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Le Maroc découvre avec effroi que ses ressortissants sont aussi vendus en Libye

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  • Le Maroc découvre avec effroi que ses ressortissants sont aussi vendus en Libye

    Des centaines de migrants marocains en route vers l’Europe sont pris au piège des prisons libyennes. Ils implorent le roi Mohammed VI de les rapatrier.

    Par Ghalia Kadiri

    LE MONDE*Le 23.11.2017 à 20h05



    C’est par une vidéo tournée clandestinement que les Marocains ont découvert le drame*: des centaines de leurs compatriotes croupissent dans des conditions déplorables dans des*prisons*libyennes. Ce ne sont pas des criminels, seulement des migrants qui tentaient de*rejoindre*les côtes européennes. Dans plusieurs*vidéos*où ils filment leur calvaire, les captifs supplient le roi Mohammed VI de les*faire*«*rentrer au pays*». Certains, interrogés par la presse marocaine, disent*avoir*été vendus, victimes de réseaux d’immigration clandestine. L’affaire intervient alors que les révélations de CNN sur un marché aux esclaves de migrants subsahariens en*Libye*suscitent un large mouvement d’indignation.



    «*Nous sommes la seule nationalité à*être*encore détenue ici. Aucun officiel marocain n’est venu nous*réclamer.*»*Dans une vidéo filmée le 13*novembre, un jeune homme affirme être enfermé depuis plus de deux mois, à Tripoli, dans un*centre*de détention du département libyen de lutte contre l’immigration clandestine,*avec 232 autres Marocains, y compris des mineurs. Ils souffriraient de maladies liées à l’insalubrité des*lieux*et disent avoir entamé une grève de la faim. En arabe dialectal marocain, l’auteur de la vidéo supplie le roi Mohammed VI d’intervenir pour les*libérer.

    Le ministère marocain chargé de la migration a réagi deux jours plus tard dans une déclaration publiée sur son compte*Facebook, assurant qu’il mettait tout en œuvre pour les*rapatrier. «*L’opération prend du temps et implique plusieurs personnes, mais nous y travaillons, a indiqué une source gouvernementale à l’agence Associated Press.*Les Marocains seront rapatriés.*»



    Migrants vendus

    Une autre vidéo publiée le 17*novembre montre des migrants marocains dans une prison surpeuplée à Zuwarah, près de la frontière tunisienne. On y voit plus d’une trentaine d’hommes entassés dans une même pièce, sans fenêtre. Ils doivent*supporter*la faim, la chaleur, les puces et les maladies. «*Les Algériens, les Tunisiens et les Egyptiens ont été rapatriés. Tout*le monde, sauf les Marocains*»,*témoigne un homme dans la vidéo. Selon lui, 260 Marocains sont détenus dans ce centre depuis six mois.

    Combien de migrants marocains captifs en Libye*? Les autorités chérifiennes se sont contenté de*dire*que la prochaine opération de rapatriement concernait «*environ 200 personnes*».*En août*2017, 190 migrants avaient déjà été rapatriés de Libye par les autorités marocaines.

    Selon la version arabophone de l’hebdomadaire marocain*Telquel, qui a pu*joindre*au téléphone des Marocains captifs ainsi que leurs familles. Ils étaient partis en Libye, via l’Algérie, dans l’espoir de rejoindre l’Italie. Les familles interrogées racontent que leurs proches ont versé entre 40 et 50 000 dirhams (3*600 à 4*500*euros) à des intermédiaires marocains, avant de se*retrouver otages de réseaux de traite d’êtres humains.



    «*Une fois en Libye, on a été capturés par une mafia. Ils nous ont demandé le numéro de téléphone de notre*famille*et les ont menacés de nous*tuer*s’ils ne donnaient pas l’argent*», révèle un Marocain aujourd’hui retenu dans un centre gouvernemental en Libye et dont le témoignage audio a été mis en ligne*sur le site de Telquel.*«*Un gang nous a séquestrés et pris contact avec le chef d’un réseau d’immigration clandestine pour nous*vendre. La transaction a eu lieu. Notre acheteur nous a obligés à*payer*le double du montant qu’il avait payé. L’armée*a fini par*donner*l’assaut contre les maisons où nous habitions et nous avons fini dans un centre de rétention*», dévoile*un autre interlocuteur.

    Nouvelle route de l’exode

    D’après*le magazine, les passeurs impliqués dans cette affaire sont des Marocains en lien avec les réseaux d’immigration clandestine en Libye. Cette année, plusieurs réseaux passeurs opérant dans le royaume ont été démantelés.



    Sous la pression de l’Union européenne, le*Maroc*a renforcé ses mesures de sécurité à sa frontière nord, face à l’Espagne, poussant ainsi les migrants à*emprunter*d’autres routes. De plus en plus de Marocains tentent ainsi de*passer*par la Libye pour*gagner*l’Italie, porte d’entrée de l’Europe. Selon les Nations unies, près de 20*000 migrants, qui ne sont pas tous subsahariens, seraient actuellement détenus dans les centres gouvernementaux libyens, soumis aux abus, tortures et privations.


    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/afrique/articl...A4rq38KaWT2.99
    « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

  • #2
    Exclusif: des migrants marocains réduits à l'esclavage en Libye

    Le rêve de l'Eldorado européen a viré en véritable cauchemar pour près de 200 Marocains bernés par les réseaux d'immigration clandestine et actuellement détenus en Libye. Témoignages exclusifs rapportés par Telquel Arabi.

    Quand nous avons contacté les familles des Marocains retenus en Libye, elles nous ont déclaré que leurs proches ont versé une moyenne de 40.000 dirhams à des intermédiaires censés les faire passer en Italie.

    Les entremetteurs marocains répondent aux noms de Haj Saleh, Anas et Fatima… et sont en contact permanent avec les chefs des réseaux d'immigration clandestine en Libye. "Il s'agit de pseudonymes", nous explique Ismaïl Semlali, le père de Mehdi, jeune Marocain retenu au centre de "Tarik Assikah" à Tripoli.

    Bring back our sons!

    Ibtissam. A. est la sœur de l'une des victimes marocaines, originaire de Fkih Bensaleh. Elle nous révèle que son frère était parti en Libye, via l'Algérie, avec deux autres proches dans l'espoir de rejoindre l'Italie. En fin de compte, les trois Marocains se sont retrouvés otages de réseaux de traite d'êtres humains.

    Notre interlocutrice ajoute que ces mêmes réseaux ont contacté sa famille pour demander une rançon, faute de quoi l'otage allait être assassiné. La famille n'a alors pas eu d'autre choix que de mettre la main à la poche et de remettre l'argent aux intermédiaires.

    La version d'Ibtissam. A. est corroborée par l'un des Marocains retenus en Libye. Sous le sceau de l'anonymat, il nous révèle qu'il a dû lui aussi verser 40.000 dirhams pour atterrir en Italie. Manque de chance, il finit comme otage en Libye.

    "Un gang nous avait séquestrés et pris contact avec le chef d'un réseau d'immigration clandestine pour nous vendre. La transaction a eu lieu. Notre acquéreur nous a obligés à payer le double de la somme qu'il a déboursée pour nous acheter. L'armée a fini par donner l'assaut contre les maisons que nous habitions à Sabratha (nord-ouest de la Libye, NDLR) et nous avons fini dans un centre de rétention", témoigne notre interlocuteur.

    "Quand vous arrivez en Libye et que vous tombez entre les mains des réseaux d'immigration clandestine, vous mettez de côté votre dignité et vous devenez un esclave qui doit faire tout ce qu'on lui demande. Vous pourrez être tué sans que personne ne soit au courant", ajoute un autre Marocain, originaire de Sidi Bennour qui a fait des pieds et des mains pour nous joindre depuis un centre de rétention libyen.

    Il ajoute que sept Marocains ont été sévèrement torturés après avoir fait fuiter une vidéo qui rend compte des souffrances que subissent les otages.

    "Nous n'avons pas de médicaments, pas de produits d'hygiène, et les puces nous pourrissent davantage la vie. Nous voulons que le roi Mohammed VI intervienne pour trouver une solution et nous permettre de regagner notre pays", poursuit le jeune homme.
    La faute à Rabat?

    Après plusieurs mois passés dans les centres de rétention, les Marocains ont commencé à enregistrer des vidéos et à les diffuser sur le site officiel de l'instance officielle libyenne chargée de la lutte contre l'immigration clandestine pour accélérer une intervention des autorités marocaines. Ils ont même entamé des grèves de la faim pour protester contre la sourde oreille du gouvernement El Othmani.

    Anouar Abou Dib, directeur du centre de rétention de Zouara, a accepté de répondre à nos questions. Il a confirmé que 200 Marocains se trouvaient dans ce centre, mais que les autorités de Rabat ne faisaient rien pour leur rapatriement, sachant que peu d'entre eux disposent d'un passeport.

    "Le centre est ouvert à toutes les instances et ONG. Si une ONG marocaine veut visiter le centre, elle est la bienvenue. Nous n'avons rien à cacher", ajoute Abou Dib qui réfute les accusations de maltraitance contre les personnes retenues dans son centre.

    Le responsable libyen fait plus que répondre à nos questions. Il propose de nous mettre en contact téléphonique avec les Marocains retenus dans le centre de Zouara.

    Le premier à s'emparer du combiné est Mostafa Lakhdar, originaire de la région de Khouribga. "Nous voulons seulement rentrer au pays comme les Algériens, les Égyptiens et les Nigérians. Nous attendons toujours une intervention royale pour mettre fin à nos souffrances et à celles de nos familles", nous déclare ce père de sept enfants.

    "Cela fait longtemps que nous vivons dans ce centre et quand nous posons la question aux Libyens, ils nous répondent que c'est la faute aux autorités marocaines", renchérit Mohamed Aâch, originaire de Khouribga, et père de quatre enfants.

    Mohamed Aâch a déboursé 50.000 dirhams dans l'espoir de rallier l'Italie via la Libye. "J'ai passé trois mois en otage dans des réseaux d'immigration clandestine. C'était les pires moments de ma vie", affirme-t-il.

    Ahmed Hamza est le rapporteur du Comité national des droits humains en Libye. Lors d'un contact avec Telquel Arabi, il contredit la version des responsables du centre de rétention de Zouara. Il qualifie les conditions de détentions des Marocains de "misérables" en l'absence de soins et de nourriture adéquate.

    "Les autorités libyennes ont préparé tous les documents relatifs aux détenus marocains et nous n'attendons que la réponse des autorités marocaines", nous déclare Jamal Al Mabrouk, président de l'Organisation de la coopération et du secours international.

    "Rappelez plus tard, je déjeune!"

    Nous avons essayé de joindre Abdelkrim Benatiq, ministre chargé des Marocains de la diaspora. Quand il a répondu à nos appels, samedi dernier, il avait demandé qu'on le rappelle puisqu'il était occupé à prendre son… déjeuner. Depuis, aucune suite n'a été donnée à nos sollicitations.

    Vendredi dernier, le département de Benatiq avait diffusé un communiqué affirmant suivre avec beaucoup d'attention le dossier des Marocains retenus en Libye et que, avec la coopération des autres départements concernés, ces Marocains seraient bientôt rapatriés.

    Une source gouvernementale nous révèle que Nasser Bourita, chef de la diplomatie marocaine, suit de très près ce dossier et que les autorités ont fait du rapatriement des Marocains retenus en Libye l'une de ses priorités du moment.

    (Cherki Lahrech pour TelQuel Arabi, Editing: Mohammed Boudarham)
    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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    • #3
      La Libye doit mieux coopérer avec le Maroc comme elle coopère bien avec l'Algerie.

      La Libye expulse plus de 40 harragas algériens

      Le service libyen de lutte contre l’immigration clandestine a transporté 47 candidats algériens à l’immigration clandestine vers le poste frontalier de Ras Jedir, situé entre la Libye et la Tunisie, en vue de leur expulsion en Algérie, a indiqué ce lundi 20 novembre un communiqué du ministère libyen de l’Intérieur cité par l’agence Sputnik.

      Ces ressortissants algériens, issus de plusieurs régions du pays selon la même source, étaient logés pendant un certain temps dans un centre d’hébergement pour réfugiés dans la ville de Zourara, située près de la frontière avec la Tunisie.


      « Nous sollicitions les autorités algériennes à coopérer avec nous, et délivrer des documents de voyage temporaires (aux migrants) pour faciliter les procédures de leur rapatriement via l’aéroport de Mitiga », a appelé le service de lutte contre l’immigration clandestine.

      Le même service a annoncé également avoir reçu sept algériens, actuellement mis dans un centre d’hébergement pour immigrés clandestins à Tripoli. Les sept migrants algériens ont d’ailleurs lancé un appel aux autorités algériennes pour accélérer leur rapatriement.

      De même, le service libyen de lutte contre l’immigration clandestine a appelé les pouvoirs publics algériens à faciliter le rapatriement de plusieurs migrants algériens qui se trouvent dans plusieurs centres d’hébergement notamment, à Tripoli, Gharian et Zouara.

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      • #4
        Un témoignage d'un retenu marocain en Lybie.



        La faute à Rabat?

        Après plusieurs mois passés dans les centres de rétention, les Marocains ont commencé à enregistrer des vidéos et à les diffuser sur le site officiel de l'instance officielle libyenne chargée de la lutte contre l'immigration clandestine pour accélérer une intervention des autorités marocaines. Ils ont même entamé des grèves de la faim pour protester contre la sourde oreille du gouvernement El Othmani.

        Anouar Abou Dib, directeur du centre de rétention de Zouara, a accepté de répondre à nos questions. Il a confirmé que 200 Marocains se trouvaient dans ce centre, mais que les autorités de Rabat ne faisaient rien pour leur rapatriement, sachant que peu d'entre eux disposent d'un passeport.

        "Le centre est ouvert à toutes les instances et ONG. Si une ONG marocaine veut visiter le centre, elle est la bienvenue. Nous n'avons rien à cacher", ajoute Abou Dib qui réfute les accusations de maltraitance contre les personnes retenues dans son centre.

        Le responsable libyen fait plus que répondre à nos questions. Il propose de nous mettre en contact téléphonique avec les Marocains retenus dans le centre de Zouara.

        Le premier à s'emparer du combiné est Mostafa Lakhdar, originaire de la région de Khouribga. "Nous voulons seulement rentrer au pays comme les Algériens, les Égyptiens et les Nigérians. Nous attendons toujours une intervention royale pour mettre fin à nos souffrances et à celles de nos familles", nous déclare ce père de sept enfants.

        "Cela fait longtemps que nous vivons dans ce centre et quand nous posons la question aux Libyens, ils nous répondent que c'est la faute aux autorités marocaines", renchérit Mohamed Aâch, originaire de Khouribga, et père de quatre enfants.
        Il se peut aussi que le Maroc craigne un retour des terroristes, ou carrément des soi-disant marocains qui ne possèdent aucune pièce d’identification. La situation est compliquée en tout cas.

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        • #5
          صدمة جديدة بعد تسريب مقطع لمهاجرين محتجزين فى صبراتة تحت الأرض



          ليبيا – تداول نشطاء حقوقيون ليبيون وأجانب اليوم الخميس مقطعاً على وسائل التواصل الاجتماعي لمهاجرين افارقة غير شرعيين محتجزين فى ليبيا بظروف غير انسانية .

          و قال هؤلاء أن المقطع ألتقط لسجن يقبع فيه عدد من المهاجرين فى ظروف سيئة تحت الارض وقد أُغلقت عليهم الابواب بالخرسانة والاسمنت قبل أن تنقذهم قوة عبر تحطيم الجدران.

          و أضافت المصادر ان عدد كبير من المحتجزين الافارقة كانوا يقبعون فى هذا السجن و يكتفي سجانوهم بتقديم بعض الطعام والماء لهم من خلال شبابيك
          معدنية صغيرة بعد اغلاق بقية المنافذ عليهم بالاسمنت

          اما هذا المقطع المسرب اليوم فقد تضاربت الانباء حول الجهة التي كانت تديره فيما رجحت مصادر بأنه كان لمركز احتجاز يديره احمد الدباشي الملقب بـ ” العمو ” والذي أشارت تقارير بريطانية ( للإطلاع عليها إضغط هنا ) الى انه تلقى دعماً مالياً مباشراً من روما للمساعدة فى منع تدفق المهاجرين واحتجازهم فى صبراتة .

          libyaakhbar.com

          Dernière modification par sako, 24 novembre 2017, 12h32.

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          • #6
            Je ne sais pas si ce sont les mêmes qu'on a évoqué dans une antérieure discussion (http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=406707) mais voilà qu'au lieu de les rapatrier à ce moment là, les pseudo-investigations les ont réduit à l'état d'esclaves.

            Allah ykoun fi 3ounhoum !

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            • #7
              C'est tout simplement scandaleux, ce qui se passe en Libye !
              Macron a dénoncé un "crime contre l'Humanité" et porte l'affaire devant le CS de l'ONU. Je salue cette initiative.

              Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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              • #8
                les européens n'ont trouvé mieux que ce moyen abject pour tenter de stopper les africains spoliés de leurs richesses pendant des siècles de demander réparation,il s’avèrent que devant le silence des ces mêmes européens devant leurs demandes,les africains n'ont eu d'autre choix que venir chercher leurs dus par eux même,et l'immigration est un de leurs armes.
                de la on peut voir clair dans cette affaire de vente aux esclaves ,une manipulation grossière de l'opinion africaine pour les dissuader leurs dus.

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                • #9
                  C'est grave

                  Si l'information se confirme, la chose est gravissime. Pour une telle chose, je suis pour une intervention armée si nécessaire, que les "captifs" soient marocains, Algériens ou autre.
                  "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                  • #10
                    pour se donner bonne conscience tout le monde condamne.on dirait que tout le monde est choque, alors que autour de nous parfois on voit pire que ca.
                    au maroc des femmes sont mortes pour des sacs de farines.
                    pourquoi les parents font ds enfants qui plus tard deviendront des esclaves ou qui vont s entretuer pour des sac de farines ?
                    Dernière modification par alger1954, 24 novembre 2017, 21h18.

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                    • #11
                      @Alger1954

                      Ce n'est pas comparable. Nous parlons ici d'hommes libres reduits en esclavage.
                      "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                      • #12
                        harrachi @

                        ces hommes n ont pas de parents ?
                        ils n ont pas de nationalites ?

                        le nepal a interdit aux femmes de aller travailler dans les pays du golf sous pretexte que elle subirait de mauvais traitements de la parts des gens du golf.

                        Commentaire


                        • #13
                          @Alger1954

                          Quelles que soient leurs circonstances individuelles, nul homme libre n'a à être réduit en esclavage de la sorte, pas plus que d'être tué impunément. La misère peut mener les uns ou les autres à faire des choix, parfois mauvais ou malheureux, mais tant que c'est leur volonté c'est leur problème. Mais ca ne veux pas dire qu'il devient normal ou légitime de les priver de leurs droits les plus élémentaires et d'en faire une "propriété" de quiconque !
                          "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                          • #14
                            harrachi78 @

                            j ai visiter la libye en 1992 ,il y avait egalement ce genre de choses,dans certaines regions de libye on appliquait la chariaa uniquement aux maghrebins et aux africains,comme par exemple couper la main d un soi-disant voleur.j ai vu des choses terribles la bas de mes propres yeux.

                            Commentaire


                            • #15
                              @Alger1954

                              Et alors ? En quoi cela rendrais-il "normal" ce qui nous est rapporté aujourd'hui ?
                              "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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