La loi de finance américaine promulguée le 5 mai renouvelle l’assistance des États-Unis au Maroc, applicable au Sahara.
Cette année encore, la loi de finance américaine promulguée le 5 mai prévoit que le Maroc puisse bénéficier du fonds "d’assistance économique bilatérale". Comme les années précédentes, le texte précise que ces fonds "doivent être rendus disponibles pour le Sahara occidental". Dans un communiqué relayé par l’agence MAP, le ministère marocain des Affaires étrangères et de la Coopération internationale indique que "le Royaume du Maroc se félicite des dispositions relatives au Sahara marocain contenues dans la loi budgétaire de l’exercice 2017."
Le rapport accompagnant la loi et explicitant ses dispositions, daté de juillet 2016 et rédigé par le "Comité de recommandation" précise que ces fonds doivent "soutenir les réformes démocratiques et le développement économique". Ce comité se dit "préoccupé par l'échec de la résolution du conflit au long court sur le Sahara occidental et la situation prolongée des réfugiées dans les camps gérés par le Polisario à côté de Tinfouf". Il préconise "une solution négociée basée sur la formule de l'autonomie sous une souveraineté marocaine" et "encourage l'Administration à soutenir les investissements du secteur privé au Sahara occidental".
Tel quel
Cette année encore, la loi de finance américaine promulguée le 5 mai prévoit que le Maroc puisse bénéficier du fonds "d’assistance économique bilatérale". Comme les années précédentes, le texte précise que ces fonds "doivent être rendus disponibles pour le Sahara occidental". Dans un communiqué relayé par l’agence MAP, le ministère marocain des Affaires étrangères et de la Coopération internationale indique que "le Royaume du Maroc se félicite des dispositions relatives au Sahara marocain contenues dans la loi budgétaire de l’exercice 2017."
Le rapport accompagnant la loi et explicitant ses dispositions, daté de juillet 2016 et rédigé par le "Comité de recommandation" précise que ces fonds doivent "soutenir les réformes démocratiques et le développement économique". Ce comité se dit "préoccupé par l'échec de la résolution du conflit au long court sur le Sahara occidental et la situation prolongée des réfugiées dans les camps gérés par le Polisario à côté de Tinfouf". Il préconise "une solution négociée basée sur la formule de l'autonomie sous une souveraineté marocaine" et "encourage l'Administration à soutenir les investissements du secteur privé au Sahara occidental".
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