Certainement que oui puisque même le ministre de la justice marocaine est polygame (un comble!).
- Casablanca: l'une des épouses de Ramid se fait dérober son téléphone
Kiosque360. L'une des épouses de Mustapha Ramid a récemment été victime d'un vol, à Casablanca. Les détails.
L'une des épouses du ministre de la justice, Mustapha Ramid, s'est récemment fait voler son téléphone portable à Casablanca, rapporte Assabah dans son édition du mardi 31 janvier.
Le quotidien arabophone précise que les faits sont survenus samedi 28 janvier, alors que la femme se promenait à bord de sa voiture dans le quartier Hay Idrissia, près de Marjane. C'est là qu'un homme, qui semblait s'efforcer de lui signaler un problème au niveau de son véhicule, lui a demandé de baisser la vitre.
Mais à peine la femme de Mustapha Ramid s’était-elle exécutée que le malfrat lui arrachait son téléphone portable et prenait la poudre d’escampette.
La bonne nouvelle, c’est que l’appareil a été localisé le jour même par la police, ce qui a permis d’identifier la personne qui le détenait. Seulement, lorsque cette dernière a été interpellée par la police, elle a affirmé avoir acheté le téléphone en question chez un individu qui l’avait mis en vente.
- Casablanca: l'une des épouses de Ramid se fait dérober son téléphone
Kiosque360. L'une des épouses de Mustapha Ramid a récemment été victime d'un vol, à Casablanca. Les détails.
L'une des épouses du ministre de la justice, Mustapha Ramid, s'est récemment fait voler son téléphone portable à Casablanca, rapporte Assabah dans son édition du mardi 31 janvier.
Le quotidien arabophone précise que les faits sont survenus samedi 28 janvier, alors que la femme se promenait à bord de sa voiture dans le quartier Hay Idrissia, près de Marjane. C'est là qu'un homme, qui semblait s'efforcer de lui signaler un problème au niveau de son véhicule, lui a demandé de baisser la vitre.
Mais à peine la femme de Mustapha Ramid s’était-elle exécutée que le malfrat lui arrachait son téléphone portable et prenait la poudre d’escampette.
La bonne nouvelle, c’est que l’appareil a été localisé le jour même par la police, ce qui a permis d’identifier la personne qui le détenait. Seulement, lorsque cette dernière a été interpellée par la police, elle a affirmé avoir acheté le téléphone en question chez un individu qui l’avait mis en vente.
Commentaire