Presque une dizaine de jeunes originaires du Sahara auraient investi le siège du Conseil royal des affaires sahariennes (CORCAS) à Rabat, avance un média à Laâyoune. Ce dernier indique qu'ils protestent contre « leur mise à l’écart », selon eux, de la liste des bénéficiaires de la dernière opération d’emploi menée par Phosboucraâ, filiale de l'Office chérifien des phosphates (OCP), à Laâyoune. Lancée cet été, celle-ci a permis dans un premier temps le recrutement de 500 jeunes Sahraouis. Le groupe a promis de doubler ce chiffre dans les prochains mois pour atteindre 1 200 emplois.
Sauf que cette promesse n’est pas du goût de certains milieux au Sahara. Ils se sont d’ailleurs constitués dans un cadre appelé la « Coordination Phosboucraâ des victimes du retrait espagnol ». Leur dernière réunion remonte au samedi 26 novembre, suivie par des entretiens avec une délégation de journalistes américains appartenant à l’ONG « Démocracy now » qui se trouvait à Laâyoune.
(CORCAS) à Rabat, avance un média à Laâyoune. Ce dernier indique qu'ils protestent contre « leur mise à l’écart », selon eux, de la liste des bénéficiaires de la dernière opération d’emploi menée par Phosboucraâ, filiale de l'Office chérifien des phosphates (OCP), à Laâyoune. Lancée cet été, celle-ci a permis dans un premier temps le recrutement de 500 jeunes Sahraouis. Le groupe a promis de doubler ce chiffre dans les prochains mois pour atteindre 1 200 emplois.
Sauf que cette promesse n’est pas du goût de certains milieux au Sahara. Ils se sont d’ailleurs constitués dans un cadre appelé la « Coordination Phosboucraâ des victimes du retrait espagnol ». Leur dernière réunion remonte au samedi 26 novembre, suivie par des entretiens avec une délégation de journalistes américains appartenant à l’ONG « Démocracy now » qui se trouvait à Laâyoune.
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Sauf que cette promesse n’est pas du goût de certains milieux au Sahara. Ils se sont d’ailleurs constitués dans un cadre appelé la « Coordination Phosboucraâ des victimes du retrait espagnol ». Leur dernière réunion remonte au samedi 26 novembre, suivie par des entretiens avec une délégation de journalistes américains appartenant à l’ONG « Démocracy now » qui se trouvait à Laâyoune.
(CORCAS) à Rabat, avance un média à Laâyoune. Ce dernier indique qu'ils protestent contre « leur mise à l’écart », selon eux, de la liste des bénéficiaires de la dernière opération d’emploi menée par Phosboucraâ, filiale de l'Office chérifien des phosphates (OCP), à Laâyoune. Lancée cet été, celle-ci a permis dans un premier temps le recrutement de 500 jeunes Sahraouis. Le groupe a promis de doubler ce chiffre dans les prochains mois pour atteindre 1 200 emplois.
Sauf que cette promesse n’est pas du goût de certains milieux au Sahara. Ils se sont d’ailleurs constitués dans un cadre appelé la « Coordination Phosboucraâ des victimes du retrait espagnol ». Leur dernière réunion remonte au samedi 26 novembre, suivie par des entretiens avec une délégation de journalistes américains appartenant à l’ONG « Démocracy now » qui se trouvait à Laâyoune.
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