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Kiosque360. Le PJD et l’association Al Adl wal ihssane (Justice et bienfaisance) se rapprochent à la veille des législatives. La présence salafiste dans les listes du parti de la Lampe et l’accréditation de membres d’AWI dévoilent la nouvelle tactique du PJD.
Le Parti de la Justice et du développement (PJD) ne cesse d’envoyer des messages «à qui de droit», dévoilant progressivement les mandataires de ses listes dans certaines circonscriptions électorales locales, en vue des élections législatives du 7 octobre pour le renouvellement des membres de la Chambre des représentants. C'est ainsi qu'il a annoncé l’accréditation de Hammad Kabbaj pour conduire la liste du PJD dans la circonscription électorale locale de Guéliz-Menara.
«Il ne faut pas s’étonner de voir le Parti de la Justice et du développement faire appel à des salafistes et des extrémistes pour mobiliser des suffrages, puisque cette approche est en harmonie avec son référentiel islamique, sa vision culturelle et son projet idéologique», a souligné Mostapha Manar, professeur de droit public à l’Université Mohammed V de Rabat, dans une déclaration à Assabah, qui rapporte ses propos dans son édition de ce vendredi 2 septembre. Et de préciser que cette approche dissiperait les différends qui opposent le parti conduisant la majorité gouvernementale et l’Association Al adl wal ihssane. «Les canaux de communication entre le PJD et l’AWI ont toujours été fonctionnels, en dépit des désaccords apparents. Pour preuve, une bonne partie des voix en faveur du PJD provient des fidèles de l’AWI», a encore affirmé Mostapha Manar.
Le Parti de la Justice et du développement (PJD) ne cesse d’envoyer des messages «à qui de droit», dévoilant progressivement les mandataires de ses listes dans certaines circonscriptions électorales locales, en vue des élections législatives du 7 octobre pour le renouvellement des membres de la Chambre des représentants. C'est ainsi qu'il a annoncé l’accréditation de Hammad Kabbaj pour conduire la liste du PJD dans la circonscription électorale locale de Guéliz-Menara.
«Il ne faut pas s’étonner de voir le Parti de la Justice et du développement faire appel à des salafistes et des extrémistes pour mobiliser des suffrages, puisque cette approche est en harmonie avec son référentiel islamique, sa vision culturelle et son projet idéologique», a souligné Mostapha Manar, professeur de droit public à l’Université Mohammed V de Rabat, dans une déclaration à Assabah, qui rapporte ses propos dans son édition de ce vendredi 2 septembre. Et de préciser que cette approche dissiperait les différends qui opposent le parti conduisant la majorité gouvernementale et l’Association Al adl wal ihssane. «Les canaux de communication entre le PJD et l’AWI ont toujours été fonctionnels, en dépit des désaccords apparents. Pour preuve, une bonne partie des voix en faveur du PJD provient des fidèles de l’AWI», a encore affirmé Mostapha Manar.
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