, y compris du côté ennemi, pour sécuriser la construction et installer les mines et l’électronique. L’aviation intervient de temps en temps sur les lignes ennemies pour pilonner leurs colonnes ou pour les poursuivre.

    C’est l’une des raisons qui font que le mur ne peut pas longer de trop près les frontières internationales. Cela impliquerait une intervention militaire à cheval sur la frontière ou au-delà. De plus, cela signifierait que les deux armées seraient face à face: celle du Maroc d’un côté; celle de l’Algérie ou de la Mauritanie de l’autre.

    Hassan II a donc sécurisé toutes les grandes villes, 80% du territoire et laissé un no man's land entre le Maroc d’un côté, l’Algérie et la Mauritanie de l’autre.

    Hassan II a toujours déclaré qu’il faut tout faire pour éviter une guerre entre le Maroc et l’Algérie. En 1963, à l’occasion de la guerre des sables, il avait retenu son armée. Une guerre serait meurtrière pour les deux pays et il faudrait au moins une génération pour la dépasser, a-t-il dit dans une conférence de presse.

    Tout faire donc pour éviter la guerre, mais faut-il pour autant tout accepter ? Où placer le curseur?

    On va le savoir à l’occasion de cet épisode d’admission à l’OUA.
    Le 12 novembre 1984, il adresse aux FAR l’ordre de construire un mur qui englobe Mahbes et Farçia, et qui boucle la frontière maroco-algérienne, au plus près du tracé. Cet ordre n’est rendu public que le 15 janvier 1985, jour où l’ouvrage est achevé. Mais il est ostensiblement daté du 12 novembre 1984.

    Le 15 janvier 1985, on annonce côté marocain, que les Forces Royales Air ont opéré au-delà du mur pour en sécuriser la construction.

    En langage militaire, Hassan II a dit à l’Algérie qu’il était prêt à lui faire la guerre pour le Sahara. L’Algérie n’a pas réagi. En d’autres termes, l’Etat algérien n’était pas prêt à la guerre pour le Sahara. Une guerre par polisario interposé, oui. Mais directe, non.

    Entre novembre 1984 et janvier 1985, en deux mois, beaucoup de choses ont été dites et les limites ont été tracées.

    Jusqu'à ce jour, le Maroc a laissé un no man's land pour que les armées ne soient pas face à face. Un mur qui serait à cheval sur une frontière accroît le risque de guerre. En effet, s'il est attaqué, et cela est possible et à la portée de n'importe quel petit groupé armé, les soldats se défendront et tireront en pays voisin.

    Depuis le mois de mars dernier et encouragés par l'attitude et les actes du secrétaire général de l'ONU, le polisario agite la menace de reprendre les opérations militaires contre le Maroc. Une telle décision violerait le cessez-le-feu onusien et donc fournirait au Maroc l'occasion, lui imposerait même de boucler ce qui reste du Sahara avec un nouvel ouvrage défensif.
    MEDIA24

  • #2
    Bel ouvrage militaire ..meme s'il coûte 2 millions d'euros chaque jour au trésor marocain.
    Sorti tout droit du génie israélien et américain .
    ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
    On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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    • #3
      Sorti tout droit du génie israélien et américain .
      C'est juste ta jalousie maladive et ton admiration pour les Israeliens qui te fait dire ça, et qui te fait croire malgré toi, à la'propagande stupide de tes généraux bac moins 10.
      Le mur israélien n'a été imaginé qu'une dizaine d'années après l'achèvement du mur marocain.

      C'est le général Bennani, Allah yera7mou, qui en a eu l'idée et l'a soumise à H2. Il était à l'époque chef d'Etat major. C'était un brillant stratège, un vrai général, diplômé de Saint Cyr.
      Au Maroc, quand tu es un général, c'est que tu as largement fait tes preuves...

      Abdelaziz Bennani fait partie de la « Promotion Mohammed V » formée à l'École spéciale militaire de Saint-Cyr (France) en 1956, tout comme le général Hosni Benslimane. Son premier coup de feu remonte à 1957 lors de la récupération de l'enclave espagnole Tarfaya. Dès 1975, juste après la Marche verte, Bennani s'implique dans la guerre du Sahara occidental contre le Polisario en tant que chef d'État-major. En 1975, c'est lui qui a eu l'idée d'ériger un mur de défense qui se nommera mur des sables. Il est nommé ensuite chef d'État-major de la « zone Sud » sous le commandement du général Ahmed Dlimi. Après la mort de ce dernier en 1983, le général Bennani devient commandant de la zone militaire du Sahara occidental. Ensuite, le général Abdelaziz Bennani est inspecteur des Forces armées royales du Maroc (FAR) et Commandant de la zone Sud.

      Wikipedia

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      • #4
        Le “mur des sables” marocain, œuvre d’Israël et des États-Unis


        Le 15/01/08,Érigé entre 1980 et 1987 par le roi Hassan II, l’impressionnant “mur des sables”, de plus de 2 000 km, fait de champs de mines, de remblais, de tranchées, de radars Rasura de surveillance rapprochée et d’autres de plus de 50 kilomètres de portée, portillons électroniques Northrop... a été concocté par des experts israéliens et américains.
        Décidément, les relations entre le Maroc et Israël sont beaucoup plus étroites que l’on aurait imaginé. En effet, à voir la nouvelle révélation du magazine français le Point, dans son édition datée du 10 janvier courant, l’État hébreu et le royaume alaouite coopèrent de façon régulière. Selon cet hebdomadaire, ce qui n’était qu’une rumeur au sujet de la participation d’Israël à la construction du mur des sables marocain au Sahara occidental s’est avéré fondé en fin de compte.
        Dans un article intitulé “Spécial mur”, l’auteur affirme que “les Israéliens et les Américains ont travaillé ensemble” pour édifier cette muraille, dont l’objectif est de limiter au maximum des incursions du Front Polisario vers le Maroc. Ainsi, dans le but de se protéger des incursions du Front Polisario, Rabat a construit entre 1980 et 1987 cet impressionnant mur de sable, d’une longueur de 2 720 kilomètres. L’œuvre est attribuée donc à des experts militaires israéliens et américains. Selon la même source, il coûte au Trésor marocain deux millions d’euros chaque jour. Voilà une dépense qui grève le budget du royaume, déjà très déficitaire ces dernières années en raison de la forte hausse du prix du pétrole sur les marchés mondiaux. Ce mur n'est pas une simple levée de terre mais une succession d'obstacles alignés sur plusieurs kilomètres de profondeur et soutenus par des points d'appui dotés d'artillerie et de moyens de détection et d'intervention rapide. Il est doté de champs de mines, de remblais, de tranchées, de radars Rasura de surveillance rapprochée et d'autres de plus de 50 kilomètres de portée, portillons électroniques Northrop et “points d'appui”, des bases de soldats tous les 1,5 à 2 kilomètres. Depuis, le territoire du Sahara occidental est coupé en deux.
        Pour information, le mur a été construit bien avant celui qui sépare Israël des territoires palestiniens. Il n’est pas exclu que les responsables israéliens se soient inspirés de cet ouvrage pour construire un mur à la limite de la Cisjordanie.
        En 2002, Ariel Sharon décide, en réponse aux sollicitations des colons d’ériger cette ceinture de béton et de barbelés, 9 mètres de hauteur dans les villes, qui se double d'une “barrière intelligente”, avec un couloir large de 45 à 100 mètres et des caméras tous les 50 mètres, pour se protéger contre l’Intifadha des Palestiniens. Ce mur, qui ne suit pas exactement l'ancienne ligne de démarcation d'avant 1967, et qui confisque 9 % de la Cisjordanie, a été déclaré illégal par la Cour internationale de justice.

        Alliance magasine juif sur le net

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        • #5
          Code HTML:
          Le “mur des sables” marocain, œuvre d’Israël et des États-Unis
          @ galaxy

          Qu'attend Alger pour mettre en place un tel mur pour sécuriser ses frontières et éviter les tragédies variétés IN AMENNAS

          Même si le MAROC a bien réalisé son mur de sable bien avant le mur de protection ISRAELIEN

          Le problème certains polisalgériens ne sont pas encore sur que le MAROC n'a pas de pétrole, seulement, il a des idées

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          • #6
            Israël impose aussi un infâme blocus sur Gaza au même titre! Mais est-ce légitime et humain?

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            • #7
              Tiens, Galaxy va chercher un blog sioniste pour corroborrer sa haine et son mépris envers les marocains...et si je te sortais ce que dit ce même blog sur l'Algérie, ce serait tout aussi crédible ?

              Ce sont les militaires marocains qui connaissent le Sahara sur le bout des doigts et ils connaissent aussi parfaitement la mentalité des mercenaires du Polizbel et leurs limites. Là où ils ont dû faire appel aux américains, c'est pour le système de défense électronique.

              Loosers un jour...loosers toujours...oeilfermé

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              • #8
                Cette pratique de ravin ,de mur etc est ancienne est enseignée dans les écoles militaires du monde ,on s'en souvient de la bataille d'Alkhandak que le prophète SMSW qui a creusé des fosses profondes pour faire face à l'ennemi , la ligne maginot ,la bataille de stalinegrade ,la ligne Barlev etc chacun pense sa ligne de défense en fonction de sa géographie et les armes de l’ennemi

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                • #9
                  ملك المغرب محمد السادس قد يكون رفض إستقبال وزير خارجية موريتانيا الذي حمل له دعوة حضور القمة العربية في بواكشوط


                  لم يستقبل حتى الآن ملك المغرب محمد السادس وزير الخارجية الموريتاني الذي كان سيسلمه رسالة لحضور القمة العربية التي ستعقد في ظرف عشرة أيام في نواكشوط. ومن شأن القرار إضافة مزيد من البرودة على العلاقات الثنائية بين البلدين.

                  ونقلت “جريدة “أخبار الوطن” الموريتانية خبرا يفيد بتوجه وزير الخارجية الموريتاني الى الرباط مرتين خلال المدة الأخيرة ليسلم الى الملك محمد السادس دعوة الحضور للقمة العربية في نواكشوط. ولكن الملك لم يستقبله في الزيارتين. وتحدث الجردية عن الرفض، ولم يصدر أي موقف عن الجانب المغربي.

                  وتحتضن موريتانيا القمة التي كانت مبرمجة في أبريل/نيسان الماضي في الماضي لكن الرباط رفضت تنظيمها بحجة غياب وحدة عربية.

                  ومن ضمن الحجج التي نشرتها هذه الصحيفة وكذلك الصحافة المغربية بشأن عدم استقبال وزير الخارجية هو غضب المغرب من موريتانيا لعدم تعيينها سفيرا في الرباط. وسحبت موريتانيا سفيرها من المغرب سنة 2012، ولم تعين له بديلا، وهو ما يعتبر نشازا في العلاقات بين الرباط ونواكشوط.

                  ويضاف الى قضية السفير، تأثرت العلاقات بين البلدين بسبب تطوير موريتانيا للعلاقات مع البوليزاريو خلال الثلاث سنوات الأخيرة. وتعترف نواكشوط بالدولة التي أعنلتها البوليزاريو.

                  rayelyowm.

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                  • #10
                    Sentant le roussi dans leur guerre contre le Polisario les pissous agresseurs ont du faire appel à la protection israélienne.
                    Les sionistes étaient aux anges, et comment! ils venaient de se placer militairement dans la région, pas loin de la frontière de l'Algérie qui en 1973 leur avait fait voir des étoiles en pleine clarté.
                    Les peuples de la région venaient de s'apercevoir du jusqu'où peut aller l'infamie de la monarchie.
                    وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                    • #11
                      " Jusqu'à ce jour, le Maroc a laissé un no man's land pour que les armées ne soient pas face à face. Un mur qui serait à cheval sur une frontière accroît le risque de guerre. En effet, s'il est attaqué, et cela est possible et à la portée de n'importe quel petit groupé armé, les soldats se défendront et tireront en pays voisin."

                      Mais à quel prix? 25 milliards de dollars par année n'est-ce pas trop pour le Maroc?

                      Commentaire


                      • #12
                        Le Maroc consacre 3% de son PIB pour le maintien d'un mur de sable

                        Commentaire


                        • #13
                          citation Spoutnik
                          Ce sont les militaires marocains qui connaissent le Sahara sur le bout des doigts et ils connaissent aussi parfaitement la mentalité des mercenaires du Polizbel et leurs limites.



                          En réalité tous des ânes inculte , le seul général génial et intelligent était le général Oufkir les autres devrait suivre son exemple

                          Commentaire


                          • #14
                            " Au Maroc, quand tu es un général, c'est que tu as largement fait tes preuves..." Spoutnik

                            L'on l'avait vu lors de l'invasion des FAR de l'îlot à chèvres espagnol de Persil en 2002! Se faire narguer ainsi par une flottille espagnole ne valant aucun clou est-ce vraiment un critère de professionnalisme de l'armée marocaine?

                            Commentaire


                            • #15
                              *Y’a pas de quoi faire les fiers


                              Le mur des sables (Maroc)

                              Construit entre 1980 et 1987 dans la zone du Sahara occidental sur demande du Maroc, le mur des sables est supposé protéger le pays des diverses attaques en provenance du désert.

                              En vrai, il a plutôt été construit pour asseoir le pouvoir du Maroc sur l'ancien "Sahara espagnol" et empêcher le mouvement indépendant Front Polisario de gagner du terrain. Le mur est gardé par plus de 100 000 soldats marocains.

                              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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