Bruxelles: Une entreprise controversée, extrêmement critiquée par les défenseurs des droits de l’homme et par Médecins Sans Frontières.
Des pays du sud qui accepteraient de devenir des terminus pour les immigrés clandestins subsahariens et asiatiques, en échange de dons financiers européens.
C’est ainsi le principe d’un projet très controversé, initié par le Conseil de l'Union européenne.
En effet, le Conseil de l'Union européenne, appelé aussi, officieusement, le Conseil des ministres de l'UE, a rédigé une étude, publiée sur son portail web officiel, dans laquelle, il préconise la mise en place d’un projet à double facettes, vis-à-vis d’un groupe de 16 pays africains et asiatiques, concernant l’immigration clandestine s’orientant vers l’Europe.
L’instance européenne a ainsi proposé d’agir vis-à-vis de ces 16 pays cibles, par une politique du bâton et de la carotte.
Selon ce document officiel européen, pour les pays de la liste suivante:
Le Maroc, l’Algérie, la Tunisie, l’Ethiopie, l’Eritrée, le Mali, le Niger, le Nigeria, le Sénégal, la Somalie, le Soudan, le Ghana, la Côte d’Ivoire, l’Afghanistan, le Bangladesh le Pakistan,
l’UE proposeraient d’accorder des dons financiers pour différents projets, à hauteur, pour les 16, de 62 milliards d’Euros d’ici 2020.
La contrepartie, serait que ces pays du sud, acceptent de devenir des terminus pour les immigrés clandestins de leurs voisinages, qui marchent en flux vers l’Europe.
Concrètement, ce projet consisterait à ce qu’un pays comme le Maroc retienne, définitivement chez lui, tous les clandestins qui se dirigeaient vers l’Europe. Et plus, que le royaume accepte d’installer chez lui, les clandestins chassés de l’Europe.
La particularité de ce projet, qui a horrifié les défenseurs des droits de l’homme et de Médecins-Sans-Frontières, c’est qu’il comporte une case sanction au cas où l’un de ces 16 pays refuserait de jouer le jeu:
‘‘Ceux qui ne coopéreraient pas en ressentiront les conséquences dans tous les domaines, qu’il s’agisse d’aide à l’éducation, à l’énergie, à l’agriculture ou encore d’aide face au changement climatique.’’
lemag
Des pays du sud qui accepteraient de devenir des terminus pour les immigrés clandestins subsahariens et asiatiques, en échange de dons financiers européens.
C’est ainsi le principe d’un projet très controversé, initié par le Conseil de l'Union européenne.
En effet, le Conseil de l'Union européenne, appelé aussi, officieusement, le Conseil des ministres de l'UE, a rédigé une étude, publiée sur son portail web officiel, dans laquelle, il préconise la mise en place d’un projet à double facettes, vis-à-vis d’un groupe de 16 pays africains et asiatiques, concernant l’immigration clandestine s’orientant vers l’Europe.
L’instance européenne a ainsi proposé d’agir vis-à-vis de ces 16 pays cibles, par une politique du bâton et de la carotte.
Selon ce document officiel européen, pour les pays de la liste suivante:
Le Maroc, l’Algérie, la Tunisie, l’Ethiopie, l’Eritrée, le Mali, le Niger, le Nigeria, le Sénégal, la Somalie, le Soudan, le Ghana, la Côte d’Ivoire, l’Afghanistan, le Bangladesh le Pakistan,
l’UE proposeraient d’accorder des dons financiers pour différents projets, à hauteur, pour les 16, de 62 milliards d’Euros d’ici 2020.
La contrepartie, serait que ces pays du sud, acceptent de devenir des terminus pour les immigrés clandestins de leurs voisinages, qui marchent en flux vers l’Europe.
Concrètement, ce projet consisterait à ce qu’un pays comme le Maroc retienne, définitivement chez lui, tous les clandestins qui se dirigeaient vers l’Europe. Et plus, que le royaume accepte d’installer chez lui, les clandestins chassés de l’Europe.
La particularité de ce projet, qui a horrifié les défenseurs des droits de l’homme et de Médecins-Sans-Frontières, c’est qu’il comporte une case sanction au cas où l’un de ces 16 pays refuserait de jouer le jeu:
‘‘Ceux qui ne coopéreraient pas en ressentiront les conséquences dans tous les domaines, qu’il s’agisse d’aide à l’éducation, à l’énergie, à l’agriculture ou encore d’aide face au changement climatique.’’
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