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Espagne: 200 000 "Marocains" optent à la nationalité du colon.

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  • #16
    Toujours à ragoter !!

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    • #17
      @btp50: " Aurais tu une solution à proposer ?"

      Pourquoi les FAR avaient-elles envahi, en 2002, l'îlot à chèvres de Persil?

      Pourquoi ce rocher à chèvres et non les présides? Par manque de Nif?

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      • #18
        A vrai dire je n'en sais fichtre rien, mais voilà ce que j'ai trouvé sur wiki.

        Le Maroc a affirmé que ses troupes étaient là pour mettre en place un avant-poste d'observation qui permettrait de surveiller l'immigration clandestine et de lutter contre le trafic de drogue qui utilise l'île comme une plate-forme logistique. L'Espagne a rejeté la déclaration marocaine et le ministère espagnol des Affaires étrangères a affirmé que les Marocains avaient planté deux drapeaux sur l'île.

        Pourquoi ce rocher à chèvres et non les présides? Par manque de Nif?
        Tu exagère, l'OTAN déploie des commandos, hélicoptère la marine et tout le tintouin contre 6 cadets marocains, et toi tu veux qu'ils déploient leur Nif !? Que veux tu que le Nif fasse contre toute une armada ?

        Si toutefois tu estime que c'est faux, je serais ravi de lire tes impressions.

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        • #19
          @btp50: " Le Maroc a affirmé que ses troupes étaient là pour mettre en place un avant-poste d'observation qui permettrait de surveiller l'immigration clandestine et de lutter contre le trafic de drogue qui utilise l'île comme une plate-forme logistique. L'Espagne a rejeté la déclaration marocaine et le ministère espagnol des Affaires étrangères a affirmé que les Marocains avaient planté deux drapeaux sur l'île."

          Soyons crédibles! Lors de l'agression par les FAR du rocher à chèvres espagnol de Persil, le Président américain Busch fut hôte du mariage du diffus M6.

          Aussi donc, bourré comme une olive (ce qui est vrai!) lors de des festivités de son union conjugale, le monarque M6 avait voulu tester la réaction américaine au cas où le Maroc provoquerait l'Espagne quant à une tentative d'affranchir les présides de Ceuta et Mellila (au demeurant légitime).

          (à suivre).

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          • #20
            (Suite).

            Dès jeudi soir, un bâtiment de la marine espagnole et une vedette de la guardia civil se sont approchés de l’îlot pour réclamer, en vain, le départ des militaires marocains.

            Sur le plan politique, le gouvernement de José Maria Aznar, dont les rapports avec les autorités marocaines sont tendus depuis plusieurs mois, a violemment condamné, vendredi matin, la présence de l’armée marocaine sur l’île du Persil et a exigé de Rabat de «prendre les mesures nécessaires pour un retour à la normale».

            Pour Madrid en effet, cette situation représente «une modification du statu quo actuel et ne correspond pas à la volonté de maintenir des relations amicales dans un esprit de coopération et de respect mutuel». Le nouveau chef de la diplomatie espagnole, Ana de Palacio, a par ailleurs vivement rejeté l’argument de Rabat sur la présence de soldats marocains sur l’île du Persil. «Qu’on m’explique en quoi la lutte anti-terroriste et anti-émigration clandestine a à voir avec l’installation d’une tente, d’un drapeau et de quelques membres de l’armée sur cet îlot», s’est-elle insurgée. Elle n’a d’ailleurs pas hésité à qualifier la situation d’«incident sérieux».

            Cette position espagnole est largement partagée par la Commission européenne pour qui la présence de militaires marocains sur l’île du Persil est une «violation de l’intégrité territoriale espagnole». Bruxelles estime en effet qu’il s’agit d’une «question de souveraineté avant toute chose» et affirme que le problème a atteint «un stade délicat». Mais si elle a condamné l’initiative marocaine, Bruxelles s’est en revanche bien gardée de s’impliquer directement dans un différend qu’elle considère comme bilatéral.

            «C’est clairement un incident regrettable, a ainsi déclaré un porte-parole de la Commission européenne, mais il doit être réglé bilatéralement entre Rabat et Madrid». Le Maroc, malgré les appels de Madrid à «un retour à la normale», a affirmé qu’il ne retirerait pas ses militaires de l’île du Persil.

            Rabat estime, en effet, que cet îlot a été libéré en 1956, à l’occasion de la fin du protectorat espagnol sur le nord du pays.

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            • #21
              @btp50: " Rabat estime, en effet, que cet îlot a été libéré en 1956, à l’occasion de la fin du protectorat espagnol sur le nord du pays."

              Ce qui est absolument erroné. Notons que suite à cette débâcle des FAR (qui ont perdu toutes les guerres), la presse marocaine s'attaque, par dérision, à l'Algérie de fait que celle-ci ait appelé à une résolution internationale quant à l'agression insensée des FAR du rocher à chèvres de Persil ibérique.

              En l'espèce, l'Algérie- neutre en l'occasion- se voit pourtant incendiée par une presse marocaine à la solde d'une monarchie obsolète.

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              • #22
                @Rago
                Il est possible que c'est vrai, mais ça reste des supputations.
                Je reste septique, car il était prévisible que les USA n'auraient pas appuyer le Maroc dans cette initiative. A l'époque j'ai pensé que le Maroc voulait plutôt tester (symboliquement) l'attitude du gvt algérien.

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