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  • #76
    frederic,

    oui je trouve ahurissant qu'il prenne les usa en exp alors que c le genre de pratique qui apporte un + qd l'assiette fiscale reste modérée et compétitive. or, dans le cas de la france, les gens ont plutôt tendance à parler de plafond fiscal !

    qu'il fasse des économies sur le second porte-avion qu'il appelle de ses voeux !

    ps : on a tous compris que l'impôt universel va agresser aussi les immigrés !

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    • #77
      Envoyé par tawenza
      qu'il [Mélanchon] fasse des économies sur le second porte-avion qu'il appelle de ses voeux !

      C'est la deuxième fois que tu reviens là dessus . C'est étrange j'en ai jamais entendu parler!
      Prend l'habitude de donner des sources !

      Par contre:
      Marine Le Pen commandera un 2e porte-avions si elle est présidente
      http://www.lepoint.fr/politique/mari...2092154_20.php

      Tu es sur que tu ne tu mélanges pas tous? ( au cas où , j'accepte tes accuses par avance...Merci!)

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      • #78
        @Frédéric: " Le Front national manque cruellement de cadres et de gens compétents ...C'est du vent et si il n'avait pas son utilité ...."

        Effectivement. Malheureusement le risque est grand quand on assiste au "vent" du populisme en vogue actuellement (Brexit, Trump, etc).

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        • #79
          Envoyé par tawenza
          ps : on a tous compris que l'impôt universel va agresser aussi les immigrés !
          Tous? toi et qui?
          Moi j'ai pas compris alors tu va m'expliquer .

          Envoyé par Mélanchon
          « Si je suis élu, l’impôt sera perçu sur la base de la nationalité du cotisant quand il n’est plus en France, c’est-à-dire qu’il sera universel »
          Les citoyens français « devront déclarer partout dans le monde ce qu’ils paient comme impôt à la nation qui les accueille. Il est bien normal qu’ils en paient là où ils se trouvent, car nous pratiquons de même chez nous, mais ils devront déclarer ce montant au fisc, et celui-ci regardera si, après avoir payé cette somme, en France, ils ne devraient pas encore d’argent »,
          L'impôt universel vise clairement à lutter contre l'optimisation fiscale
          Tout aussi clairement cela ne concerne que les personnes de nationalité Française!

          Tu est de nationalité Française et tu te domicilies en Belgique ou en Suisse pour payer moins d’impôts, Tu devras déclarer combien d’impôts tu as payé en Belgique ou en Suisse. Si pour les même revenus tu aurais du payer 1000 euro de plus en France , et bien tu dois ces milles euro au fisc Français . Après libre à ce contribuable de demander la nationalité Belge ou Suisse...
          En quoi cela concerne les immigrés vivants en France? Il payent leurs impôts en France point barre.

          Tawenza tu vas sans doute m'expliquer ce que je n'ai pas compris ( A moins que tu es encore confondu avec ta blonde qui veut surtaxer ceux qui emploi des personnes de nationalité étrangère en France ...?)
          Dernière modification par Frédéric, 13 février 2017, 19h27.

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          • #80
            Envoyé par rago
            " Le Front national manque cruellement de cadres et de gens compétents ...C'est du vent et si il n'avait pas son utilité ...."

            Effectivement. Malheureusement le risque est grand quand on assiste au "vent" du populisme en vogue actuellement (Brexit, Trump, etc).
            Bonjour rago
            Alors on fait quoi? On vote Macron ? Comme on a voté Hollande pas parce que qu'on pensait qu'il allait changer quelque chose , mais parce qu'on a peur de la blonde à Tawenza et qu'on se dit c'est la meilleur chance pour y couper?
            Comme dit Mélanchon : "le moindre mal c'est encore le mal " ...Votez selon vos convictions , ou ne votez pas , mais arrêtez de vous laisser manipuler.
            Le prétexte du populisme , c'est aussi la bonne excuse pour mépriser le peuple...C'est un peu comme: La démocratie c'est pas fait pour les arabes, c'est des dictateurs qu'ils leur faut...Au point que même des arabes l'on intégré et te disent cela.

            En 2002 je me suis abstenu au deuxième tour et j'en suis fier...Cette campagne hystérique avait un petit gout de "salaud de pauvres qui votent FN" ...Chirac et passé avec 80% de voix et qu'est-ce qu'ils ont fait? Rien ! Leur job était sauvé, ils pouvaient continuer d'aller manger ensemble au club Le Siécle
            Les électeurs du Front national il faut aller les chercher , pas en allant sur leurs valeur de la France moisie, mais en les ramenant à nos valeurs de progrès ...C'est ce que fait Mélanchon et la France Insoumise !
            Et ne pas oublier que le premier parti des ouvriers et des salariers , c'est pas le FN , c'est l'abstention , à 60% .

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            • #81
              Frédéric,

              Je te lisais depuis le départ et j'ai remarqué que tu écris Mélanchon au lieu de Mélenchon...En étant fervent défenseur de la France insoumise et par respect à Jean-Luc, tu devrais au moins bien orthographier son nom.

              Je me suis juré de ne plus faire ce genre de remarques sauf avec certains.

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              • #82
                Salam Boubitis
                Oui tu as raison , j'ai un probléme avec ce nom propre! Il faut que je fasse plus attention!
                Ceci dit Mélenchon n'est que le porte parole de la France Insoumise.
                Je vais finir par ouvrir un sujet car entre boycott médiatique et désinformation il y a une sacrée injustice!
                Dernière modification par Frédéric, 14 février 2017, 17h36.

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                • #83
                  Mais revenons à Macron:

                  il existe un indicateur fiable et objectif pour identifier les bulles médiatiques. D’un côté, l’on mesure les « parts de voix » du candidat dans les médias mainstream, c’est-à-dire le taux d’articles qui citent son nom dans le titre. De l’autre, l’on mesure ses parts de voix sur les grands réseaux sociaux, c’est-à-dire le taux de contenus émis par les gens au sujet du candidat. Si le taux dans les médias est significativement supérieur au taux sur les réseaux sociaux, cela signifie que les médias s’intéressent beaucoup à un candidat alors que sa campagne prend beaucoup moins dans la population : c’est donc une bulle médiatique.

                  A l’aide de données analysées via Talkwalker par Véronique Reille Soult, directrice générale de Dentsu Consulting, il apparaît alors qu’en 2016, le phénomène Macron était indiscutablement une énorme bulle médiatique. Du 1er avril au 31 septembre 2016, il avait en effet 43% de parts de voix dans les médias contre 17% sur les réseaux sociaux. Puisque l’écart dépasse même le passage du simple au double, et puisque le taux dans les médias est proche de la majorité absolue, l’on peut raisonnablement qualifier cette situation de matraquage médiatique pour « vendre » la marque Macron à l’électorat.



                  Question déontologique pour conclure :
                  jusqu’où les médias mainstream peuvent-ils aller dans le matraquage pour surexposer un candidat et le faire ainsi bénéficier de la dynamique artificiellement fabriquée par l’effet de simple exposition ? D’un côté, tout média d’information a une ligne éditoriale, donc un positionnement idéologique, ce qui est normal et sain pour une démocratie pluraliste. Il s’ensuit qu’il est également normal qu’un grand média soutienne tel ou tel candidat à la présidentielle, en application de sa ligne éditoriale. De l’autre côté, en l’état actuel de concentration du paysage médiatique, s’il résulte du positionnement des uns et des autres une surexposition de tel candidat, comme le cas d’école Macron en 2016, le paysage médiatique devient une machine à piper les dés du jeu démocratique au lieu d’être gardien d’un pluralisme équitable envers les candidats.
                  Source et article complet: http://www.marianne.net/agora-oui-ph...100249902.html
                  Dernière modification par Frédéric, 14 février 2017, 17h50.

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                  • #84
                    Sur la page officielle du site de son mouvement En marche !, il résume son CV en quatre lignes. Le parcours classique du politicien français : « J’ai fait l’ENA, je suis Inspecteur des Finances, j’ai travaillé dans une banque d’affaires, puis pour François Hollande durant la campagne présidentielle de 2012 et j’ai été à son service durant plus de deux années comme Secrétaire général adjoint de l’Elysée. J’ai été Ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique, avec passion, jusqu’à la fin du mois d’août 2016 ».
                    Pourtant, adolescent, les ambitions du jeune Emmanuel sont très loin de la politique. Il se rêve écrivain. « J’en suis alors convaincu. C’est mon unique vocation » confiait-il, il y a quelques jours, dans une interview accordée à l’hebdomadaire français L’Obs. En septembre 1995, tout juste bachelier, le jeune homme originaire d’Amiens intègre le prestigieux lycée Henri IV à Paris, en classe préparatoire littéraire. Objectif : réussir le concours de l’École normale supérieure (ENS), Graal dans l’enseignement et machine à élites où l’on forme chercheurs et professeurs. Mais il échoue. Deux fois. Le jeune Macron laisse toutefois un souvenir ému à ses professeurs et camarades de l’époque. « Il avait de la prestance, un air de romantique allemand », racontait l’un d’eux au Parisien Magazine en janvier 2015.
                    D’autres repèrent ce qui faisait déjà la force de l’homme : « Il avait un côté caméléon très frappant », « Il savait adapter son discours à son interlocuteur et s’entendre avec des élèves aux origines et aux personnalités différentes », détaillaient deux autres camarades au journal alors que Macron n’était encore « que » ministre de l’Économie. En réalité, à cette époque, le jeune homme tourne en rond. « Très vite, j’ai étouffé », détaillait-il, il y a quelques jours à l’Obs. « Comme je suis d’une famille de médecins et comme je ne voulais pas faire médecine, je me suis orienté, par conformisme, vers les classes préparatoires à Normale ».
                    L’ENA « un peu par hasard »

                    Le chapitre Henri IV se termine sur une fausse note mais Macron ouvre une autre page. Il réussit le concours de Sciences Po et rejoint en parallèle les bancs de l’Université de Nanterre pour suivre un DEA (équivalent du master 2) de philosophie politique. Il travaille sur Hegel et Machiavel. De ce dernier, il a certainement retenu l’enseignement majeur : la prudence, car l’action politique nécessite de s’adapter aux circonstances.
                    De cette période, il dit aussi qu’une rencontre va être déterminante : celle de Paul Ricœur, philosophe, décédé depuis, qui l’engage pour s’occuper du travail de secrétariat et d’archivage. « En travaillant avec Paul Ricœur, j’ai eu le temps de beaucoup réfléchir à sa vie et je n’ai pas eu envie d’avoir la même que lui. Il me manquait dans ce quotidien universitaire une forme d’action, de participation à la chose publique, d’interaction avec les décideurs, de vie trépidante », confiait-il en avril 2010 au magazine de l’association des étudiants de Sciences Po –dont le PDF circule encore sur internet– qui réalise alors une interview de l’ancien élève. Bref, le monde de la recherche, cantonné à sa position d’observateur et souvent ignoré des politiques, ne correspond pas à Macron.
                    Six mois au Nigéria

                    À la philosophie succède, en 2002, l’École nationale d’administration (ENA), promotion Léopold Sédar Senghor. Deux ans plus tard, en mars 2004, Emmanuel Macron, 26 ans, fait partie de « la Botte » (les 15 premiers) dans le classement final de l’école. Et rejoint la prestigieuse Inspection générale des Finances. Quand il évoque sa scolarité au sein de l’école des hauts-fonctionnaires, il cultive une certaine distance, précisant qu’il a choisi l’ENA « un peu par hasard » : « La scolarité à l’ENA a été très agréable. Je l’ai fait avec naïveté et appétit car je n’en avais pas toujours rêvé et n’avais pas une idée très précise de l’endroit où je voulais arriver », détaille-t-il à la publication étudiante de Sciences Po.



                    Pour lui, pas question de faire comme tout le monde. Quand ses petits camarades ne rêvent que de prestige, lui opte pour l’aventure. Bien loin des cabinets ministériels. « Je ne voulais absolument pas aller à Bruxelles ou à Washington comme tout le monde. J’ai donc demandé au directeur des stages de m’envoyer dans un pays très lointain. Je me suis retrouvé six mois au Nigeria ». Quand il accorde cette interview au journal de l’école de Sciences Po, Macron, 32 ans, a déjà quitté l’Inspection générale des Finances pour rejoindre les rangs de la banque, Rothschild, en septembre 2008, en qualité de banquier d’affaires. À l’époque, il assume de gagner beaucoup d’argent et se dit heureux de son métier.
                    Patron de Bercy à 36 ans, candidat à la présidentielle à 39

                    Deux ans plus tard, en mai 2012, il devient secrétaire général adjoint de l’Elysée. Pourtant, Macron est loin d’être un produit du Parti socialiste comme ses aînés (Valls ou Hamon par exemple). Certes, il a bien eu sa carte d’adhérent au parti pendant quelques années, mais c’est par l’entremise de personnalités clés du monde politique qu’il va rejoindre le château.
                    D’abord par Jean-Pierre Jouyet (actuel secrétaire général de l’Elysée), fidèle ami du président depuis leurs vingt-ans : quand Macron intègre l’Inspection générale des Finances en 2004, Jean-Pierre Jouyet devient le patron des lieux en 2005 et repère le jeune homme. Puis par Jacques Attali.
                    En août 2007, l’économiste est chargé par Nicolas Sarkozy de fournir un rapport sur les conditions de libération de la croissance française. Il cherche, dit-il, de jeunes énarques talentueux à l’Inspection des finances. Il nomme Emmanuel Macron rapporteur adjoint de la Commission. Puis en 2010, il présente le jeune homme à François Hollande. On connaît la suite.
                    Le 26 août 2014, Emmanuel Macron devient ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique, en remplacement d’Arnaud Montebourg. Sa nomination est immédiatement contestée : au PS, elle fait grincer des dents. La droite, elle, ironise sur la présence d’un ex-banquier d’affaires à l’Elysée alors que le candidat Hollande s’égosillait en janvier 2012 assurant que son « ennemi, c’est la finance ». Un an plus tard, alors qu’il souffle tout juste sa première bougie à Bercy, il est pressenti pour remplacer le ministre du Travail démissionnaire, François Rebsamen. Puis finalement pas.
                    Dès octobre 2015, la presse s’interroge sur les ambitions du jeune ministre. Dans une réunion publique, un économiste qui murmure à l’oreille des politiques ne cache pas sa sympathie pour Macron. Devant son auditoire, il raconte une conversation privée avec le jeune ministre. Les deux hommes plaisantent, plus ou moins, sur l’éventualité d’une candidature en 2022. L’économiste lui conseille tout de même de ne pas attendre trop longtemps. Celui qui n’est encore que ministre de l’Économie lui aurait alors répondu : « Tu veux que j’aille plus vite ? ».


                    tsa

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                    • #85
                      au diner du crif.. le regard de sa meuffff

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                      • #86
                        Finalement ... Ce sujet est toujours d'actualité ...

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                        • #87
                          Quouqu'il en soit je préfère voter pour lui que pour la vipère haineuse!
                          Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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                          • #88
                            qui est E Macron.. ..on le saura demain soir ..il est bien parti pour

                            Commentaire


                            • #89
                              Laissons lui le temps d'arriver et ensuite de faire un groupe présidentiel à l'assemblé!
                              Ensuite la tâche est lourde car il doit faire des réformes indispensables qui ne plairont pas à tous!
                              Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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