Tsa
Le ministère des Affaires étrangères est visiblement agacé par les écrits de la presse algérienne qui reprennent des rapports étrangers négatifs sur la situation en Algérie.
« Des titres de la presse nationale font écho, parfois de manière sensationnelle, à des propos attribués à des personnes connues ou même anonymes, ainsi qu’à des études prétendument académiques et autres matières médiatiques, pour amplifier des appréciations spéculatives et tendancieuses sur la situation en Algérie et ses perspectives », écrit ce mardi le ministère dans un communiqué.
« Qu’elles soient sourcées en France, aux États-Unis ou dans tout autre pays, et qu’elles se prévalent de scientificité ou s’apparentent à la cartomancie, les manifestations de subjectivité et les stéréotypes qui sont surabondamment véhiculés et fréquemment recyclés pour déformer les réalités actuelles et les perspectives de l’Algérie, ne résistent pas à une analyse élémentaire prenant en compte l’Histoire héroïque du peuple algérien et son attachement indéfectible à son indépendance et à la non-ingérence dans ses affaires intérieures », soutient le MAE dans une allusion, à peine voilée, aux récents rapports notamment celui de Freedom House et de la mission parlementaire française largement diffusés par la presse algérienne. Le MAE ne cite pas les titres concernés par sa critique.
| LIRE AUSSI : L’Algérie « n’est pas un pays libre », selon Freedom House
Louisa Hanoune s’était interrogé sur le silence officiel au lendemain de la publication du rapport de la mission parlementaire française qu’elle a qualifié « d’agression violente ».
| LIRE AUSSI : Rapport des parlementaires français : Louisa Hanoune s’interroge sur le « silence lourd » des autorités
« Lesdites expressions publiques d’opinions étrangères n’acquièrent évidemment pas d’autorité particulière ni en tant que telles, ni du fait du pays ou de l’institution avec qui elles s’emploient à paraître associées, ni encore moins en fonction du niveau de déni des caractéristiques positivement distinctives de l’Algérie en termes tant de réalisations nationales incontestables que de contributions bien établies à la paix et à la sécurité internationales », souligne le communiqué du MAE diffusé via l’agence officielle.
Pour le MAE cette « médisance » n’a pas de prise sur l’Algérie. « Dans un monde chargé de contraintes et d’incertitudes face aux défis globaux et régionaux auxquels l’Humanité est confrontée, des pays comme l’Algérie qui ont triomphé de l’éclipse coloniale et défait le terrorisme, constituent une valeur sûre sur laquelle la médisance n’a pas de prise », conclut le texte
Le ministère des Affaires étrangères est visiblement agacé par les écrits de la presse algérienne qui reprennent des rapports étrangers négatifs sur la situation en Algérie.
« Des titres de la presse nationale font écho, parfois de manière sensationnelle, à des propos attribués à des personnes connues ou même anonymes, ainsi qu’à des études prétendument académiques et autres matières médiatiques, pour amplifier des appréciations spéculatives et tendancieuses sur la situation en Algérie et ses perspectives », écrit ce mardi le ministère dans un communiqué.
« Qu’elles soient sourcées en France, aux États-Unis ou dans tout autre pays, et qu’elles se prévalent de scientificité ou s’apparentent à la cartomancie, les manifestations de subjectivité et les stéréotypes qui sont surabondamment véhiculés et fréquemment recyclés pour déformer les réalités actuelles et les perspectives de l’Algérie, ne résistent pas à une analyse élémentaire prenant en compte l’Histoire héroïque du peuple algérien et son attachement indéfectible à son indépendance et à la non-ingérence dans ses affaires intérieures », soutient le MAE dans une allusion, à peine voilée, aux récents rapports notamment celui de Freedom House et de la mission parlementaire française largement diffusés par la presse algérienne. Le MAE ne cite pas les titres concernés par sa critique.
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Louisa Hanoune s’était interrogé sur le silence officiel au lendemain de la publication du rapport de la mission parlementaire française qu’elle a qualifié « d’agression violente ».
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« Lesdites expressions publiques d’opinions étrangères n’acquièrent évidemment pas d’autorité particulière ni en tant que telles, ni du fait du pays ou de l’institution avec qui elles s’emploient à paraître associées, ni encore moins en fonction du niveau de déni des caractéristiques positivement distinctives de l’Algérie en termes tant de réalisations nationales incontestables que de contributions bien établies à la paix et à la sécurité internationales », souligne le communiqué du MAE diffusé via l’agence officielle.
Pour le MAE cette « médisance » n’a pas de prise sur l’Algérie. « Dans un monde chargé de contraintes et d’incertitudes face aux défis globaux et régionaux auxquels l’Humanité est confrontée, des pays comme l’Algérie qui ont triomphé de l’éclipse coloniale et défait le terrorisme, constituent une valeur sûre sur laquelle la médisance n’a pas de prise », conclut le texte
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