La Tunisie encourt le risque de perdre sa souveraineté et son indépendance au profit d'une dictature qui s'installe via un terrorisme instrumentalisé et manipulé par un conciliabule d'affairistes qui continuent d'avoir droit de cité.
Une forme de dictature, non prononcée: la dictature de la terreur et de l'argent sale.
La prison: une machine à fabriquer des miliciens
Nombre de délinquants ont versé dans le radicalisme et le prosélytisme religieux: La case prison en est souvent la cause principale.
A ce propos, la question suivante s'impose: Les fanatiques religieux incarcérés sont-ils mis à l'écart des détenus de droit commun?
Cette question est d'autant plus pertinente lorsqu'on sait que plusieurs délinquants, ont été radicalisés lors de leurs séjours dans les geôles.
L'auteur de la tuerie de Bruxelles, ne s'est-il pas radicalisé lors de sa détention dans une prison française.
Ironiquement, à l'occasion de chaque fête nationale, sur recommandation du ministère de la Justice, des centaines de prisonniers sont élargis par le président, parmi eux plusieurs ont été déjà enrégimentés.
Certains partaient en Syrie ou en Libye pour rejoindre les rangs de l'EI (État Islamique), d'autres restaient en Tunisie et sont recrutés pour former des milices armées prêtes à sévir et à semer la terreur.
Des milices qui agissent sous les ordres de quelques affairistes à des fins politiques et économiques.
Dernièrement, un membre d'une cellule terroriste démantelée dans la région du Sahel tunisien, affirme agir sous les ordres d'un homme d'affaire!
Des actes criminels plutôt que du terrorisme idéologique
Les experts s'accordent tous que nul ne devient terroriste du jour au lendemain. L'embrigadement idéologique est parfois un long processus.
C'est pour dire que les terroristes tunisiens ne sont en fait que des terroristes de circonstances: Des milices entretenues par des affairistes véreux et prêts à frapper sur commande.
Les médias de la place, font étal d'arrestations quasi-quotidiennes de prétendus terroristes et de démantèlement de leurs cellules.
Cependant, la plupart des suspects tombés dans les filets des forces de l'ordre, disparaissent comme par enchantement dans la nature, sans suite quant à leur devenir. Il y a bien anguille sous roche!
Ces djihadistes tunisiens qui rentrent de Syrie et de Libye
Depuis l'éclatement, en 2011, de la guerre civile en Syrie, ce pays à acquis le très sinistre statut d'incubateur du terrorisme international.
Plus de 2.000 combattants tunisiens sont partis guerroyer en Syrie: 800 parmi eux sont dans la voisine Libye.
Éventuellement, de retour en Tunisie, ils pourraient offrir leurs services à qui daigne bien les payer.
La justice tunisienne pourrait les poursuivre pour les actes criminels et barbares qu'ils avaient commis et les condamner...dira-t-on!
Mais que nenni, pour ce faire il faut d'abord les identifier pour pouvoir les appréhender et avoir des preuves: Chose pratiquement impossible!
Et d'ajouter que dans un État de droit, à défaut de les arrêter massivement à l'heure du laitier, il est impossible de les surveiller heure par heure.
Après les revers militaires qu'a encaissés l'EI ces derniers mois, 600 combattants tunisiens en Libye, relookés, se préparent à rentrer en Tunisie avec de fausses identités: Une nouvelle qui fait déjà froid au dos.
Pour l'heure, il est capital de canaliser l'élan populaire dans le sens de l'éradication du terrorisme instrumentalisé politiquement et économiquement...c'est la seule planche de salut de la Tunisie.
HUFFPOST
Une forme de dictature, non prononcée: la dictature de la terreur et de l'argent sale.
La prison: une machine à fabriquer des miliciens
Nombre de délinquants ont versé dans le radicalisme et le prosélytisme religieux: La case prison en est souvent la cause principale.
A ce propos, la question suivante s'impose: Les fanatiques religieux incarcérés sont-ils mis à l'écart des détenus de droit commun?
Cette question est d'autant plus pertinente lorsqu'on sait que plusieurs délinquants, ont été radicalisés lors de leurs séjours dans les geôles.
L'auteur de la tuerie de Bruxelles, ne s'est-il pas radicalisé lors de sa détention dans une prison française.
Ironiquement, à l'occasion de chaque fête nationale, sur recommandation du ministère de la Justice, des centaines de prisonniers sont élargis par le président, parmi eux plusieurs ont été déjà enrégimentés.
Certains partaient en Syrie ou en Libye pour rejoindre les rangs de l'EI (État Islamique), d'autres restaient en Tunisie et sont recrutés pour former des milices armées prêtes à sévir et à semer la terreur.
Des milices qui agissent sous les ordres de quelques affairistes à des fins politiques et économiques.
Dernièrement, un membre d'une cellule terroriste démantelée dans la région du Sahel tunisien, affirme agir sous les ordres d'un homme d'affaire!
Des actes criminels plutôt que du terrorisme idéologique
Les experts s'accordent tous que nul ne devient terroriste du jour au lendemain. L'embrigadement idéologique est parfois un long processus.
C'est pour dire que les terroristes tunisiens ne sont en fait que des terroristes de circonstances: Des milices entretenues par des affairistes véreux et prêts à frapper sur commande.
Les médias de la place, font étal d'arrestations quasi-quotidiennes de prétendus terroristes et de démantèlement de leurs cellules.
Cependant, la plupart des suspects tombés dans les filets des forces de l'ordre, disparaissent comme par enchantement dans la nature, sans suite quant à leur devenir. Il y a bien anguille sous roche!
Ces djihadistes tunisiens qui rentrent de Syrie et de Libye
Depuis l'éclatement, en 2011, de la guerre civile en Syrie, ce pays à acquis le très sinistre statut d'incubateur du terrorisme international.
Plus de 2.000 combattants tunisiens sont partis guerroyer en Syrie: 800 parmi eux sont dans la voisine Libye.
Éventuellement, de retour en Tunisie, ils pourraient offrir leurs services à qui daigne bien les payer.
La justice tunisienne pourrait les poursuivre pour les actes criminels et barbares qu'ils avaient commis et les condamner...dira-t-on!
Mais que nenni, pour ce faire il faut d'abord les identifier pour pouvoir les appréhender et avoir des preuves: Chose pratiquement impossible!
Et d'ajouter que dans un État de droit, à défaut de les arrêter massivement à l'heure du laitier, il est impossible de les surveiller heure par heure.
Après les revers militaires qu'a encaissés l'EI ces derniers mois, 600 combattants tunisiens en Libye, relookés, se préparent à rentrer en Tunisie avec de fausses identités: Une nouvelle qui fait déjà froid au dos.
Pour l'heure, il est capital de canaliser l'élan populaire dans le sens de l'éradication du terrorisme instrumentalisé politiquement et économiquement...c'est la seule planche de salut de la Tunisie.
HUFFPOST
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