Et si c'était la Chine qui mettait fin à la crise nucléaire nord-coréenne ? Pékin semble en tous cas être dans la meilleure posture pour calmer son voisin.
Souvent discrète et parfois jugée complaisante quand il s'agit de la Corée du Nord - dont elle est un des rares partenaires économiques - la Chine semble s'inquiéter de la tournure que prend la crise des missiles chez son petit voisin septentrional. Au point de se positionner clairement contre son allié pour une fois. Lors d'un sommet international, Pékin a clairement demandé à Pyongyang d'arrêter les tests balistiques et de revenir à la passivité des années précédentes.
Sans la Chine, la Corée du Nord serait dans une impasse économique inimaginable, mais Kim Jong Un, connu pour son imprévisibilité et sa ténacité dans ce dossier pourrait tout à fait ignorer.
C'est sans doute ce que pensent les Etats-Unis qui ont installé des systèmes anti-missiles THAAD en Corée du Sud.
Le nouvel essai réussi de bombe H nordiste, un modèle d'environ 50 kilotonnes selon certains experts, a monté encore d'un cran la tension internationale. Pour l'instant, rien n'indique que Pyongyang se soumette aux demandes répétées de l'ONU de mettre fin à ses provocations.
Atlantico
Souvent discrète et parfois jugée complaisante quand il s'agit de la Corée du Nord - dont elle est un des rares partenaires économiques - la Chine semble s'inquiéter de la tournure que prend la crise des missiles chez son petit voisin septentrional. Au point de se positionner clairement contre son allié pour une fois. Lors d'un sommet international, Pékin a clairement demandé à Pyongyang d'arrêter les tests balistiques et de revenir à la passivité des années précédentes.
Sans la Chine, la Corée du Nord serait dans une impasse économique inimaginable, mais Kim Jong Un, connu pour son imprévisibilité et sa ténacité dans ce dossier pourrait tout à fait ignorer.
C'est sans doute ce que pensent les Etats-Unis qui ont installé des systèmes anti-missiles THAAD en Corée du Sud.
Le nouvel essai réussi de bombe H nordiste, un modèle d'environ 50 kilotonnes selon certains experts, a monté encore d'un cran la tension internationale. Pour l'instant, rien n'indique que Pyongyang se soumette aux demandes répétées de l'ONU de mettre fin à ses provocations.
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