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Exclusif : les documents présentés par les adversaires du Maroc pour contrer son retour à l’UA
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Envoyé par AnnabiTiens un membre de la cellule de propagande avait insinué que le Nigeria avait lâché l’Algérie
Le mémorandum émanant du Bureau du conseiller juridique de la Commission de l’UA et qui cite ces deux pays n'est pas signé comme il devrait l'être par le conseiller juridique de ce Bureau. Mais sachant que ce bureau a pour présidente la Zuma, on devine facilement qui est derrière ce document. Les pays cités dans ce document l'ont été sans leur accord.
Si l'on croit ce qui se dit dans les coulisses, trois pays sont derrière ce document "anonyme": l'Algerie, l'Afrique du sud et l'Angola.Dernière modification par hakimcasa, 05 février 2017, 19h34.
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: les documents présentés par les adversaires du Maroc pour contrer son retour à l’UA
leurs fiasco retentissants les a obligés a mettre la clés sous la porte.
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le brave peuple sahraoui
Claude Mangin privée de visite pour son mari Naama Asfari
Mme Claude Mangin, qui tentait rendre visite à son époux, le prisonnier politique sahraoui, Naama Asfari est bloquée depuis dimanche par les autorités marocaines à l’aéroport de Casablanca. Venue rendre visite à son mari, cette française professeure d’histoire-géographie avait déjà été expulsée arbitrairement en octobre dernier.
" Je suis déterminée à rester à l’aéroport jusqu’à récupération de mon droit de visite. À l’heure où ils (les responsables marocains) organisent un procès " transparent", ils doivent prendre leurs responsabilités", a déclaré Claude Mangin depuis l’aéroport de Casablanca.
Ennaâma Asfari, arrêté dans le cadre du démantèlement du camp de Gdeim Izik en 2010, a porté plainte pour torture auprès de la justice française et du Comité de l’ONU contre la torture, qui a condamné le Maroc dans cette affaire.
Après de nombreuses grèves de la faim, Ennaâma Asfari et vingt codétenus ont vu leurs conditions de détention se durcir. Le 27 juillet dernier, la cour de cassation a annulé la condamnation du tribunal militaire à l’encontre de ces militants. Un procès en appel s’est ouvert le 25 décembre dernier. Plusieurs fois reporté, il doit se poursuivre le 13 mars prochain.
Que son épouse française et ses avocats puissent lui rendre visite est un droit élémentaire d’Ennaâma Asfari, encore une fois bafoué par les autorités marocaines, rappelle-t-on.
RESPECT et ADMIRATION.
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