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Mohamed 6 : Le maroc a proclamé son attachement au sahara avant l'indépendance de l'algérie

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  • #46
    Mounir
    Merci pour le partage.

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    • #47
      Tito Ramon Romero est vénézuélien, de chez Maduro. Pedro Hierro est marocain (Badr El-meskaoui).

      Bravo, c'est très bien fait.

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      • #48
        L occupation de l ex-sahara espagnol PAR LE ROI HII : Franco Mourant …
        parce que c'était franco qui était au front...???

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        • #49
          "Nous proclamons solennellement que nous poursuivrons notre action pour le retour de notre Sahara dans le cadre du respect de nos droits historiques et selon la volonté de ses habitants"
          L'organe juridique de l'ONU a montré que des droits de souveraineté sur le sahara, le Maroc n'en a point. Par conséquent, la volonté du peuple du sahara occidental devra user de son droit à l'autodétermination.

          MAis cela, le Roi et ses sujets le savent !!

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          • #50
            y a personne qui l'a vu venir

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            • #51
              ONU: la légitimité historique incontestable de la marocanité du Sahara mise en exergue devant la 4ème Commission

              vendredi, 6 octobre, 2017 à 15:26
              New York – Les détails historiques du conflit du Sahara, qui confirment incontestablement la marocanité de ce territoire, ont été mis en exergue devant la 4ème Commission de l’Assemblée générale de l’Onu, par le professeur André Grimblatt, de l’Université Paris-Sorbonne.
              La question du Sahara marocain est l’un des plus anciens conflits de l’histoire contemporaine “du fait de l’hostilité face au droit historique et légitime du Maroc sur son Sahara”, a souligné le professeur Grimblatt devant un parterre de diplomates, de juristes, de défenseurs des droits de l’homme et d’acteurs associatifs.
              Avant la colonisation et le protectorat, “le Sahara était sous souveraineté marocaine”, a rappelé ce chercheur universitaire de renommée internationale, affirmant que “l’origine du dossier du Sahara est une simple question de décolonisation qui devait intervenir et qui s’est réalisée, entre deux pays : le Maroc et l’Espagne”.
              M. Grimblatt a rappelé qu’en 1975, la Cour internationale de justice avait reconnu que le Sahara “n’était pas un territoire sans maître avant la colonisation espagnole, tout en confirmant l’existence de liens juridiques et d’allégeance entre le Maroc et les tribus sahraouies”.
              Peu avant le retrait des forces d’occupation espagnoles du Sahara à la suite de négociations avec le Maroc, “l’Algérie proclama la +République arabe sahraouie démocratique+”, a rappelé l’universitaire, remarquant qu’il est “évident que l’Algérie aspirait à avoir une issue sur la mer et un port sur l’Atlantique”.
              En 2007, a noté M. Grimblatt, et “après que la situation se trouvait dans l’impasse”, le Maroc a présenté un projet d’autonomie, “fruit d’un processus de concertation aux niveaux national et local avec l’implication de toutes les forces vives marocaines”.
              Ce projet, a conclu l’universitaire français, s’impose comme une solution “juste et réaliste de la question du Sahara marocain, qui, plus est, a été favorablement accueillie par un nombre très important de pays, notamment les pays membres du Conseil de Sécurité de l’ONU”.

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              • #52
                Le statut du Sahara occidental au regard du droit international






                L'affaire du Sahara occidental est fondée sur l'un des contentieux territoriaux les plus complexes et les plus anciens sur le continent africain. Cette affaire soulève de nombreuses interrogations et problématiques liées aussi bien aux enjeux stratégiques qui animent les parties impliquées dans cette affaire, qu'au statut de ce territoire vis-à-vis du droit international. Ayant fait couler beaucoup d'encre, le statut juridique du Sahara occidental a été profusément analysé par la doctrine internationaliste. Force est de rappeler que c'est le Maroc qui a été le premier à avoir demandé à l'Organisation des Nations Unies (ONU) d'inclure la question du Sahara occidental au sein de sa quatrième Commission, chargée de traiter des questions de la décolonisation. Néanmoins, l'Espagne, puissance colonisatrice d'alors, a usé de tous les subterfuges afin de ralentir, autant que faire se peut, le processus de décolonisation de ce territoire. A cette fin, elle avait suggéré aux populations sahraouies l'idée de la création d'un nouvel Etat sahraoui indépendant, à travers la tenue d'un référendum d'autodétermination. Pour le Maroc, ce territoire, qui fut arbitrairement dissocié de la question de Sidi Ifni et de Tarfaya, devait lui être restitué au même titre que les territoires précités. Après plus de trois décennies, le statut juridique du territoire du Sahara occidental continue de faire l'objet de vives controverses et de débats doctrinaux. Dans le présent article nous mettrons l'accent sur le statut juridique du Sahara occidental vis-à-vis du droit international. Pour ce faire, un aperçu historique des divers actes à valeur juridique qui ont ponctué ce conflit nous permettent d'en cerner les angles au regard du droit international.
                En effet, depuis la fin du protectorat français, le Maroc n'a eu de cesse de revendiquer des terres qui lui avaient été arbitrairement arrachées. Et en guise de récompense, la Déclaration commune franco-marocaine du 2 mars 1956, mentionne outre, la reconnaissance de l'indépendance, l'intégrité du territoire du royaume. De plus, la Déclaration conjointe hispano-marocaine du 7 avril de la même année, réaffirme sans ambiguïté « (...) l'unité territoriale de l'Empire (...) ». Le 25 février 1958, le sultan Mohammed V prononçait dans la vallée du Draâ, aux confins du Sahara occidental, un discours mettant en exergue la fidélité des tribus sahariennes et leur attachement à la monarchie régnante. Dans ce discours, Mohammed V a réaffirmé sa volonté de « (...) poursuivre son action pour la restitution du Sahara occidental ».
                En vue d'accélérer le processus de décolonisation du Sahara occidental, le Maroc soumettait, dès 1963, la question du Sahara occidental au Comité des Nations Unies sur les territoires non autonomes. Le 16 décembre 1965, l'Assemblée générale de l'ONU, à travers sa résolution 2072 (XX), prie « (...) instamment le Gouvernement espagnol (...) de prendre immédiatement les mesures nécessaires pour la libération de la domination coloniale des territoires d'Ifni et du Sahara occidental et d'engager à cette fin des négociations sur les problèmes relatifs à la souveraineté que posent ces deux territoires ».
                Le 1er avril 1958, le Maroc a pu récupérer Tarfaya grâce à la signature de l'Accord de Cintra et puis Sidi Ifni par le traité de Fès du 4 janvier 1969. Néanmoins, le Maroc continuait à soutenir que son intégrité territoriale ne serait achevée qu'après la restitution de tous les territoires dont il a été dépouillé. Devant les tergiversations espagnoles, le Maroc, appuyé par la Mauritanie, a demandé à l'Assemblée générale de l'ONU de saisir la Cour Internationale de Justice (CIJ), pour un avis consultatif relatif à la nature des liens juridiques existant entre le Maroc et le Sahara occidental d'une part, et entre celui-ci et l'ensemble mauritanien d'autre part. En statuant sur le fond, la CIJ a conclu, dans son avis consultatif rendu le 16 octobre 1975, à l'existence de liens d'allégeance entre certaines tribus du Sahara occidental et les sultans marocains. Le Maroc a considéré que, à travers cet avis, la CIJ a reconnu la marocanité du Sahara dès lors qu'elle a constaté l'existence de liens d'allégeance entre le Maroc et les tribus sahraouies. Le 16 novembre 1975, le Maroc a organisé une Marche verte à travers laquelle il a pu récupérer le territoire du Sahara occidental.
                Plusieurs arguments confortent la thèse de la marocanité du Sahara. Parmi ces arguments figurent l'effectivité de la juridiction marocaine sur ce territoire. Cette effectivité s'inscrit dans l'histoire lointaine de l'empire chérifien. Outre les actes d'allégeance des tribus sahraouies aux sultans marocains, l'on pourrait citer d'autres actes historiques à travers lesquels le Maroc a manifesté son autorité sur le territoire du Sahara occidental. Il s'agit par exemple des dahirs de nomination des caïds, qui exerçaient une autorité effective au Sahara occidental, au nom du sultan. L'on pourrait ajouter également la perception d'impôts coraniques et les actes militaires de résistance à la pénétration étrangère sur le territoire. De surcroît, la gestion des services publics au Sahara occidental est assurée par le Maroc, la législation marocaine s'y applique comme dans toute autre région du royaume, et les jugements y sont prononcés au nom du roi.
                Sur le plan onusien, le Sahara occidental reste toujours inscrit sur la liste des territoires non autonomes dont la population a le droit à l'autodétermination. Force est de préciser que la notion d'autodétermination n'est pas synonyme d'indépendance, comme le soutiennent le Front séparatiste du Polisario et son mentor algérien. Si ce principe juridico-politique a joué un rôle important dans le processus de décolonisation de nombreux territoires colonisés, notamment dans les années 1960, il n'en demeure pas moins qu'il a été tendancieusement interprété dans la mesure où il a été réduit à la seule notion d'indépendance. La résolution 1541, adoptée par l'Assemblée générale, 15 décembre 1960, libellée, « Principes qui doivent guider les Etats Membres pour déterminer si l'obligation de communiquer des renseignements, prévue à l'alinéa e de l'Article 73 de la Charte, leur est applicable ou non », a défini les modalités d'exercice du droit à l'autodétermination. Elle en a donc retenu trois options : 1) indépendance et souveraineté ; 2) libre association avec un Etat indépendant et 3) intégration à un Etat indépendant. Dans le même ordre d'idées, la résolution 2625, adoptée par l'Assemblée générale le 24 Octobre 1970, intitulée, « Déclaration relative aux principes du droit international touchant les relations amicales et la coopération entre les Etats conformément à la Charte des Nations Unies», tout en confirmant les trois options précitées, a rajouté une quatrième option, à savoir « l'acquisition de tout autre statut politique librement décidé par un peuple ». C'est dans ce sens qu'il convient de rappeler l'Initiative marocaine pour la négociation d'un statut d'autonomie au Sahara et qui constitue une autre forme d'autodétermination. Cette initiative est conforme à la légalité internationale dans la mesure où elle prévoit une large autonomie, permettant à la population sahraouie de gérer elle-même ses propres affaires à travers des instances politiques locales élues, sous la souveraineté marocaine. Cette proposition prévoit la tenue d'un référendum pour son approbation, permettant aussi aux sahraouis d'exercer, dans le cadre d'une large autonomie, leur droit à l'autodétermination. Ainsi, cette solution proposée par les pouvoirs publics marocains est la seule à même de permettre le règlement politique et pacifique d'un conflit qui n'a que trop duré.
                Au total, la légalité internationale de la marocanité du Sahara dit occidental, combiné au pouvoir effectif exercé par l'Etat marocain sur le territoire en question, ne font qu'affaiblir encore davantage la posture du tandem formé du Polisario et de l'Algérie, au double point de vue, juridique et géostratégique.
                Centre d’Etudes Internationales

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                • #53
                  Dixit lashenl " La question du Sahara marocain est l’un des plus anciens conflits de l’histoire contemporaine “du fait de l’hostilité face au droit historique et légitime du Maroc sur son Sahara”, a souligné le professeur Grimblatt devant un parterre de diplomates, de juristes, de défenseurs des droits de l’homme et d’acteurs associatifs."

                  C'est déjà inexact à ce titre. Il est incontestable que la plus ancienne colonisation est produite par les cas des territoires espagnols d'Afrique du Nord (à savoir Ceuta et Melilla- depuis l'an 1492-) et à laquelle le Maroc lui consent pitoyablement.

                  N'est-ce pas "une honte marocaine" pour paraphraser un titre célèbre: " Ceuta et Melilla: la honte marocaine!"

                  Commentaire


                  • #54
                    L'organe juridique de l'ONU a montré que des droits de souveraineté sur le sahara, le Maroc n'en a point. Par conséquent, la volonté du peuple du sahara occidental devra user de son droit à l'autodétermination.

                    MAis cela, le Roi et ses sujets le savent !!
                    On le sait si bien que depuis 1975
                    Tous les jours que Dieux fait ,

                    Le Maroc exerce tous ses prérogatives de souveraineté sur le sahara sans que quiconque ne puisse s'opposer .

                    Su tu as trouvé quelqu'un,un texte qui nous y oblige a se conformer a ce que tu affirmes( tourne 7 fois la langue avant de te jeter)

                    Montre le nous,

                    Sinon,

                    Balliverne
                    Dernière modification par manneke, 07 novembre 2017, 23h07.

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                    • #55
                      Dixit manneke: " Le Maroc exerce tous ses prérogatives de souveraineté sur le sahara sans que quiconque ne puisse s'opposer".

                      A l'instar d'Israël en territoires palestiniens occupée effectivement. Mais est-ce légitime dans les deux cas réciproques unanimement?:22:

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                      • #56
                        Dans son discours à l'occasion du 42e anniversaire de la Marche Verte, célébré ce lundi 6 novembre, le roi Mohammed VI a réaffirmé la marocanité du Sahara, soulignant, envers et contre la partie adverse, que cette vérité préexistait même à l'indépendance de l'Algérie.

                        Tout a fait,

                        1975 n'était point le début d'un chapitre mais bien son aboutissement après une longue bataille diplomatique dans les arcanes de l'Onu dont l'inscription au comité des 24 a l'inverse de l'Algérie qui resta aphone sur ce sujet.
                        Dernière modification par manneke, 07 novembre 2017, 23h16.

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                        • #57
                          dixit manneke "Su tu as trouvé quelqu'un,un texte qui nous y oblige a se conformer a ce que tu affirmes( tourne 7 fois la langue avant de te jeter)".

                          Cette confirmation de la CJUE est admise par les Appelants de l'UE contre le verdict de la CJUE suite à la la décision rendue le 10 décembre 2015 du différend UE contre le Polisario- .

                          - 233 [B]convient également de tenir compte du fait que le Royaume du Maroc ne dispose d’aucun mandat, décerné par l’ONU ou par une autre instance internationale, pour l’administration de ce territoire et qu’il est constant qu’il ne transmet pas à l’ONU de renseignements relatifs à ce territoire, tels que ceux prévus par l’article 73, sous*e), de la charte des Nations unies.
                          234 Cet article prévoit ce qui suit:
                          « Les Membres des Nations unies qui ont ou qui assument la responsabilité d’administrer des territoires dont les populations ne cadre du système de paix et de sécurité internationales établi par la présente Charte et, à cette fin :
                          […]
                          e) de communiquer régulièrement au Secrétaire général, à titre d’information, sous réserve des exigences de la sécurité et de considérations d’ordre constitutionnel, des renseignements statistiques et autres de nature technique relatifs aux conditions économiques, sociales et de l’instruction dans les territoires dont ils sont respectivement responsables, autres que ceux auxquels s’appliquent les Chapitres XII [relatif au régime international de tutelle] et XIII [relatif au Conseil de tutelle].»

                          Source: http://curia.europa.eu/juris/documen...t=1&cid=164110
                          Dernière modification par rago, 07 novembre 2017, 23h16.

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                          • #58
                            Dixit manneke: " 1975 n'était point le début d'un chapitre mais bien son aboutissement après une longue diplomatique dans les arcanes de l'Onu dont l'inscription au comité des 24 a l'inverse de l'Algérie qui resta aphone sur se sujet."

                            Votre version est totalement mensongère. Car vous faites fi de la position de la Libye en l'espèce en abjurant la seule Algérie.
                            Mais que pensez-vous de de l'adhésion sud-africaine départie de l'apartheid pourtant soutenu par le Maroc à l'affranchissement des décolonisations tant sahraouie que palestinienne?

                            Commentaire


                            • #59
                              Mohamed 6 : Le Maroc a proclamé son attachement au Sahara avant le bing bang
                              وإن هذه أمتكم أمة واحدة

                              Commentaire


                              • #60
                                Mohamed 6 : Le Maroc a proclamé son attachement au Sahara avant le bing bang
                                Tu fais une légère erreur sur la date,

                                C'est pas avant(non sens physique) mais environ 14 milliards d’années après le bing bang de la cosmologie

                                et le bing bang tout court chez Boumediène
                                Dernière modification par manneke, 08 novembre 2017, 00h43.

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